La Plateforme : le réalisateur du film prend la parole sur la fin du film
Le dernier succès de Netflix est un long métrage d'anticipation espagnol intitulé La Plateforme et en cette période de confinement, le service SVOD ne peut que se féliciter du nombre croissant d'abonnés. Pour en revenir à ce film, le réalisateur a décidé de prendre la parole concernant la fin de ce dernier.
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une réponse évasive
Le réalisateur du film La Plateforme, Galder Gaztelu-Urrutia, a décidé de répondre au micro du site Collider concernant la fin, car il a bien vu que les téléspectateurs se posent beaucoup de questions et tout le monde y est allé de sa théorie.
C’est quelque chose que vous devriez demander à la société. Cela dépend de nous tous… Cela dépend si nous voulons rester l’espèce la plus misérable qui ait jamais mis les pieds sur cette planète ou si nous voulons…
Comme je l'ai déjà dit, il s'agit d'une autocritique sociale. Je ne me sens pas du tout autorisé à dire à personne quoi faire. Le film n'aspire qu'à exposer, pas à endoctriner ou à donner des conférences. Et, bien sûr, il y en a beaucoup qui font ce qu'ils ont à faire, mais la plupart d'entre nous ont passé la journée à chercher des excuses.
Et concernant l'Administration qui se cache derrière la Fosse, il répond :
C'est un problème mineur… Ce qui compte, c'est ce que chacun de nous fait avec les cartes que nous avons obtenues…. Cela se produit au niveau où nous en sommes… Bien sûr, nous devons protester et signaler l'injustice, mais… Allons-nous continuer à nous protéger pour que les autres - les personnes ou les structures de pouvoir - le fassent à tort afin de ne pas faire ce que nous devoir faire?
Maintenant vous en savez un peu plus sur la perception du réalisateur Galder Gaztelu-Urrutia sur ce long métrage.
critique a deux balles qui ne veut voir que ce qu'elle veut de la société mais une fois privée de cette société pleurnichera. lol
Cest le genre de film qui part dune situation pour faire un film. Cest des films du genre 'et si"
- Et si on expliquait pas à quoi sert le trou ça fera du mystère et du buzz. Mais nous on s'en fous du pourquoi du comment.
- Et si on mettait des gens dans cette situation avec pas suffisamment de nourriture pour tout le.monde
-Et si on mettait beaucoup de violence, et de dégoût pour masquer le fait qu'on a pas de scénario.
- Et si on disait que cela reflète la société pour avoir un peu de contenu.
C'est la façon de faire des scénaristes et réalisateurs médiocres. On ne parle de ce film que parceque la bande annonce est réussie et que la violence est à la limite du supportable.
Meme style que The Cube, ou Transperceneige.
Et cube c'est presque un nanard.
Là on est dans l'entre deux.
-- attention spoil --
Vers le milieu du film on a une scene ou l'on voit le chef cuisinier engueuler ses commis à la recherche du propriétaire du cheveux qu'il a retrouvé sur un.. panna cotta. Ca veut dire que la panna cotta est bien remonté jusqu'au premier étage et que toutes les scenes a partir de quand les protagonistes rencontrent la fille sont fausses/dans la tete du hero déjà mort (d'ailleurs à la fin il rejoint visuellement les morts, il s'en va avec son ancien compagnon de cellule).
Et du coup le real veut dire que les gens d'en haut ne voient que les problèmes qu'ils veulent voir (le cheveux sur la panna cotta = raison que personne ne l'ai mangé).
Ce film n'a pas de fin, c'est tout !
Mais bon, je pense plutôt qu'il était a cours de budget ou d'imagination et de plus il avait déjà fait 1h34min
En gros le réalisateur s'est dit "Laissons les gens s'inventer leurs propres fins" ça fera plus mystique et spécial pour mon film.