Facebook : le réseau social censure le Gorafi
Le Gorafi.... ce média satirique qui surfe sur l'actualité pour tourner en ridicule certaines informations a de nouveau frappé. Si la réputation du média n'est plus à prouver, il semblerait que Facebook ne soit pas d'humeur à plaisanter ces derniers temps...
Qu'est-ce qu'on se marre....
Fidèle à lui-même, Le Gorafi s'adonnait aux plaisirs de la caricature et de la provocation. Sa victime ? Le Premier ministre Jean Castex ciblé par une fausse citation à la suite d'une véritable conférence de presse donnée par le gouvernement le 22 octobre dernier.
Le prochain que je vois qui porte un masque sous le nez, c’est un pain dans la gueule
Une publication qui n'est apparement pas passée chez Facebook puisque le média aux 1,4 million d'abonnés, s'est vu censurer par le réseau social estimant que la citation "allait à l’encontre de nos standards de la communauté en matière de violence et provocation."
Bonjour @FacebookFR il va falloir qu'on parle sérieusement. pic.twitter.com/qlhh0R6EoI
— Le Gorafi (@le_gorafi) October 27, 2020
D'après les explications de la plateforme américaine, la référence au “pain dans la gueule” serait à l’origine de cette censure. Les algorithmes de Facebook peineraient-ils à saisir le second degré ? Les équipes de Facebook ont tenté de régler le problème après avoir été contactées par le Gorafi sur Twitter “Merci pour votre signalement @le_gorafi. Le contenu en question vient d'être restauré par nos équipes” . Le Gorafi semble avoir été victime d'une vague de modération qui fait actuellement rage sur les réseaux sociaux, vivement critiqués pour leur incapacité à censurer des contenus mensongers à l'encontre de l'enseignant Samuel Paty.
Vous prenez même pas la peine de vous relire, et en plus de ça vous n'hésitez pas une seconde à y mettre en gras.
Il n'y a pas de faute d'orthographe. Il est possible d'utiliser les deux, "s'est vu censuré", ou "s'est vu censurer". Nous pouvons utiliser l’infinitif, pour insister sur l’action de censurer (le sujet fait l’action de censurer) ou recevoir (le sujet est ce que l'on censure), auquel cas on choisira le participe passé.