Les 10 tueurs à gages les plus cruels au monde !

Après vous avoir fait découvrir le top 8 des hackers les plus connus, on se lance dans un tout autre univers avec les tueurs à gages les plus meurtriers. Découvrez dès maintenant quels sont les 10 qui ont fait le plus de dégâts. Jean Réno dans Léon le professionnel est bien loin du compte !

Abe Reles, un homme violent et imprévisible

Aussi appelé Abe "Kid Twist" Reles, ce tueur à gages a vécu une enfance difficile à Brownsville, un des quartiers de Brooklyn. C'était un homme violent et imprévisible et l'un des criminels les plus redoutés du Syndicat du Crime. Abe faisait partie de la Yiddish Connection et aurait tué plus de 1 000 personnes entre les années 30 et les années 40. Il était connu pour son utilisation d'un pic à glace qu'il plantait derrière l'oreille de ses victimes pour provoquer une hémorragie cérébrale. Il fut arrêté en 1940 pour de nombreux crimes, mais réussit à réduire sa peine en devenant informateur. Cela ne l'a apparemment pas arrangé puisqu'il a été retrouvé mort une année plus tard.

Salvatore Gravano, le conspirateur

Gangster associé à la famille Colombo, Salvatore Gravano était l'un des favoris de Joseph Colombo durant les années 60. Ce n'est qu'en 1970 qu'il commet son premier meurtre en tuant Joseph Colucci, un associé de Spero, le neveu d'un associé de la famille. Il a également fait partie de la conspiration au sein de la famille pour assassiner le patron de la famille, Paul Castellano. Afin d'éviter des conflits dans la famille Columbo, il devint un membre de la Famille Gambino et fut ensuite nommé consigliere. Il fut arrêté par le FBI en 1990 pour 19 assassinats et condamné à une peine de 5 ans de prison seulement.

Sam DeStefano, un tortionnaire sadique

Sam DeStefano travaillait pour la famille de Chicago. Il était un tortionnaire sadique qui liquida des dizaines de personnes sur l'ordre des parrains de la famille, dont son frère Michael qui se droguait. Dans le sous-sol de sa belle villa de la banlieue chic de Chicago, il avait l'habitude de torturer ses victimes avec un pic à glace. Accusé d'avoir tué Arthur Adler, Sam fut finalement tué de deux balles devant sa maison pour éviter qu'il ne balance la famille de Chicago car il était considéré comme un homme instable.

Frank Abbandando, le tueur de Brooklyn

Adolescent déjà, Abbandando extorquait de l'argent à des propriétaires de magasins en les menaçant d'incendier leur boutique. Tout comme Abe Reles, Frank faisait partie de la Yiddish Connection. Il l'aida d'ailleurs à éliminer les frères Shapiro en 1931. Au début des années 40, la Murder Incorporated fut frappée par une série de poursuites et Abe Reles n'y était pas pour rien. Responsable d'au moins 30 meurtres, Abbandando fut inculpé pour l'assassinat de Rudnik en 1937 et condamné à la chaise électrique en 1942.

Harry Strauss, le tueur très actif

Durant les années 30, Harry Strauss trafiquait de la drogue et commettait des vols et agressions. Ce criminel américain de la Yiddish Connection était l'un des tueurs les plus actif de la Brooklyn Combination avec plus de 100 meurtres à son actif. Il fut arrêté pour le meurtre d'Irving Feinstein et pour cinq autres meurtres au moment où Abe Reles devint informateur et fut condamné à la chaise électrique.

Thomas Pitera, l'homme qui aimait tuer

C'était un tueur à gages pour la famille Bonanno dans les années 80. Expert en art martiaux, ce dernier avait la réputation d'être quelqu'un d'extrêmement violent qui aimait tuer et acquit le surnom de Thomas Karaté. Ce dernier aurait commis plus de 60 meurtres violents et il aimait démembrer ses victimes une fois mortes, notamment les dealers de drogue. Pitera fut jugé coupable de meurtre sur six personnes et d'être à la tête d'une opération de trafic de drogue à Brooklyn et condamné à la prison à vie.

Joseph Barboza, la balance

Né en 1932, Joseph Barboza était un enfant difficile et il a dû grandir dans divers foyers d'accueil. Rapidement, il grimpa les échelons dans la violence et devint associé de la famille Patriarca de Boston. Il était appelé l'animal en raison d'une altercation dans un club où il a mordu l'oreille et la joue du patron. Arrêté en 1966, Barboza finira par balancer le chef de la famille et d'autres membres et sera libéré sous un autre nom. Il sera assassiné 10 ans plus tard.

Roy DeMeo, l'adepte du démembrement

Soldat de la famille Gambino, Roy aurait tué entre 75 et 200 personnes entre le milieu des années 1970 et le début des années 1980. Ce dernier avait acquis une certaine notoriété en raison de son utilisation du démembrement comme une méthode d'élimination de ses victimes. Il tirait une balle dans la tête, plantait un couteau dans le cœur puis pendait le corps par les pieds au dessus d'une baignoire jusqu'à ce que la victime se vide de son sang. Il découpait ensuite le corps en morceaux et les plaçait dans des sacs en plastique pour les mettre à la décharge. Suspecté par le FBI, son parrain décide de l'abattre pour éviter qu'il ne balance. Il sera retrouvé mort dans un coffre de voiture.

Giovanni Brusca, l'homme qui torturait les enfants

Surnommé "l'égorgeur de chrétiens" à cause des nombreux meurtres qu'il a commis (plus de 200), Brusca était un criminel italien appartenant aux Corleonesi. Il a même kidnappé un enfant de 11 ans d'un autre gang pour extorquer des informations. Pour cela, il l'a torturé pendant plus de 2 ans avant de le tuer et de le dissoudre dans de l'acide sulfurique. Il tua également le juge Falcone en 1992 et fut arrêté en 1996. Ayant collaboré, Bursca est en liberté conditionnelle depuis 2004.

Richard Kuklinski, le caméraman fou

Aussi connu sous le nom de "Ice Man", Kuklinski a commis son premier meurtre à l'âge de 13 ans en tuant le caïd de sa classe. Durant les années 50, il est recruté dans la mafia et est réputé pour filmer ses victimes en train de se faire dévorer vivantes par des rats. Son surnom Ice Man provient du fait qu'il maquillait l'heure de la mort en congelant les corps de ses victimes. Avant de mourir en prison, Kuklinski aurait tué plus de 250 personnes et reste l'un des tueurs les plus sombres, les plus violents et les plus complexes de son époque.