Quand le lancement de GTA V dérape : drogue et armes

La sortie de GTA V est un évènement pour les millions de gamers du monde entier mais aussi pour les magasins de jeux-vidéo qui comptent bien profiter de l'engouement des joueurs, au risque de déraper.

A moins de vivre dans une grotte depuis les derniers mois, ou de ne pas avoir trainer suffisamment sur Hitek.fr, impossible de passer à côté de la sortie de GTA V (dont vous pouvez d'ores et déjà retrouver nos premières impressions). Sortie officiellement hier, l'arrivée du titre de Rockstar est un évènement aussi bien pour les joueurs que pour les magasins spécialisés. Afin d'attirer les gamers, les boutiques rivalisent d'ingéniosité. Pour coller à l'ambiance du jeu, certains mettent en place des dispositifs assez originaux.

Poudre aux yeux

C'est un petit magasin australien qui ouvre la marche. La boutique a décidé de proposer de la fausse cocaïne pour ceux ayant pré-commandé le jeu. Si l'initiative colle bien à l'ambiance du titre de Rockstar, les dirigeants de la franchise n'ont pas apprécié cette idée. En effet, la boutique appartient à EB Games, l'équivalent de notre Micromania. Forcément, l'association d'une telle franchise avec la drogue n'est pas excellente pour l'image de marque. EB Games a donc lancé une enquête pour déterminer comment un tel dispositif a pu être mis en place.

Mains en l'air

Micromania a lui aussi été touché par ce phénomène. Deux vendeurs d'une boutique située à Montargis dans le Loiret se sont déguisés en gangsters accompagnés de fausses armes pour parfaire le tout. La bonne nouvelle, c'est que leur déguisement était très réussi. La mauvaise en revanche, c'est qu'une passante a réellement cru à un braquage. Cette dernière, en bonne citoyenne a crié au loup et a appelé la Police. Réactives, les forces de l'ordre, composées d'une quinzaine d'officiers de la brigade anti-criminalité, armés jusqu'aux dents, sont arrivés quelques minutes plus tard. Evidemment, la Police n'a pas trouvé la farce très amusante. En colère, un officier déclare : "ça aurait pu se terminer très mal".

La rep Photo