La mort de Facebook en 2017 contestée
D'après deux étudiants de l'université de Princeton, le réseau social Facebook pourrait perdre 80% de ses utilisateurs d'ici 2017. Facebook a répondu à cette attaque.
Largement reprise par la presse française et dans le monde entier, cette nouvelle étude menée par deux étudiants de Princeton vise la mort du réseau social Facebook. Publiée vendredi dernier, cette étude utilise les modèles de propagation d'une maladie virale pour analyser la croissance et surtout le déclin des réseaux sociaux. Les chercheurs expliquent que "L'adoption [d'un réseau social] est l'analogie de l'infection et l'abandon celle du rétablissement".
Pour en arriver à leurs conclusions, John Cannarella et Joshua Spechlere se sont également appuyés sur la croissance et le déclin rapide du réseau social MySpace. Ce dernier avait connu une croissance et un déclin rapides.
Grâce à des données publiques extraites de Google Trend, qui indiquent les tendances de recherche pour des mots clés mais qui ne sont pas très pertinentes puisque de nombreux utilisateurs utilisent désormais l'application Facebook et d'autres informations importantes ne peuvent pas être connues, les chercheurs sont arrivés à la conclusion de la mort de Facebook d'ici 2017.
En effet, Facebook aurait atteint son pic en 2012 et devrait rapidement subir une forte chute du nombre d'utilisateurs. Ils expliquent que "Facebook devrait connaître un déclin rapide dans les années à venir, diminuant de 20% de sa taille maximale d'ici à décembre 2014", et que le réseau social devrait perdre "80% de sa base d'utilisateurs maximale entre 2015 et 2017".
Remise en question dans les quatre coins du monde, Facebook a finalement rétorqué à cette étude avec un billet "Démystifier Princeton". Les équipes du réseau social se sont alors penché sur la question et ont démontré que l'étude réalisée par les deux étudiants était basée sur une logique douteuse.
Les équipes de Facebook se sont alors amusées à démontrer, en appliquant la même méthode que les chercheurs, que l’université de Princeton pourrait voir sa population diminuer de moitié d’ici 2018 pour, en 2021, ne plus compter un seul étudiant. Ils ajoutent également par la même méthode qu'il n'y aurait plus d'air d'ici 2060.
Pour se justifier et conclure, les auteurs du billet expliquent "qu’en tant que scientifiques de données, nous avons voulu rappeler de manière amusante que toutes les recherches ne se valent pas et que certaines méthodes d’analyse mènent à des conclusions assez folles".
Alors que Fb a pris ce procédé pour une université et pour l'air? Ce ne sont pas des scientifiques qu'ils ont, c'est juste des promoteurs idiots qui râlent de la marde et qui n'ont surement pas suivi leur cours de philosophie. L'université est un besoin essentiel qui perdurera surement longtemps apres FB et l'air, bof je n'en parlerai meme pas.
A mon avis, facebook a encore de beaux jours devant lui, mais il va devoir innover si il veut rester leader du marché
-mort de facebook le 31 decembre 2017