Les différents types de mangas/animes en France, ou comment mieux s'y retrouver au milieu de la jungle créative japonaise
Les mangas représentent une part importante de la culture exportée du pays du Soleil-Levant. Il en existe de nombreux types, souvent regroupés selon des terminologies pas faciles à comprendre au début. Cette dernière varie en fonction des pays. En effet, au Japon, on utilise plutôt des genres, qui correspondent à l’histoire, tels qu’amour et amitié, ou aventure par exemple. En France, le système est quelque peu différent, et nous utilisons une autre classification. C’est donc plutôt difficile, pour quelqu’un souhaitant commencer à lire des mangas, de retrouver son chemin parmi des centaines d’œuvres. Nous allons donc éclaircir de nombreux points qui vous aideront à ne plus vous perdre dans la recherche de l’histoire qui vous correspond. Attention cependant, les types suivant reflètent souvent des clichés, et sont issus des politiques éditoriales françaises, la classification japonaise est bien plus précise. Je parlerais ici de mangas tout comme d’animes, les types s’appliquant aux deux genres d’œuvres. Précisons que cet article s'adresse essentiellement aux novices du manga/anime pour qu'il découvre cet univers particulièrement complexe.
NON, il n’y a pas que deux types d’animes, les hentai et les autres !
Les animes, tout comme les mangas, sont classifiés en France selon les codes qu’ils emploient. En effet, chaque œuvre cible une population bien précise, définie généralement selon l’âge, mais également le sexe. Sans plus attendre, passons à une description de ces différents genres !
Shônen : quand on parle anime, ou manga en général, on pense directement à Dragon Ball, Naruto, et autres One Piece. Sachez que tous ces mangas appartiennent au genre shônen. En effet, c’est probablement le genre le plus connu actuellement. Il s’adresse, comme son nom l’indique, aux garçons, shônen signifiant "jeune garçon" en japonais. L’histoire est souvent celle d’un jeune héros partant pour un voyage initiatique, rencontrant des adversaires de plus en plus forts. En combattant, le héros progresse et devient également de plus en plus fort autant sur le plan physique que mental. Si vous cherchez de l’action, foncez ! Ce style est pour vous !
Shôjo : le terme Shôjo signifie "jeune fille" en japonais. Les mangas de ce type sont destinés à un public féminin plutôt jeune. Les histoires abordent des sujets variés, touchant à la vie quotidienne du personnage principal, avec bien entendu, une histoire d’amour. Même si cela peut paraître cliché, ces mangas pour jeune fille ont tous ce point en commun, une histoire de romance avec des héroïnes qui sont presque toujours lycéennes. On pourra citer comme exemples Fruit Basket, Kamisama Hajimemashita, ou encore Clannad. Si vous souhaitez regarder une histoire d’amour, ou quelque chose de léger et rafraichissant, vous pouvez puiser dans les shôjos, ils sont souvent bien plus différents les uns des autres que les shônens.
Seinen : le Seinen est un style un peu différent des deux autres précédemment évoqués, car il vise un public plus mature, plus vieux. Il aborde des thèmes très variés, allant du récit d’aventure au thriller en passant par l’intrigue sentimentale. Ici, on enlève le côté féérique ajouté dans les autres genres. Les sujets tout comme les graphismes sont plus réalistes, et les récits sont souvent plus graves. Ce type de manga peut reprendre des thèmes abordés par le genre shônen, mais les personnages sont moins faciles à cerner, et les intrigues plus recherchées, plus complexes. Dans ce genre, on peut citer Elfen Lied, un Seinen manga alliant gore, horreur et romance (si, je vous assure, c’est possible !), mais également L’Attaque des Titans connu pour son côté épique (oui en France, c’est un Seinen, à cause de la violence de l’œuvre).
