Amouranth : après son ban, la streameuse s'insurge et demande à Twitch d'arrêter d'être "lâche"
En quelques années seulement, Twitch s'est imposée comme LA référence du streaming sur la toile. Bien que des concurrents aient depuis émergés, poussés par des géants de la tech comme Google et Microsoft, la plateforme de streaming d'Amazon conserve sa couronne, notamment grâce à ses vidéastes les plus populaires. Parmi ses grands noms de Twitch, un gravite autour d'une ribambelle de polémiques : Amouranth. Après sa dernière suspension, la vidéaste a lancé une énième pique à destination de Twitch.
la streameuse la plus populaire de twitch
Depuis ses débuts en 2016, Kaitlyn "Amouranth" Siragusa a été à l'origine d'une palanquée de polémiques. Son contenu divise, jouant allègrement avec les limites de ce qui est autorisé par Twitch. De plus, depuis juillet 2019, Amouranth a été suspendue 5 fois. Des suspensions temporaires qui laissent entrevoir un traitement de faveur envers l'une des streameuses les plus populaires de la plateforme. Et pour cause, d'après le Code de conduite de Twitch, "plusieurs suspensions à la suite peuvent mener à une suspension définitive".
Suspendue durant 3 jours en octobre dernier, Amouranth jongle avec une ribambelle de contenus différents. Ses activités ne se limitent pas à Twitch, la jeune femme d'affaires étant également retrouvée du côté d'OnlyFans, de Patreon, d'Instagram, de TikTok ou encore de Fansly. Un véritable empire médiatique qui a ses défauts. Bien qu'extrêmement lucratif, ses activités impactent durement sa santé mentale et physique.
Dans une nouvelle interview pour Vice, Amouranth partage son quotidien, de ses 12 heures de stream quotidiennes à ses activités annexes, en passant par sa solitude pesante et son objectif ultime : l'ouverture d'un sanctuaire animalier. Une prise de parole en publique qui lui aura permis de lancer une belle pique à Twitch au passage.
une pique vis à vis de la politique de Twitch
Lors de cette nouvelle interview, la streameuse la plus populaire de Twitch en a profité pour s'indigner de la politique adoptée par Twitch vis à vis des suspensions, temporaires ou définitives. Lorsque les suspensions sont émises, les vidéastes peinent à obtenir des précisions sur les raisons liées à cette sentence. Il arrive que la suspension découle d'une transgression logique du code de conduite de Twitch. Parfois, cette suspension se veut plus obscure. Les streamers peuvent faire appel, mais Twitch se réserve le droit de maintenir cette suspension, sans pour autant apporter davantage de détails quant à la transgression survenue.
Face à ce manque de transparence, Amouranth ne mâche pas ses mots :
"Ils agissent de la sorte parce qu'ils ne veulent pas avoir la responsabilité de vous dire ce que vous avez fait de mal. Ils ne veulent pas être responsables de l'application de leur propre politique."
Suite à son dernier ban, survenu en octobre 2021, Amouranth explique avoir passé plusieurs jours à se demander où était la faute. Dans l'éventualité où Twitch apporterait des précisions à cette suspension, la streameuse serait en mesure de ne pas reproduire la même erreur :
"Vous savez, ils n'ont pas eu l'air d'aimer mon masque d'oiseau ASMR, je pense. Mais, ils ne me l'ont pas vraiment dit. Quoi que j'aie fait, je dois le trouver moi-même, mais manifestement, quoi que ce soit, ils n'aiment pas ça.
C'est ironique parce que je suis ici en train d'embrasser ma sexualité, et les gens ont des problèmes avec ça, alors que tous les jeux auxquels les adolescents et les adultes jouent sur Twitch, il y a des femmes constamment sexualisées.
Dead or Alive, ce sont des femmes en bikini, GTA il y a des strip-teaseuses, c'est bien. Il n'y a que des vraies femmes, on ne peut pas embrasser notre sexualité - non pas que Twitch me dise ça."
Malheureusement pour Amouranth, Twitch a prouvé par le passé préférer ne pas prendre position. Néanmoins, il arrive parfois que la plateforme de streaming d'Amazon soit forcée d'intervenir, si ses utilisateurs grondent suffisamment fort. Ce fut le cas pour la naissance de la catégorie "Piscines, jacuzzi et plages", jugée nécessaire après l'engouement suscité par la "Hot Tub Meta", notamment popularisée par Amouranth.
Oh la pauvre princesse mal dans sa peau, Je me demande qui est l'horrible entitée qui la force à vendre son corps, son image, et sa santé contre de l'argent, Le patriarcat ou elle même? :)
En plus elle ose se plaindre de l'hypersexualisation et de l'objectification de la femme, je suis mort xD
Franchement vous avez pas honte et c'est à ça qu'on ne peut que confirmer que vous êtes effectivement bien des Fragiles de Branleurs à l'heure avec vos articles au Sopalin !!!!
Je pense qu'elle n'a pas besoin de se faire chauffer son neurone trop longtemps. C'est une récompense pour l'ensemble de son oeuvre.
Qu'elle se lance dans le porno une bonne fois pour toute plutôt que jouer avec les limites d'une plateforme de gaming pour ados. Profiter de la frustration de ces gamins plein d'hormones pour leur piquer un maximum de pognon, il faut vraiment être la dernière des merdes. Et que derrière elle fasse la sainte nitouche à faire semblant de ne pas comprendre pourquoi elle se fait ban, c'est prendre vraiment les gens pour des cons.
Déjà ma daronne m'aurait collé quelques baffes, je pense, donc on peut déjà se demander ce que font les parents de tous ceux qui bavent devant elle sur Twitch...
Bref, c'est triste mais c'est comme ça, des paumés exploités par d'autres paumé(e)s, avec une sacrée dose d'hypocrisie de tous les côtés c'est malheureusement ce qu'est devenue notre société... Mais j'insiste sur le rôle parental, car dans l'absolu des trucs glauques voire dangereux y'en a toujours eu, faut juste une protection, et c'est à ça que sert un parent, en théorie...
Aussi pour ces mêmes raisons je vais de ce pas faire la même chose mais bénévolement...
Les mouchoirs vont transpirer Louuuuuuuuuurd !!!