17 règles loufoques et stupides instaurées à la maison par ces parents
Lorsque l'on est enfant unique, on a souvent l'impression d'avoir tous les droits, tous les privilèges. Cela change dès lors que l'on a des frères et sœurs, qui forcent les parents à instaurer des règles plus strictes (temps de partage de la console, répartition des tâches ménagères...). Mais parfois, les règles en question semblent particulièrement bizarres, quand elles ne sont pas complètement loufoques, voire stupides. On vous a sélectionné quelques une des ces règles étranges, partagées par les internautes sur ce subreddit.
#1 Le canapé intouchable
Ma mère a toujours eu un canapé blanc. Gros, duveteux, le genre qui fait envie. Personne ne pouvait s'y asseoir, ou même respirer près de lui. Et cela concerne même les invités. Je me suis souvent demandé pourquoi il était là.
#2 on appelle ça du racisme
Je n'étais pas autorisé à sortir avec des personnes noires plus sombres que moi.
#3 la maison, ce n'est pas un camp de nudiste
Notre règle la plus étrange était la Règle des Sous-Vêtements à Table. Moi et mes trois sœurs étions de grandes fans d'être nues quand nous étions plus jeunes. Alors de 3 à 8 ans, dès qu'on rentrait de l'école, on retirait tout, peu importe qui était à la maison. Donc notre mère a mis en place la Règle des Sous-Vêtements à Table, stipulant que durant le diner, tout le monde doit porté au minimum des sous-vêtements, sinon on ne mangeait pas. Plus tard, ça a été complété par la règle stipulant que si vous aviez un torse poilu, vous deviez porter un t-shirt (ça s'appliquait plus à mon père qu'à nous).
#4 tu ne t'ennuieras point
Je n'étais jamais autorisé à dire que je m'ennuyais. Si je le disais trop souvent, on me forçait à m'asseoir et ne rien faire pendant une heure. J'ai rapidement appris que tout était mieux que de s'asseoir et ne rien faire.
#5 tout le monde à le droit à son petit moment détente
On devait faire des siestes le dimanche. Chaque dimanche. Maintenant que je suis plus vieux, je réalise que c'était la seule chance de coucher ensemble pour mes parents.
#6 attention à ne pas marcher dessus
On n'était pas autorisées à couper nos cheveux. Ils descendaient presque à nos pieds (pourtant ce n'était ni religieux, ni culturel). Puis ma mère a laissé mes jeunes sœurs couper les leurs, mais moi je n'avais toujours pas le droit. Quant j'ai eu 18 ans et ait finalement pu, mon coiffeur m'a dit que j'avais 30 centimètres de pointes, qu'il m'a coupé.
#7 j'espère qu'il ne retournait jamais le pain sur la table
Je ne peux pas quitter la maison après avoir éternué et je ne peux rien faire de nouveaux le mardi, parce que je suis né un mardi. De folles superstitions que ma mère refuse d'abandonner.
#8 A huit ans, ils n'avaient plus de dents
Janvier était un mois sans sucre. Mais le 31 décembre consistait à manger autant de sucre que notre corps pouvait le supporter.
#9 jk rowling, boycottée avant l'heure
Pas de Harry Potter, parce qu'il y a des sorciers. Alors, je pourrais comprendre cette règle, sauf qu'il y a un petit détail : j'étais autorisé à jouer à Donjons & Dragons, à lire Le Seigneur des Anneaux, j'avais des amis qui étaient littéralement occultistes. Mais pas de Harry Potter.
#10 la vie est un éternel apprentissage
Pendant le repas du soir, on devait parler de trois choses que l'on avait apprises dans la journée. Si on n'avait pas trois vrais sujets à aborder, on était privé de dessert.
#11 c'est danegreux, de rire allongé ?
Les parents de ma mère ne laissaient pas leurs enfants rire en étant allongé. Dès que quelqu'un faisait une blague, si quelqu'un était allongé, il devait s'asseoir pour rigoler.
#12 retour au moyen-âge
Ma meilleure amie qui a 18 ans n'est pas autorisé à fermer la porte (même quand elle se change), et si ses parents voient la porte fermée, elle paye des frais de 5 dollars. Et c'est 10 dollars si elle quitte sa chambre en laissant la lumière allumée. Elle n'était pas autorisée à regarder Harry Potter, Twilight, etc : tout ce qui était en rapport avec la magie, ou les esprits du mal. Si elle ne va pas à l'Eglise le dimanche, elle est punie une semaine et paye des frais de 5 dollars.
#13 dégueu
Je devais mâcher ma nourriture 50 fois avant de l'avaler. C'est plus dur que ça en a l'air. Manger de la soupe était particulièrement difficile.
#14 cette règle, on peut la comprendre
Je ne pouvais avoir qu'un demi verre de lait à la fois. Je pouvais le boire et ensuite avoir un autre demi verre. Mais pas un verre entier. On m'a dit que c'est parce que le lait est cher et qu'on ne voulait pas qu'il soit gâché.
#15 de la violence psychologique
Si nous étions sales, nous devions rester regarder les toilettes. Ça fonctionnait comme une menace humiliante, sans dommage physique, et rétrospectivement super drôle. Mon père est un blagueur.
#16 Vous croyez qu'il s'agit de la même famille qui possède le canapé intouchable ?
Je n'étais pas autorisé à m'asseoir sur mon lit. J'avais des problèmes si mes amis s'asseyaient dessus et froissaient les draps. Ils devaient rester de immobiles et droits, ce qui était presque impossible.
#17 on n'est jamais trop prudent
On m'a dit que mes amis ne pouvait pas dormir à la maison parce qu'ils pourraient assassiner ma famille et moi. Mes parents trouvent toujours des excuses pour éviter d'avoir une conversation honnête à ce sujet.
N'hésitez pas à nous partager vos propres anecdotes en commentaires ! Et si être soumis à des règles strictes est parfois agaçant, ça vaut toujours mieux que de passer des journées pourries. On a récemment consacré un article au sujet de ces dernières ! Si vous avez envie de vous moquer du malheur des autres, c'est par ici.
La différence entre les enfants de 1980 et 2010: ont leurs apprenaient à s’embêter, maintenant ce n'est plus possible!! :)