Josei : ce genre est le penchant féminin du Seinen. Il s’adresse principalement aux femmes, et relate des histoires d’amour ayant des intrigues plus complexes que dans le shôjo. Les relations amoureuses, ainsi que la séduction sont souvent les sujets principaux de ces récits. Ils sont souvent associés à des préoccupations telles que le célibat, le travail ou bien le partenaire idéal par exemple. Ce genre est tout de même moins connu que les trois précédents qui restent les plus célèbres (mais toujours derrière un certain genre, je suis sûr que vous voyez de quoi je parle...). On peut citer comme exemple Usagi Drop, ou encore Chihayafuru.
On a parlé des autres, on peut parler du hentai maintenant ?!
Non, on ne parlera pas de hentai dans cet article, ou du moins pas pour le moment. Cependant, nous pouvons ouvrir une page consacrée aux mangas d’un autre genre, un genre érotique. Ne soyez pas surpris. En effet, si vous décidez de regarder un Shônen-ai, Shôjo-ai, Yaoi ou Yuri sans savoir ce que c’est. Vous pourrez être bien surpris !
Le shônen-ai met en scène une histoire d’amour entre deux hommes. Il n’y a pas de scènes explicites, cela reste donc plutôt soft pour le moment. L’équivalent féminin du Shônen-ai est le shôjo-ai, et tout comme ce dernier, il raconte une histoire d’amour entre deux filles.
Le Yaoi est presque comme le shônen-ai : deux protagonistes masculins, et une histoire d’amour. La différence est située au niveau des scènes qui sont bien plus explicites. Il n’y a pas de classification entre un yaoi érotique et un yaoi pornographique. Le yuri est l’équivalent féminin du yaoi.
Après ça, ne venez plus dire qu’on vous a fait regarder des choses déplaisantes, si vous n’aimez pas ce genre d’histoires, vous savez désormais comment les éviter !
Et finalement, le hentai ?
Très bien, ouvrons puisque vous insistez une courte page dédiée au genre Hentai… Bon, les hentai, pour ceux qui ne savent pas, désignent des mangas (ou animes) à caractère pornographique, hentai signifiant perversion en japonais. Même si ce terme regroupe d’autres notions telles que la perversion, l’anormalité, ou encore la transformation (allez savoir pourquoi), il peut être employé dans un cadre dénué de connotation sexuelle. Mais pas ici. Non. Bien essayé. Ici on parle bien de choses interdites aux moins de 18 ans. Nous en avons parlé, j’espère que vous êtes satisfaits !
En conclusion ? Une vision plus claire, propre à la France !
En France, la vision du manga est encore assez générale et des mangas sont souvent classés dans un même type alors qu’ils sont bien différents de la description initiale et ne correspondent pas toujours au cliché rattaché au terme shônen ou shôjo par exemple.
N’oublions pas que le public visé ne correspond pas toujours à la personne lisant ces mangas, et qu’il serait réducteur de penser que shôjo c’est juste pour les filles et shônen uniquement pour les garçons !
Si vous souhaitez vous intéresser à la méthode japonaise, je vous invite à faire des recherches, ou à attendre un prochain article sur la question !
D’ici là, portez-vous bien !
N'hésitez pas à donner votre avis sur cette version :)
Fort sympathique de prévenir le lecteur mais dans ce cas.... cliché n'est pas synonyme de vérité hélas... surtout si des gens lisent en diagonale (comme beaucoup), je sens qu'il va encore falloir se battre pour expliquer aux gens qu'un shonen n'est pas que du naruto avec des aventures épiques et le shojo pas uniquement des histoires romantiques.
Bref, ce n'est assurément pas suffisant.
Et ça s'arrête là, ainsi un auteur peut venir et dire "voilà moi j'ai fait une histoire qui parle d'amour dans un club de sport au lycée, il serait plus adapté pour un shonen" et voilà. Il peut même arriver qu'un éditeur choisisse la cible éditoriale la plus adaptée contrairement à ce que voulait l'auteur. (c'est purement commercial, les mag' japonais calcule semaine après semaine la rentabilité, chez nous aussi mais eux on va dire que c'est maladif ).
