Oubliez Oppenheimer, ce film est le blockbuster de l'année selon les twittos
Après Oppenheimer, le film à succès de Christopher Nolan sur la conception de la bombe atomique, les internautes sont en train de se passionner pour un autre film lié au nucléaire... Véritable ovni de ce début d'année, un long-métrage japonais se déroulant dans les années 40, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, récolte les louanges des cinéphiles. On vous conseille vivement de vous ruer dans les salles obscures entre le 17 et le 31 janvier, à l'occasion de la re-diffusion du film au cinéma !
ce film de monstre fait un carton auprès des twittos
Godzilla Minus One, le nouveau film du réalisateur japonais Takashi Yamazaki, qui révélait récemment son intérêt pour la franchise Star Wars, est à nouveau projeté au cinéma du 17 au 31 janvier. Cet excellent opus dédié au célèbre monstre, avec son petit budget de 15 millions de dollars, en a déjà récolté pratiquement cent à travers le monde, malgré une distribution réduite en salles et une campagne de communication anecdotique. Mais voilà, les qualités de ce long-métrage plutôt confidentiel lui ont valu un bouche-à-oreille conséquent, notamment auprès des internautes, dithyrambiques quant à sa mise en scène, ses effets spéciaux et son émotion.
Il faut dire que l'histoire est simple et percutante à la fois, mêlant intime et grande échelle. L'intrigue se déroule au Japon, et commence avec une séquence d'une intensité rare : Koichi (Ryûnosuke Kamiki), un kamikaze, se pose en urgence sur l'île Odo, où une base technique permet de faire réparer son avion. Très vite, les mécaniciens réalisent que le jeune homme est un déserteur, un "lâche" ayant fuit son devoir. Au même moment, un terrible monstre les attaque, qui ne cessera pas la suite de poursuivre le héros, seul survivant avec un autre mécanicien de ce terrifiant Godzilla... Dans un Tokyo détruit, à l'image du personnage principal, hanté par la Seconde Guerre Mondiale et par sa confrontation avec la bête, le danger rôde.
Alors qu'il tente de reconstruire son existence en devenant dragueur de mines, et en protégeant une jeune femme et un bébé trouvé, il va avoir l'occasion d'enfin prouver sa valeur et accéder à la rédemption. Godzilla n'est pas loin, et le héros, en proie avec ses tourments intérieurs, va mettre sa vie en péril pour sauver ceux qu'il aime. Vous l'aurez compris, ce Minus One revient aux origines du monstre, né du traumatisme de la bombe atomique en 1954. Comme la bombe atomique, Godzilla est une menace d'origine inconnue, que le Japon ne sait comment combattre, ce que décrit parfaitement le film. Vous l'aurez compris, chez Hitek, nous avons été bluffés par Minus One, et nous ne sommes pas les seuls : il suffit de lire ces commentaires d'internautes !
Mais la CLAQUE phénoménale que je viens de me prendre en pleine tronche pendant 2h avec Godzilla Minus One ! L’équilibre entre les moments épiques et les moments d’émotions est parfait, le genre de blockbuster qu’on redemande encore et encore pic.twitter.com/5ckfMBU4lV
— Linou (@Linousaure) January 18, 2024
À gauche : Godzilla Minus One, c'est 15 millions de dollars de budget.
— Maxime CHAO (@MaximeChao) January 17, 2024
À droite : la série She-Hulk qui a coûté 225 millions de dollars, avec parfois 25 millions de dollars juste pour un seul épisode.
Putain des barres. pic.twitter.com/uGDtK9Wann
Godzilla Minus One livre un magnifique blockbuster. Que ce soit le gigantisme de son monstre, ses scènes de destruction impressionnantes, son sens de l'épique et de l'héroïsme à toute épreuve ou son regard critique sur l'armée japonaise, tout était parfait. Quel plaisir. pic.twitter.com/l1G85tDnv2
— Velvetman (@velvetmannn) January 20, 2024
par contre vas falloir aller voire Godzilla Minus one les gens, il est au ciné pour 2 semaines la.
— Princesse Chipie (@CountessNyreen) January 18, 2024
ALLEZ Y c'ets le meilleure film godzilla, remplis d'émotions et de profondeur. pic.twitter.com/d8mR9HkfhP
Godzilla Minus One.
