L'addiction aux jeux vidéo pourrait être considérée comme un trouble mental par l'OMS
Les jeux vidéo ont vu naître bon nombre de débats, de leur danger envers la jeunesse à leur corrélation avec des incidents armés. Les débats sont relancés avec l'Organisation Mondiale de la Santé, qui doit trancher avec la considération, ou non, de l'addiction aux jeux vidéo comme étant un trouble mental.
Un phénomène datant des salles d'arcade
Les jeux vidéo et les jeux d'argent sont intimement liés, avant même la présence des micro-transactions. EA a fait les frais du ras le bol des joueurs alors que Star Wars Battlefront 2 n'était pas sorti et pourtant, l'addiction aux jeux vidéo pourrait bien être considérée comme un trouble mental par l'OMS. L'institution hésite encore à l'inclure dans sa 11ème édition de la Classification internationale des maladies prévues (pour 2018).
Appelée "gaming disorder" en anglais, elle est régie par trois points :
- une altération des contrôles sur le jeu (début, intensité, durée, fin, contexte).
- un accroissement de la priorité donnée au jeu vidéo au point que le jeu vidéo soit prioritaire aux autres intérêts de la vie et des activités quotidiennes.
- la continuation ou l'escalade du gaming malgré l'apparition de conséquences négatives.
L'addiction aux jeux vidéo n'est pas neuve. Depuis l'apparition de Space Invaders sur les bornes d'arcade en 1978 à celle de World of Warcraft en 2004, l'addiction a toujours été présente. Désormais, elle est répertoriée parmi les maladies des comportements addictifs, avec le trouble du jeu, seule autre maladie de la catégorie.
"Les professionnels de la santé doivent reconnaître que les troubles liés aux jeux peuvent avoir de graves conséquences sur la santé", a déclaré Vladimir Poznyak du Département de la santé mentale et de l'abus de substances à l'OMS.
Bien évidemment, tout le monde n'est pas à mettre dans le même panier. Le jeu vidéo reste avant tout un divertissement. La définition de son addiction n'est pas définitive mais ces critères ne représentent qu'une infime partie des joueurs.
Elle n'est pas la cause mais seulement la conséquence d'un mal plus profond.
il y a des personnes qui passent autant de temps devant leur TV que les joueur sur leur PC/Console
et là personne ne s'offusque
Bah désolé si je préfère perdre mon temps sur les jeux vidéo, plutôt que de regarder les anges de la télé réalité ...
Tu peux aimer les jeux vidéos et y jouer plusieurs heures par jours sans être addict.
on est presque en 2018 et ya encore des abrutis qui croient que les jeux vidéos sont le pire fléau du 21ème siècle (pas vrai le gouvernement?!pas vrai les putains de fanatiques religieux surtout toi la Foi?!!),ouais c'est vrai que c'est plus grave que le harcèlement à l'école,la pollution ou la guerre en syrie tout ça on s'en fout c'est les geeks le vrai problème....mais comment ces gens peuvent balancer des conneries pareil?!!ces mêmes gens qui considèrent les fans de foot comme une race supérieur!!!
et bordel l'addiction aux jeux vidéos n'existe pas (autant que je sache ça ne s'ingère pas et on ne fait pas les pires conneries pour une "dose" (apart en voler peut être)) ça a été prouvé scientifiquement je compte même pas le nombre d'études scientifiques qui prouvent que tout le mal qu'on dit des jeux vidéos c'est des conneries voir que c'est tout le contraire!!
putain l'oms (que j’appellerai désormais organisation mondial des salopards) foutez la paix aux geeks et à la place prenez des mesures contre l'addiction au tabac et l'alcool (augmentez les prix des paquets de clopes tu parle d'une mesure)!!
mon Dieu je déteste ce monde qui persécute les geeks et quand c'est pas les geeks c'est les religieux et quand c'est pas eux c'est les vegans/défenseurs des animaux et quand c'est pas eux c'est l'ARPAC & co etc
Une chose plaisante pour notre cerveau provoque la libération d'endorphine, qui fait qu'on ressent du bien-être, et on recherchera ensuite à reproduire cette sensation.
Aussi on peut avoir une addiction à une drogue, à l'alcool, au tabac, au sucre, au chocolat, mais aussi au sexe, au sport, tout comme aux jeux vidéos, au fait de traverser la rue hors des passages piétons, au meurtre de petits chatons mignons...
Tout ce qui peut provoquer le plaisir et la libération d'endorphine est susceptible de devenir addictif, et donc l'absence de cette chose et l'absence d'endorphine provoque le manque, qui se traduit ensuite physiquement par des symptômes et des comportements indésirables.
Et comme pour toutes les addictions, on n'est pas tous égaux face à l'objet de la dépendance. Pour les substances, ça dépend de la résistance de l'organisme de chacun. Pour le reste, ça dépend de la quantité de plaisir prise dans une activité, de l'effet que ce plaisir aura sur le cerveau de la personne, etc...
Donc, pas besoin de d'exciter parce qu'un article porte sur une addiction qui peut toucher les gamers. Ou peut-être que tu es sujet à une addiction au hating ?
je le redis tout ça n'est qu'un moyen de rabaisser et persécuter les geeks parce qu'ils leurs crachent à la gueule juste parce qu'ils passent beaucoup de temps à jouer alors qu'il ya plus grave comme les chasseurs qui tuent des inocents par plaisir même quand ils sont en voie d'extinction ou les fumeurs compulsifs qui limite t'oblige à sortir avec un masque à gaz tellement ça pue le tabac quand ils se teint les poumons en noir ou les fan de foots qu'ils voient comme une race supérieurs ça par contre ça a pas l'air de les déranger
rien que pour ça l'oms est comme le gouvernement les kuffs et les écoles,ce qui est pas grave ils s'acharnent dessus et ce qui est vraiment grave ils s'en foutent ne me dite pas le contraire