Pour la France, bah on a bien aimé ce système de "shonen / seinen / shojo" parce que... ça fait cool et authentique, alors qu'il n'a pas lieu d'être vu qu'on ne publie pas les mangas en kiosque mais directement en format bouquin en magasin. Est-ce que les BD francobelges s'embêtent avec ça? Nan, ils vont juste faire un rayon "fille", un rayon "garçon", ils classifient même par genre en général pas besoin de leur donner un nom c'est tout ^^ Le pire c'est qu'on classe les mangas par cible éditoriale mais quand tu te retrouvent à la fnac c'est tout simplement classé par ordre alphabétique (ils ont eu la décence de mettre les hentais en hauteur au moins). Donc pour le cas français, c'est plus du retournement de cerveau qu'autre chose (là c'est mon avis personnel et subjectif).
Premièrement: Shonen, shojo, seinen et Josei ne sont pas des genres mais des cibles éditoriales. Ils ne s'appliquent qu'aux mangas. Aux Japon, les mangas sont pré-publiés dans des magazines Shonen, Seinen, Shojo, Josei, Salary, érotique. C'est pourquoi des mangas aussi différent que Naruto, AnoHana et l'attaque des Titans sont des Shonen. De même K-On! (des petites écolières Moe d'un groupe de musique ne faisant pas de musique), Rainbow et Spirale sont Seinen......
Concrètement voici un exemple de genre: Harem, Tranche, Fantastique, Combats, Art Martiaux, Mecha, Musical et j'en passe. TOUS ces genres peuvent être retrouver dans TOUTES les cibles éditoriales.
Shonen et compagnie ne donnent qu'un indice du public visé, à l'instar de ces limites d'âges de nos films ou jeux vidéos que personne ne respectent.
Les mangas type Dragon Ball et One Piece, sont appelés Nekketsu, le terme Shonen regroupe des milliers de mangas radicalement différents.
On reste beaucoup dans le cliché et les erreurs de débutant dans cette article :3
-Spirale est une référence du manga d'horreur.
-Avant que l'on ne me fasse la remarque, L'attaque des Titans (SNK) est bien un shonen qui, jugé trop violent, a été édité en France dans la catégorie Seinen.
Soit-il en passant, il manque le Kodomo m'enfin vu que tout le monde s'en fout et c'est pas très vendeur pour la popularité de l'article on va dire qu'il est logique de l'oublier pour le remplacer par une moitié d'article composé de hentai et ses dérivés sensuels :p
Bien entendu il faut expliquer de façon simple comment s'y retrouver à la FNAC ou ailleurs et comment les boutiques et sites marchands français les classent étant donné qu'ils ne sont pas classifiés par "action, horreur, etc…" mais par cible !
Pour nous, cela reste du coup une bonne explication !
Hélas vous avez supprimé les anciens commentaires, je m'étais justement embêter à expliquer tout ça.
Mais ce que dit Jérémy c'est exactement ça, en gros il y a différents cible nommé shonen pour les garçons, seinen pour les adultes etc. Mais dans chacun on y retrouve des histoires diverses et variées (aventure, action, romance etc). Sauf que bien sûr dans l'un une romance sera assez aseptisé et fleur bleu dans du shojo et l'autre plus mature et réaliste dans du josei/seinen. Après évidemment que des préférences se dégagent elon les cibles éditoriales; ainsi un garçon préfère avoir de l'action d'où sa prédominance en shonen (et encore) et les filles voir des histoires d'amours dans des shojos.
Ensuite, les animés. Dans la mesure ou shonen/shojo etc désigne une cible éditoriale cela ne s'applique pas pour les animés qui ne dépendent pas de ce système de prépublication. En revanche une majorité d'animés proviennent de manga appartenant à tel ou tel type. Donc dire "cet animé vient d'un manga shojo" no problemo, dire "c'est un animé shojo" là c'est faux. Car de très bon animés tel que Code Geass sont des oeuvres originales donc on ne peux pas lui dire qu'il est un "animé shonen"... vu que le shonen... doit définir un manga et non un animé.
