Une IA peut détecter la maladie d'Alzheimer 10 ans avant que les symptômes n'apparaissent
Avec 900 000 personnes atteintes en France selon la Fondation pour la Recherche Médicale et environ 30 millions dans le monde selon l'OMS, la maladie d'Alzheimer demeure un fléau grandissant. Il n'existe aucun traitement permettant d'en guérir et le nombre de personnes touchées ne cessent de croître avec les années. Toutefois, une intelligence artificielle peut détecter la maladie, une décennie avant l'apparition des symptômes.
Des améliorations encourageantes
Même si la maladie d'Alzheimer est incurable, une détection rapide permet d'en réduire le effets. Les premiers symptômes s'apparentent généralement à des pertes de la mémoire ou des problèmes liés aux fonctions exécutives comme l'attention ou la planification. L'université de Bari, en Italie, a développé une intelligence artificielle et l'a entrainé à comparer différents résultats de scanners afin de repérer les personnes atteintes de celles qui ne le sont pas.
L'algorithme en question a pour objectif de repérer les légers changements qui opèrent dans le cerveau causés par la maladie, une décennie avant que les symptômes ne débarquent. 67 scanners d'IRM lui ont donc été rapportés, 38 issus de patients atteints de la maladie d'Alzheimer, les 29 restants, de personnes saines. Les scans ont été divisés en petites régions, afin de permettre au système d'en repérer les plus infimes changements.
Une fois l'entraînement terminé, place au test. Pour se faire, des scanners en provenance de 148 sujets lui ont été transmis. Sur le total, 48 personnes étaient atteintes de la maladie d'Alzheimer et 48 souffraient de déficits cognitifs légers, pouvant résulter par un développement final de la maladie. Après analyses, l'IA est parvenue à détecter la maladie d'Alzheimer dans 86% des cas et les déficits cognitifs légers dans 84%.
Pour le moment, l'IA n'a pu avoir accès qu'à des échantillons réduits. Une fois son panel étendu, ses analyses devraient s'affiner, permettant une réussite accrue. Quoiqu'il en soit, il est encourageant de voir que la recherche ne s'arrête jamais et qu'un jour peut-être, un remède sera trouvé contre ce fléau.
Pour l'alzaimer je suis presque sur que des scientifiques on. Presque réussi a vaincre cette maladie mais par manque de moyen financé ou autre il n'on pas pu continué et comme c'est recherche sont a but lucratif personne ne peut continuer de travaillé dessus..... Par exemple : un jeune lycéen a réussi a créé un méthode de dépistage précoce du cancer du pancréas(pas sûre) qui était impossible avant grâce un recherche privé rendue public....
C'est de la psychologie.... Le fait qu'il na pas compris le sens de ce mot d'une langue étrangère et qui est en plus en rapport avec un religion autre que la sienne a déclenché un action de défense mental en répondant avec un mot religieux d'ont il comprend le sens ...
J'espère que tu comprends ma réaction maintenant...
Et si t'es un nazi tu peut toujour te tiré un ball dans la tête
Sa a créé beaucoup de confusion je crois..
ou est ce que ce n'est pas en relation directe avec le QI
ma grand mère n'était pas très maline, et paf Alzheimer
alors que là grand mère d'un pote, très brillante, à eu toute sa tête jusqu’à son décès et même encore aujourd'hui (plus de 90ans mais je ne sait plus exactement)
Les personnes regardant trop "les feu de l'amour" on également plus de risque d'être touché
Aging and Alzheimer's Disease: Lessons From the Nun Study
Tu devrais lire ce papier avant de ramener ta science de comptoir.
Non parce que ton étude à la con là, tout ce qu'elle avance c'est qu'il y aurait un POSSIBLE lien entre la densité linguistique d'une personne et le risque de développer alzheimer plus tard.
Donc RIEN à voir avec l'intelligence, le QI, ou la stimulation cérébrale.
Donc ta science de comptoir, tu peux te la garder. Allez salut.
Parce que de mon point de vue, tu avances des trucs au pif.
Sinon tu peux lire aussi cet article : Cognitive reserve in ageing and Alzheimer's disease.
Dans l'abstract, on peut lire :For example, the risk of developing Alzheimer's disease is reduced in individuals with higher educational or occupational attainment.