Apparemment, Konami ne pardonne pas et n'oublie pas si vous quittez la société
Apparemment, Konami aura une vive rancune si vous quittez la société. En effet, le géant du jeu vidéo japonais derrière des licences phares comme par exemple Dance Dance Revolution et même Metal Gear (et bien plus encore existent) fait en ce moment parler de lui pour le fait qu'il se permettrait de blacklister et punir les employés de l'industrie qui auraient quitté l'entreprise.
La mort subite
Il faut savoir qu'en termes d'influence dans le domaine du jeu vidéo, Konami est de loin dans les premiers, c'est la raison pour laquelle ne pas aller dans le sens de l'entreprise est synonyme de mort subite si vous voulez faire carrière dans le jeu vidéo. En effet, si jamais vous quittez la société, oubliez toute idée de développer cette carrière dans le jeu vidéo.
Les membres du personnel d'Ex-Konami ont déclaré à Nikkei Asian Review :
Si vous quittez l'entreprise, vous ne pouvez pas compter sur le nom de Konami pour trouver un emploi.
Et attendez, parce que vous n'avez pas encore tout vu ! En effet, le rapport poursuit en disant que Konami arrive même jusqu'à déposer des plaintes auprès d'autres entreprises de jeux, s'ils embauchent d'anciens employés.
RIP Kojima
Mais l'histoire ne s'arrête pas là ! Et comme si ce n'était pas assez, le célèbre concepteur de jeux Hideo Kojima, qui a créé la série Metal Gear, n'a pas été épargné par la vendetta de Konami. En effet, c'est au terme de 30 ans de relation entre Kojima et Konami que la rupture fut amère. L'ancien employé n'y est d'ailleurs pas allé de main morte à différentes reprises pour discréditer la société, comme par exemple son blocus lors d'une acceptation de prix au Game Awards 2015. Konami est têtu, mais Kojima aussi. Le rapport de Nikkei Asian Review a d'ailleurs aussi mis l'accent sur les meilleures plaisanteries de l'industrie :
Former Konami employees now working for Kojima getting blacklisted across Japanese gaming industryhttps://t.co/MMZYQ9jchZ pic.twitter.com/mvB1BqId4y
— SGcafe (@sgcafe) 16 juin 2017
You know what they call this policy.
— ! (@WafflesGHarding) 16 juin 2017
(•_•)
( •_•)>ââ -â
(ââ _â )
The... Konami Code
No wonder why people are leaving Konami (up, up, down, down, left, right) left and right.
— Blick Winkel@AX (@blockwonkel) 16 juin 2017
(oh purée, je suis déjà tellement loin!)
Avec Activision, c'est la seconde société que j'aimerais voir faire faillite à cause de leurs conneries.
Mais ôtez-moi d'un doute, c'est pas interdit par la loi ce qu'ils font ?
Oui, enfin il faut parler leur influence pour gacher la carrière de leur ex-employé. C'est pas très très gentil.
En France, c'est illégal. Une entreprise ne peut pas influencer une autre sur la candidature d'un futur employé, sauf si les deux entreprises ont un lien de filiation. ça c'est dans les textes, après, dans la vrai réalité réelle du vrai monde véritable, ça ne se passe pas vraiment comme ça.
Je vais éviter d'acheter leurs jeux à l'avenir.
Kojima a toujours voulu quitter Konami, mais il en avait jamais réellement eu les "cou*lle". Il a toujours voulu se lancer dans le cinéma ou dans la littérature (il reste énormément cultiver dans beaucoup de domaine), il n'a jamais pris sont envole car Konami le tenait par la Finance. À force de se remettre en question, à 50 balais, il avait dit avoir fait un bilan de sa vie et qu'il voulait faire "autre chose" de sa vie.
Après Kojima est pas tout rose non plus, c'est pas la première fois qu'il a eu des problèmes avec Konami. Il a déjà dépasser les budgets pour MGS2, je crois et un autre MGS qui leurs a coûter bonbon (perfectionniste dans l'âme). Jumeler à ça au fait qu'MGS V a était produit dans des conditions absolument inimaginable (à 3 mois de la sortie officiel, le jeu ne tourner même pas sur PS4 et Xbox). Il est pas étonnant qu'il y ait eu licenciement derrière.
Aujourd'hui il est dans son coin, et je reste sûr qu'il arrivera à prendre le temps de réaliser ce qu'il veut faire et de présenter les choses comme il en a envie sans réel contrainte.
Je pense qu'il faut laisser tout ça derrière maintenant, ça sert plus à rien de revenir sur des pseudo-drama.
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