Pour finir, la traduction ici en France. Très souvent ils sont respectés il n'y a aucun soucis. Cependant les sensibilités françaises ne sont pas les mêmes que les japonaises, nosu avons d'autres degrés d'exigences (les PEGI, CSA etc) du coup il n'st pas rare de voir des éditeurs français changer la cible éditoriale afin de l'adapter chez nous en France, comme le fameux "attaque des titans", shonen très violent au Japon, considéré comme seinen en France.
A et j'oubliais; tout les trucs sur la pertie sensuelle et sexuelle, le hentai/shonen-ai et j'en passe ne sont que des genre et de ssous genre qu'on pourrait résumer à "l'érotique" ou "pornographique", ils sont diffusés dans des seinens ou autre josei (parfois il y a aussi des shonen-ai dans du shonen par exemple). Ainsi dans ses magazines on peut se retrouver à lire Berserk et Yotsuba& et retrouver dans le même mag un chapitre de Step Up Love Story.
La encore en France on a séparé, logique, afin d'adapter au public, ainsi oui en France on peut dire que le Hentai est une catégorie à part, les fans de japanimation vous crieront au scandale en disant ça d'ailleurs ^^
Cela me semble important de bien définir au Japon comment cela marche, et comment on a modelé tout ce système en France afin d'éviter tout mal entendu, car le soucis. C'est que beaucoup de personnes voulant en apprendre sur la culture "otaku" et la japanimation se plantent royalement avec toutes ses idées reçues du net. Et c'est toujours une partie de plaisir pour nous de les voir en convention et de leur expliquer en gardant son calme comment cela marche réellement... et quoi de pire d'entendre après "oui mais moi j'ai lu ça sur hitek donc c'est vrai"... alors que le pauvre gosse a juste mal interprété...
Et ça s'arrête là, ainsi un auteur peut venir et dire "voilà moi j'ai fait une histoire qui parle d'amour dans un club de sport au lycée, il serait plus adapté pour un shonen" et voilà. Il peut même arriver qu'un éditeur choisisse la cible éditoriale la plus adaptée contrairement à ce que voulait l'auteur. (c'est purement commercial, les mag' japonais calcule semaine après semaine la rentabilité, chez nous aussi mais eux on va dire que c'est maladif ).
Pour la France, bah on a bien aimé ce système de "shonen / seinen / shojo" parce que... ça fait cool et authentique, alors qu'il n'a pas lieu d'être vu qu'on ne publie pas les mangas en kiosque mais directement en format bouquin en magasin. Est-ce que les BD francobelges s'embêtent avec ça? Nan, ils vont juste faire un rayon "fille", un rayon "garçon", ils classifient même par genre en général pas besoin de leur donner un nom c'est tout ^^ Le pire c'est qu'on classe les mangas par cible éditoriale mais quand tu te retrouvent à la fnac c'est tout simplement classé par ordre alphabétique (ils ont eu la décence de mettre les hentais en hauteur au moins). Donc pour le cas français, c'est plus du retournement de cerveau qu'autre chose (là c'est mon avis personnel et subjectif).
Déjà parler de Shonen/Shojo/Seinen n'apporte absolument rien puisque cela désigne uniquement la cible éditoriale, comme l'a dit Jeremy ce qu'il faut savoir c'est le genre (voir ses exemples) !
Et surtout, si vous voulez parler de Seinen, parlez de VRAIS Seinen !
Berserk, Monster, Parasyte, etc... Les choix sont tellement vastes et ous parlez de SnK ? Faites moi rire.
S'il vous plait, VRAIS fans de mangas, faites un article qui tienne la route si vous voulez expliquer le manga à ceux qui n'y connaissent rien.
(c'était juste pour embeter ^^)
HighSchool DxD et autres m'voyez x)
Même un débutant n'y trouverais pas sont compte et serra au contraire encore plus perdu et comprendre n'importe quoi ...
