Deadpool 3 : le créateur du personnage fait cette demande à Disney
Depuis son retour dans les salles obscures le 24 juillet dernier, "Marvel Jesus" fait un véritable carton au box-office. En mettant officiellement fin à cette malédiction du MCU, Deadpool 3 s'impose comme un des plus gros succès de la Maison des Idées, et comme le hit de l'été 2024. Rob Liefeld, le créateur du personnage, en a profité pour faire cette requête à Disney.
Rob Liefeld suggère cette (bonne) idée à bob iger
En co-créant Deadpool au début des années 90, Rob Liefeld était loin de s'imaginer que son "bébé" deviendrait l'une des poules aux oeufs d'or de l'univers cinématographique Marvel, quelques trente ans plus tard. Pourtant, c'est exactement ce que le super-héros est devenu, à coup de blagues salaces, de références à la cocaïne (un des ultimes tabous de Disney) et de gestes obscènes, le tout arrosé de litres d'hémoglobine. Une ascension aussi impressionnante qu'inattendue au Panthéon des valeurs sûres de la Maison des Idées, qui rend le dessinateur du Mercenaire particulièrement fier. Assez prolixe sur les réseaux sociaux, ce dernier a partagé sur X une suggestion à l'intention de Bob Iger, le boss de Disney.
If I’m Bob Iger, I’m giving Ryan Reynolds a huge producing deal that finds him producing the Blade Legacy film, Channing’s Gambit as well as a Deadpool & Wolverine sequel. This isn’t brain surgery.
— robliefeld (@robertliefeld) August 14, 2024
Si j'étais Bob Iger, je donnerai à Ryan Reynolds un énorme contrat de production qui lui permettrai de produire le prochain film Blade, le Gambit de Channing [Tattum] ainsi qu'une suite de Deadpool et Wolverine. Ce n'est pas sorcier.
Cette demande de Rob Liefeld à Disney pourrait-elle trouver un écho chez Marvel Studios ? Sans exclure cette possibilité, le formatage de plusieurs super-héros à la sauce Deadpool risquerait de provoquer l'ennui et la lassitude du public. Après tout, le succès du Mercenaire tient en grande partie à sa rareté sur nos écrans...
Et vous, qu'en pensez-vous ?
Mieux vaut Reynolds en soutien de ces films, mais sans altérer leurs tons respectifs.