Ant-Man 2 : Peyton Reed parle de ce qu’il aimerait pour la suite

Alors qu’il avait déjà réalisé le premier opus d’Ant-Man, Peyton Reed a annoncé être rentré en négociations pour s’occuper du second volet du blockbuster Marvel. On espère être aussi bluffé que pour le premier opus. 

Pour Ant-Man 2, le réalisateur a partagé son excitation de reprendre du service pour Ant-Man and the Wasp, notamment pour y retrouver Paul Rudd et Evangeline Lilly.

"Nous sommes encore en plein milieu des négociations, mais cela s'annonce assez bien. Je meurs d'envie de revenir et de faire ce film. Je suis vraiment très enthousiaste vis à vis de cette suite."

La Guêpe : une héroïne à part entière

Peyton Reed a également profité de cette entrevue pour approfondir les thèmes qu’il aimerait aborder dans ce nouvel épisode. Il souhaiterait que la Guêpe prenne du galon en mettant ce personnage beaucoup plus en avant. Selon lui, c’était un point crucial dans le premier film : "Parce que dans les comics, à l'exception de quelques-uns, La Guêpe débarque assez tôt et vous vous mettez vraiment à penser à leur relation comme à un partenariat, un romantique partenariat, autant qu'à une équipe de héros."

Pour la suite de la franchise, Peyton Reed explique avoir besoin d’héroïnes et prend la réalisation de ce nouvel opus comme un défi à la fois excitant et rafraîchissant :

"C'est une évidence, nous avons besoin d'héroïnes (...) Et c'est ce que j'ai toujours aimé avec Ant-Man et La Guêpe, c'est que cela permet de traiter aussi bien des problèmes de genre que de trucs de super-héros. Dans les comics, et particulièrement dans ceux des années 60, La Guêpe de Janet Van Dyne était clairement écrite par des hommes et était assez unidimensionnelle."

Pensez-vous que Reed a fait ses preuves sur ce projet et est-ce une bonne nouvelle de lui proposer à nouveau la réalisation du second volet d’Ant-Man ? Toujours est-il que Ant-Man and the Wasp est prévu pour sortir le 6 juillet 2018 aux Etats-Unis et nous retrouverons Paul Rudd et Evangeline Lilly au casting.