Emma Watson, que l'on connait surtout pour avoir interprété le rôle d'Hermione Granger dans la saga Harry Potter, a confié son intérêt pour le BDSM.
Les confidences d'Emma Watson
Découverte en 2001 dans Harry Potter à l'école des sorciers de Chris Columbus, Emma Watson est rapidement devenue une icone pour des millions de personnes à travers le monde. Si ses rôles en tant qu'actrice ont énormément contribué à sa popularité, de nombreux fans ont été conquis par les idéaux féministes affirmés de l'actrice.
Emma Watson, qui se montre très pudique concernant sa vie privée, s'est néanmoins confiée sur son rapport à la sexualité, dans une interview accordée au magazine Teen Vogue. Elle y évoque notamment sa fascination pour la culture kinky, qui regroupe toutes les formes de sexualité non-conventionnelles (BDSM, bondage, etc).
Je suis légèrement devenue fascinée par la culture kinky, car les personnes qui la pratiquent sont celles qui communiquent le mieux. Elles savent tout sur le consentement. Elles gèrent totalement cette notion car elles sont obligées de l'avoir. Nous pourrions tous nous en servir comme modèles, ce sont des modèles qui aident vraiment.
Pour l'actrice britannique, la culture kinky est indissociable de la question du consentement sexuel, devenue (heureusement) centrale aujourd'hui, depuis l'émergence du mouvement #MeToo.
En féministe convaincue, Emma Watson s'est toujours montrée très proche de ce mouvement de libération de la parole des victimes de violences et d'abus sexuels. Après avoir donné l'équivalent de 1.4 million d'euros au fond pour la Justice et l'Egalité en 2018, l'interprète d'Hermione Granger a soutenu le lancement d'une ligne téléphonique gratuite, spécialisée dans l'aide juridique aux victimes de harcèlement sexuel au travail.
Par Old Yoda, il y a 4 ans :
Hum... Je me souviens personnellement d'un livre, Histoire d'O, et niveau consentement, c'était vraiment très léger... (Ce livre est nul à chier.) Du coup, je ne sais pas si vraiment il y a un type de sexualité qui met plus en avant la question du consentement sexuel qu'une autre. D'autant plus qu'on nous parle tout le temps d'emprise morale et psychologique. Partant de ce postulat, je suis sûr qu'on peut trouver quelqu'un qui s'est lancé dans le BDSM parce qu'il était sous l'emprise psychologique de quelqu'un d'autre. Bref, je pense que quand on essaye de tout le temps classifier, on se confronte à quelques contradictions. Je dis ça je dis rien
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