Hardcore : un film ultra violent filmé en caméra subjective (vidéo)
Hardcore est le film qui a fait grand bruit lors du Festival international du film de Toronto. Pas forcément que le scénario semble original, mais la manière de filmer en caméra subjective rappelle clairement l'univers du jeu vidéo tout comme les scènes violentes qui devrait ravir un public en mal d'hémoglobine. Attention, trailer choc !
Comme le montre le trailer ci-dessus, Hardcore est un film qui racontera l'histoire d'un homme qui a été transformé en une sorte de cyborg à la poigne plutôt impressionnante à priori. Rien de bien nouveau à l'horizon sauf que tout le film est réalisé comme si le héros tenait la caméra. Cette réalisation à la première personne nous fait irrémédiablement penser à un FPS et nous plonge au coeur de l'action de Hardcore. Et de l'action, il y en a. Explosions dans tous les sens, massacres avec des armes diverses, sang qui gicle, on en prend plein les yeux.
Au casting de ce film on retrouve quelques noms connus comme Sharlto Copley, déjà croisé dans District 9, mais également Haley Bennett (The Equalizer) et Danila Kozlovsky. Du côté de la réalisation, c'est Ilya Naishuller qui se charge de nous en mettre plein la vue. Notez qu'aucune date de sortie n'est encore prévue.
La caméra subjective, un choix cinématographique
Filmer en caméra subjective n'est pas une technique nouvelle puisque le premier film à faire appel à cette technique est le Napoléon de Abel Gance, réalisé en 1927. Citizen Kane, d'Orson Welles utilise également cette astuce en 1941. Il faudra attendre 1947 pour voir un film intégralement filmé en caméra subjective avec La Dame du lac de Robert Montgomery. C'est arrivé près de chez vous et Maniac font également partie de cette courte liste. Pour des séquences tournées à la première personne, les plus emblématiques sont à chercher du côté de Gravity, Hyper Tension ou Dans la peau de John Malkovich.
(le premier qui dit comme ma bite on le boule !)
moi je dis: "nanar en puissance", mais c'est mon avis et ca ne tiens qu'a moi!