— Joe Hume (@Joe__Hume) January 17, 2024
Quelle claque !
Déconstruction de la figure héroïque.
Hymne à la solidarité citoyenne. Réflexion sur la notion de sacrifice. Film de survie (et non survival).
Monumental film de monstre.
Voyez ça sur grand écran, si vous le pouvez, vraiment. pic.twitter.com/ZO8bCott3e
La grande surprise de Godzilla Minus One est son approche critique de la notion de sacrifice qui n'a cessée de guider la politique guerrière du Japon impérial.
— Nicolas (StRaTOth) (@AdMinis_TraTor8) January 18, 2024
Godzilla n'est finalement qu'un rappel de la nécessité de sauver chaque vie. pic.twitter.com/mRF7R2SCr3
Godzilla Minus One est une baffe de perfection. Visuellement sublime, musicalement ultra marquant, sa narration, son acting et tout ce qu'il raconte sont des diamants bruts. Le pacifisme et le cinéma nippons tiennent là un représentant dont ils peuvent être fiers. Bravo et merci. pic.twitter.com/KVCe5hUCMi
— Nemo (@Nemotaku) January 17, 2024
Godzilla Minus One (2023 ) de Takashi Yamazaki oscille entre impressionnante mise en scène du gigantisme et de la brutalité de la bête, et dialogues nettement moins heureux entrecoupés de trop rares apparitions de Sakura Ando. Solide film de monstre nonobstant : c'est 3/5 ici ! pic.twitter.com/n5iN7YVNP2
— WongKarWaifu la Féminazgûl (@TheWongKarWaifu) January 14, 2024
Godzilla Minus One !
— Cyril Hitch (@CyrilHitch) January 17, 2024
Bordel ce que c'était bien.
Le héros est bien différent du héros traditionnel, l'ambiance est dingue, la BO tonitruante ! J'ai été ému à plusieurs reprises tout au long du film. Petite préférence pour Shin Godzilla mais il me tarde de revoir Minus One. pic.twitter.com/4khOXt0dfK
Ah oui, vous déconniez pas avec GODZILLA : MINUS ONE ! Excellent blockbuster qui m'a eu par son niveau émotionnel intense (portrait du Japon d'après-guerre et ses traumatismes, personnages attachants auxquelles on est investi, apparitions de Godzilla terrifiantes). pic.twitter.com/ub7VRWUOW6
— Victor V. (@Vvedeka) January 19, 2024
Ravi d'avoir pu découvrir Godzilla Minus One au cinéma. Très beau film anniversaire qui rend un bel hommage au film de Honda. Le design du monstre est une franche réussite (entre tradition et modernité mdr) et la scène du rayon ferait pleurer Nolan et son Oppenheimer. pic.twitter.com/mA0e4i806w
— M Æ X-16 (@Bondmax16) January 17, 2024
Totalement soufflé devant ce titre et son protagoniste qui se demande s'il a le droit de vivre en portant la honte d'avoir fui devant le sacrifice suprême.
— OTAKAT (@otakitkat) January 17, 2024
Quant à Godzilla, il s'agit très certainement de sa version la plus effrayante, la terreur qu'il inspire est ici palpable.
Maintenant, le recul me dira s'il m'a marqué durablement, mais j'ose en tout cas dire qu'il surpasse à mes yeux le déjà exceptionnel Shin Godzilla.
— OTAKAT (@otakitkat) January 17, 2024
Un unique conseil à donner : foncez au cinéma tant qu'il est encore projeté car c'est un des films les plus grandioses de l'année.
Godzilla Minus One.
— Catra • (@ScorpiaQV3) January 19, 2024
Un grand OUI ! Le film ne pas déçu entre ce côté destructeur avec Godzilla et les moments d'émotion, tout ça dans un parfait équilibre.
C'est absolument kiffant et c'est largement mon film Godzilla favori. Je suis trop content d'avoir pu voir le film ! pic.twitter.com/2oDExFyQwN
Et vous, comptez-vous allez voir le film au cinéma ?
Oublier Oppenheimer pour ça ?