#Macron20h : les internautes se moquent de l'allocution d'Emmanuel Macron (25 tweets)

Par midorijin, il y a 2 ans (en réponse à Old Yoda):

Par ce qu'avec un autre, ça aurai été différent?!

ça fait 40/50 ans qu'on ce coltine des bal tringues, c'est pas prêt de changer.

Gauche, droite, centre, extrême, une fois au pouvoir, ça reviens en gros au même.

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Par tito, il y a 2 ans (en réponse à Old Yoda):

Entièrement d'accord avec Old Yoda, Macron profite de sa position pour faire campagne électorale, alors que son bilan parle pour lui : son garde du corps condamné par la justice à 1 an de prison qu'il ne fera pas, Macron n'a rien fait pour ceux qui ne peuvent pas vivre de leur travail mais a aidé les très riches à avoir encore plus de fric, faire une politique migratoire de droite, voire d'extrême droite ...

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Par mwai, il y a 2 ans (en réponse à Old Yoda):

Bah écoute en regardant les infos, j'ai vu que google actu avait référencé le site de Mélenchon comme source d'article d'actu, c'est le seul candidat a avoir ce privilège (il n'est crédité de moins de 5% des voix), donc ça compense...

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Par fritz, il y a 2 ans (en réponse à X):

Oui, en Suisse.

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Par Redson, il y a 2 ans (en réponse à fritz):

Ca vote régulièrement chez eux donc niveau politique ça doit être très présent, la différence surement c'est qu'on prend les Suisse pour des citoyens pas seulement des votants

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Par midorijin, il y a 2 ans (en réponse à Redson):

Ouais, enfin, en France, ça gueule pour demander à être entendu, mais des qu'on donne au peuple l’occasion de faire valoir sa voix, il n'y a plus personne (exemple: la privatisation d'ADP et le choix d'heure été/hivers).
Alors pour aller voter tout les 4 matin... ce n'est pas en France que ce système risque de fonctionner.

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Par Bobby, il y a 2 ans (en réponse à fritz):

Le Suisse que je suis me permet d'apporter une précision à ton commentaire: Oui, en Suisse-allemande, au Tessin, et dans les cantons romands (francophone) de Fribourg, Jura, Valais.

Le reste, c'est limite. Mieux qu'en France, oui, mais limite (surtout pour Genève).

Ne vous faites pas une idée trop magnifique de la Suisse, elle a aussi plein de défauts. L'herbe n'est jamais plus verte ailleurs.

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Par Redson, il y a 2 ans (en réponse à Bobby):

C'est vrai que vous avez des kits pour voter sur des propositions de loi ?

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Par Bobby, il y a 2 ans (en réponse à Redson):

Je ne comprends pas bien ta question, mais tu veux parler du référendum ? (possibilité d'annuler une loi votée par le parlement si 50000 signature réunies)

Si c'est ça, oui.

Sinon on a aussi l'initiative populaire, que beaucoup nous envie. C'est la possibilité de créer, modifier, supprimer une loi. Par exemple: un comité de citoyen veut le retour de la peine de mort. Bon, il crée l'initative populaire, la fait valider par la chancellerie fédérale (qui valide tout, du moment que l'initiative est édictée de manière correcte), et ensuite les initiants ont un an pour récolter 100'000 signature, à travers toute la Suisse. S'ils y arrivent, le parlement va se saisir de la question est l'accepter ou non. Le parlement est composé de deux chambres: le national (peuple) et les Etats (Cantons). Pour que l'initiative soit adoptée, les deux chambres doivent mettre oui. Si l'une des deux dit non, cela renvoi la balle à l'autre qui va devoir édicté une loi plus passable, ou alors ils la refusent les deux en blocs et ils proposent (ou non) un contre-projet. Si les deux chambres refusent ou n'arrivent pas à se mettre d'accord, c'est le peuple qui aura le dernier mot.

À noter que si le peuple dit OUI, cela ne veut pas dire que cela sera appliqué tel quel. Il y a les accords/loi internationaux que l'ont a signé qui sont pris en compte.

Dans mon exemple, cela sera un véritable casse-tête pour le conseil fédéral d'appliquer l'initiative de la peine de mort. Je pense même que ce n'est juridiquement pas possible, mais après, la volonté populaire tout ça. La Suisse est un pays de consensus.

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Par mwai, il y a 2 ans (en réponse à obyoneone):

Les actus ont déjà rapporté au moins 2/3 complots de militaires et de hauts fonctionnaires de l'armée, durant toute la mandature...

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