McDonald's : coup dur, une jeune femme trans attaque la chaîne
Une ancienne employée transgenre accuse l'un des restaurants McDonald's pour discrimination de genre et harcèlement, et demande pas moins de 30.000 euros.
McDonald's attaqué pour discrimination de genre
Au sein des 1500 restaurants McDonald's de France, il y a des affaires qui tournent mal. On se souvient de cette cliente qui a retrouvé un embout métallique provenant d'une machine à boissons dans son coca. Affaire sans doute plus grave aujourd'hui dans un restaurant franchisé à Segré (Maine-et-Loire). Une femme transgenre attaque le fast-food pour discrimination de genre.
Syntia de son prénom, accuse en effet au conseil de prud'hommes d'Angers le restaurant d'avoir proféré des remarques et des pressions liés à son nouveau genre, et demande de reconnaître qu'elle avait été victime de harcèlement.
Comme le rapporte l'AFP, relayé par Franceinfo et 20 Minutes, l'affaire a lieu en janvier 2023 lorsque, après un retard suite à un rendez-vous médical, la jeune femme décide de se rendre directement à son travail avec des vêtements féminins, des faux seins et du maquillage. Mais tout va basculer après un entretien de recadrage, lors duquel la direction du restaurant lui demande «de ne plus se maquiller», a déclaré à l'audience son avocate, Me Gwénola Vaubois.
30.000 euros de dommages et intérêts demandés par la jeune femme Trans
« On lui demande d'atténuer son maquillage, pas de l'enlever », en vertu d'un règlement intérieur qui prescrit « pour tout le monde un maquillage léger et discret », a réagi l'avocat du restaurant, Me Pascal Landais. Plus tard, les responsables s'opposent à l'appeler par son nouveau prénom, et après un refus d'enlever son maquillage, Syntia n'est plus autorisé à travailler au sein du restaurant de Segré, situé à une quarantaine de kilomètres d'Angers.
Depuis mars 2023, la jeune femme est en arrêt maladie, et réclame aux prud'hommes un total de 30.000 euros de dommages et intérêts ainsi que l'indemnisation des huit mois d'arrêt de travail qui n'ont pas été couverts par la Sécurité Sociale. Du côté de l'avocat du restaurant, on réfute toute tentative de pression ni harcèlement, et on plaide la maladresse: «Il a pu y avoir des réactions maladroites mais pas de discrimination ou de harcèlement.»
Enfin, le restaurant a également réagi à l'affaire : «la lutte contre le harcèlement et les discriminations est prise avec le plus grand sérieux. Si de tels comportements devaient être avérés, ils feraient l’objet de sanctions exemplaires, conformément à la politique de tolérance zéro de l’enseigne». Le verdict est attendu le 24 juin prochain.
Je vais prétexter une visite médicale pour m en sortir !
MDRR bah voila la vrai raison !
8 mois à glander à la maison !
Heureusement que la sécurité sociale ne prend pas en charge ce genre d’arrêt « maladie » bidon.
Oh tu travaillais chez mcdo, c’était pas le boulot de ta vie. Bouge toi et va chercher un travail qui accepte tes lubies.
J'ai connue quelqu'un qui avait été viré pour une raison bidon, elle à saisit les prud'hommes , et en attendant, elle ne pouvais pas travailler, et ne percevais aucun salaire.
Tu ne veux pas de problème ? Va travailler dans un truc de lopette (genre un magasin vegan ou bar à céréales)