¡Hola! j'espère que vous êtes a jeun car on va parler caca et religion, oui oui, vous avez bien lu. Cet article traite de The Binding of Isaac: Rebirth!, un jeu pour le moins original.
Avant tout, je vais quand même vous présentez son papa (ça va vite entre nous, vous ne trouvez pas ?).
Le bonhomme en question s'appelle Edmund Mcmillen, il est game designer et fait aussi des dessins à l'occasion (que vous pouvez retrouver sur son site "Je vous laisse le faire <3"). Il a un style artistique bien à lui, très cartoonesque et assez enfantin. Il est également le créateur de génie de Gish, Super Meat Boy et The Binding of Isaac!
Un concept farfelu !
Voilà, maintenant que vous connaissez le boss, on va commencer à traité le jeu qui nous intéresse.
The Binding of Isaac:Rebirth! est un jeu sorti en 2014, où on incarne Isaac, un enfant qui essaye de fuir sa mère car celle-ci entend dieu qui l'ordonne de tué Isaac. Ca va, vous suivez ?
Nous nous retrouvons alors dans un jeu en 2D, où nous devons tuer des ennemis tous différents avec nos larmes. Le système de points de vie est similaire à celui de The Legend Of Zelda, avec des petits cœurs (*-*). Les parties sont constituées d'étages, au nombre de six. A chaque étage, il y a une salle au trésor qui nécessite une clef pour être ouverte, elle contient soit un objet activable ou un objet passif, un magasin, qui lui nécessite une clef pour y entrer. Si vous avez de la chance, vous y trouverez des objets pouvant être achetés contre des pièces, un objet pouvant être trouvé sur des ennemis. Si vous n'avez pas de chance, vous tomberez sur Greed, un des sept péchés capitaux, ils y sont tous représenter. Greed vous vole des pièces lorsqu'il vous inflige des dégâts, Wrath, à l'apparence de bomberman, il vous lancera des bombes à la tronche. Il y a Envy qui se divise en deux lorsque vous le tuez (pas sympa le bonhomme), Gluttony, un gros qui ouvre son ventre et vous crache du sang dessus. Pride tire des lasers en diagonale et fait apparaître des bombes tandis que Lust, mon petit préféré, vous fonce dessus comme le dernier des imbéciles. Et pour finir, il y a Sloth, un petit truc vert qui lance des projectiles explosifs. Passée cette longue parenthèse sur les mini-boss, vous pouvez aussi récolter des bombes et les faire péter sur les ennemis ou bien sur des murs ou des cailloux pour essayer d'y trouver une salle secrète ou un objet. Il y a aussi un boss à chaque étage, c'est mieux comme ça.
Après avoir tué un gros boss bien moche, il va vous laisser un objet en cadeau (pas de rancœur <3) et si vous avez de la chance, une Angel Room ou un Devil Deal. Le premier vous offre des pièces ou un objet et le second vous permet d'échanger vos cœurs contre des objets (si vous prenez un objet au Devil Deal, vous baissez énormément vos chances de trouver une Angel Room). Si vous arrivez à tuer votre mère, car oui c'est ce dont on a le plus envie, vous débloquez alors des étages supplémentaires, plus d'objet et de boss etc...
La religion a une grande place dans le jeu, car beaucoup d'objets ou personnages sont des références, on peut y rencontrer des anges et des démons, il y a également des références sur les objets, par exemple, un objet très puissant est nommé Abaddon, un mot plusieurs fois utilisé dans la bible hébraïque et qui signifie Apocalypse en hébreu.
C'est la fin de l'article, vous pouvez retrouver plus d'informations sur ce jeu génial ici. Notez que le jeu est disponible sur Windows, OS X, GNU/Linux, PlayStation 4 et PlayStation Vita, puis sur New Nintendo 3DS, Wii U et Xbox One.
Par jeanLucasec, il y a 8 ans :
Concept complètement déjanté !
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