Cela fait déjà 10 ans que le premier film Expendables est sorti au cinéma. Trois opus ont vu le jour et l'an passé, nous apprenions que Stallone avait signé pour tourner dans le quatrième film de la franchise. Sauf que depuis, le projet n'a pas fait parler de lui. Certes, il faut dire que la pandémie de Covid-19 a forcément dû modifier les plans de la production, mais les fans se demandent s'ils reverront un jour Sylvester Stallone en Barney Ross. Rassurez-vous, le projet n'est pas enterré !
Un quatrième opus toujours d'actualité
En effet, si l'on en croit les propos de Randy Couture, qui incarne Toll Road dans les épisodes d'Expendables depuis le lancement de la franchise en 2010, le quatrième opus tant attendu verra bien le jour. C'est ce qu'il a déclaré au site Action Elite. L'acteur et combattant MMA a expliqué avoir reçu l'année dernière un script pour ce futur épisode et qu'il avait adoré l'histoire cependant, il ne sait pas où en est le processus de production :
Je ne sais pas où l'on en est question tournage. Il se passe beaucoup de choses en coulisses avec le producteur pour avoir le feu vert pour tourner un film aussi important.
Et de poursuivre en déclarant qu'il espère que le tournage pourra débuter au printemps prochain. Mais de souligner que rien n'est sûr car "avec un projet aussi gros, c'est toujours compliqué".
Un spin-off d'Expendables en préparation ?
De plus, de son côté Jason Statham a avoué que si Stallone l'appelait pour Expendables 4 il répondrait présent immédiatement. A noter qu'une rumeur circule selon laquelle Statham pourrait avoir le droit à un spin-off autour de son personnage de Lee Christmas. Bien entendu, rien d'officiel. Pour l'heure, il semblerait que le projet d'Expendables 4 dépende du producteur car tout le monde a l'air d'être partant. En attendant, Sylvester Stallone tourne Samaritan et enchaînera avec Little America, un thriller d'action futuriste en collaboration avec Michael Bay. L'acteur travaille également sur un director's cut de Rocky IV.
Par Jeanlucaseco, il y a 3 ans :
Peut-on vraiment parler d'une bonne nouvelle ?
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