Je vois déjà les nouveaux "adepte" dire que le Ecchi c'est du Hentai ... 2 chose différente vue que le hentai dans sa majorité est de la pornographie et le Ecchi juste des seins a l'air sans plus ..
L'article ne cite que des " cible " visé par des " genre " catégorisé en France
Clannad(qui reste dans mon top 3 de mes anime favori) est effectivement de la romance mais des after storie tombe dans le seinen au sujet grave et sérieux ce n'est pas parce que il y a de la violence dans une œuvre qu'elle dois être qualifier de seinen (la preuve avec shingeki no kyojin qui, malgré le côté violant, est un shonen)
Sinon un article avec de bonne intention mal exploité, par la rédaction, pour les vues, grâce à Wikipedia.
Euuuuh, une fois porté en animé il est bien classable, après c'est un jeu de drague à la base qui peut être selon moi classé parmi les shonen/seinen harem (pour la 1st part, avec les évolutions du héros, etc) et de seinen pour la 2nde, beaucoup de séries animes et mangas sont issus de light novel ou de jeux, ils demeurent plus proches de certaines catégories que d'autres.
Néanmoins la classification évoquée a plus de substance quand elle est appliquée aux mangas qu'aux animés, mais la classification shojo/shonen/josei/seinen est simpliste voire réductrice tant il y a de la diversité, c'est bon pour les néophytes japoniaisants !
(Pour les gens qui veulent de bons mangas : conseils de lecture : Dorohedoro, Satorare et Hoshi no samidare en manga, conseil de visionnage : Kino no Tabi, mushishi et Gintama, ça vous changera des rares bouses commerciales arrivant en france ! ;p )
J'aurais du préciser "il ne se classe pas parmis les seinen/shojo/shonen/co. Mais bien comme genre romance/philosophie. Mais c'est pas un panga donc forcément il ne peut pas se classer comme étant un shojo ou autre seinen puisque cette forme de classification ne concerne que les cible éditoriales de mangas ^^
NON, le Yaoi n'est pas forcément soit érotique soit pornographique, il peut être juste romantique à partir du moment où ça implique c'est entre hommes et ce même sans aucune scènes explicites...si si
D'ailleurs si vous souhaitez coller aux "catégories" de la fnac & co, comme cité plus haut dans les comm, il n'y a pas un rayon "shonen-ai" et un rayon "yaoi"
bref yaoi implique une relation amoureuse assumée, claire, explicite entre hommes, on dit aussi du Boy's Love (ce qui est le seul terme utilisé au Japon) et qui comporte tous les degrés possibles, de la "romance" cul-cul fleur-bleue pas érotique au "hard yaoi" défendu au moins de 16/18 ans
Ce que nous appellons Shonen-ai n'est pas juste du "yaoi sans scènes explicites", et la romance n'est même pas une composante indispensable au shonen-ai, d'ailleurs au Japon ils ne sont même pas considérés comme Boy's Love, ce sont des shojo/josei (Yami no Matsuei, Loveless, N°6, Princess Princess, Vassalord....) ou des shonen/seinen (Saint-beast, Switch, Monochrome Factor ....) Donc les "relations entre hommes" sont surtout ambiguës voire même carrément fantasmées^^
Un gain de temps :Finies, les heures passées à chercher des poses de référence sur internet. Les figurines Body-Kun et Body-Chan sont des mannequins ultra flexibles : elles peuvent prendre toutes les positions que vous voulez, vraiment toutes.
Des références ultra réalistes :Oubliez les mannequins en bois, choisissez les modèles Body-Kun et Body-Chan pour vos créations. Leurs proportions et leurs gestuelles hyper réalistes en font les meilleurs modèles de référence sur le marché, et ils vous donneront le meilleur rendu possible pour vos dessins.
Développez votre créativité: que vous soyez amateur ou professionnel, elles vous permettent de vous concentrer uniquement sur votre pratique artistique et ce que votre imagination veut créer.
https://bodykun.net/collections/…