A mon époque... Musique, techno, arts plastiques, ces cours incompréhensibles du collège
Le collège, c’est l’époque où les étudiants sont en pleine découverte de la vie, mais encore trop loin du monde professionnel. C’est pourquoi plusieurs matières remplissent les emplois du temps pour offrir aux élèves un plus large choix de leur orientation. Mais, force est de constater que la plupart des tentatives artistiques ou technologiques ont été des échecs. Décryptons.
La musique
Les cours de musique, initialement cours d’inspiration artistique se sont très vite mués en vaste lieu de détente. En même temps, comment en vouloir aux élèves ? Pour ceux qui ont réellement envie d’apprendre l’art musical, les cours sont très loin du solfège et de l’apprentissage d’un instrument. Outre les flûtes à bec et autres maracas évidemment. Et si l’esprit du cours veut ouvrir la culture musicale des élèves, les choix ne sont pas forcément évidents. De Yannick Noah en passant par Axelle Red ou Christophe Maé, comment intéresser les élèves ?
Arts plastiques
En allant en arts plastiques, on a tous rêvé réaliser un croquis de la Joconde. Bon, au-delà du niveau pas forcément très représentatif, je pense qu’on espérait tout de même mieux que de simples dessins abstraits à la gouache ou autres constructions en plastique recyclable. Même pour ceux qui ont ensuite choisi une voie dans le graphisme ou le dessin, pas sûr que celle-ci ait été véritablement influencée par ces cours pratiques.
La techno
La première fois que vous avez vu "techno" sur votre emploi du temps, à quoi vous vous imaginiez ? Une immense salle remplie d’appareils robotisés à plusieurs dizaines de millions d’euros pour comprendre les joies de la technologie ? Que nenni ! Le projet d’une année se concentrait plutôt autour de la création d'un testeur de piles, d'une malette en plastique ou d’une petite voiture télécommandée dans le meilleur des cas. Une voiture qui, par ailleurs, ne fonctionnait absolument jamais puisque les logiciels sur lesquels la création s’axait étaient complètement bugués. En fait, au-delà d’un Jarvis à la Iron Man, on aurait quand même espéré des ordinateurs fonctionnels, et non pas des souris qui, sans la boule à l’intérieur, étaient définitivement inutilisables. Une nouvelle fois, je peine à croire que les cours de techno ont influencé le choix de certains pour des filières technologiques…
et l'endroit idéal pour se moquer des petit gros !
Oui, je pense la Philo c'est très bien quand in a un bon prof', qui bosse bien ses cours et qui expliquent bien avec un peu d'humour.
Moi, j'ai adoré mais je pense que c’était grâce à mon second prof'.
Je n'ai heureusement pas eu de prof comme ça, mais beaucoup d'amis si.
(moi aussi je dit n'imp' mais au moins ça parait crédible)
Du coup même les futurs générations ont perdu du temps avec ta connerie.
(Apprend à écrire correctement ça peut aider)
Souffler dans un pipo devant plus de 30 "camarades" à l’affût de la moindre fausse note, la figure déjà toute rouge rien qu'à l'idée de rire un bon coup au éclat... jusqu'à leur tour!
Impossible également de "s’entraîner" à la maison... mes parents en ont eut vite marre que je leur casse les oreilles avec cet instrument diabolique... et ont fini par me dire: "Arrêtes tout de suite ce bordel, va jouer à tes jeux vidéo, si tu as 0/20 en musique c'est rien on ne t'en voudras pas!"
L'art plastique! ou comment avoir 16/20 en faisant juste une tache de peinture rouge sur feuille de canson noire et avoir 08/20 en ayant essayer de dessiner quelques chose de concret.... Je soupçonne les profs d'art plastiques d'être tellement nul en dessin (représentatif) qu'ils ne pouvaient faire le cours que sur le seul art abstrait (pour ne pas dire le griffonnage du niveau d'un enfant de 3 ans)....
La techno maintenant! rien à voir avec la musique à la mode de l'époque (ndlr: Thunderdome, Bonzai, ect...)... non juste se brûler les doit avec des fer à souder qui étaient plus vieux que nos parents, plier 2 ou 3 plaque de PCV et faire des plan d'un objet que l'on ne finira jamais durant l'année... on aura quand même appris les base (ultra minimaliste) de l'électronique: pour allumer une diode (à mon époque il n'y avait pas encore de LED) il faut du courant....
Non vraiment merci au collège d'avoir fait de nous ce que nous sommes aujourd'hui... enfin presque!
ceux qui apprécie et comprenne la musique classique sont généralement les élèves qui ont le plus gros QI
de cette matière on peut faire le tri entre les bon élèves , et les dumm
l'art plastique et la techno ça permet de voir si y a quand même un espoir avec les élève qui sont vraiment con ...
-un mec vraiment intelligents sera douée dans ces 2 matières
-un mec d'intelligence moyenne va se tourner uniquement vers les mathématiques.
-un mec pas trop malin n'aura quel les matières littéraire pour "redresser la bar"
on a tous eux un ou une camarade de classe complètement con, mais particulièrement fort en dictée
PS: je sais que vous commencé à vous situé avec toute mes explication.
l'art plastique et la techno ça permet de voir si y a quand même un espoir avec les élève qui sont vraiment con ...
N'importe quoi ... Je ne vois pas le rapport entre un test de logique qui n'est absolument pas représentatif de l'intelligence, et un art, dont on nous à imposé le style, alors que pour apprécier l'apprentissage de la musique, ils faut choisir son instrument et son style ... J'aime le classique, le jazz, le metal, le blues .... mais la vieille variété française du collège, ça m'a bien fait chier. Je me suis mis à la musique quand j'ai pu me payer des cours particulier. L'art plastique et la techno pour détecter les cons ... Ben là encore, l'art plastique n'a rien a foutre au collège, et la techno, je ne suis peut être pas de la même époque que toi, mais tous le monde ne s'intéresse pas à la programmation, au dessin industriel et à l'électronique ... c'est tout !!
????
Tu sais que si tu allume une "diode" alors c'est une diode électroluminescente soit DEL soit en anglais LED......
Moi j'étudiai l'histoire du vélo et de ses ancêtres...
L'art plastique avec l'enfoiré que j'ai qui te met jamais la moyenne déjà que l'art plastique c'est chiant alors avec lui pas plus teubé que ça tu trouve
Et la tecno...ca va le prof nous laisse faire ce qu'on veut donc ben a part aller sur Youtube et écouter Slipknot je vois ce qu'on fait d'autre mais bizarrement on a la moyenne •-•
Si on fait l'analogie avec des cours d'instruments en conservatoire c'est quasiment la même chose.
T'as une heure de consacrée par semaine avec un prof que ça soit au conservatoire ou à l'école après une période donnée t'as un petit contrôle où le prof te fait jouer seul devant tout le monde (ou un jury au conservatoire) pour voir si t'as bien révisé.
Personnellement je pense que ça inculque la rigueur et la discipline ( pas devenir joueur pro de la flûte) Tu ne peux pas te cacher derrière les autres et faire du playback. A un moment ça s'entend et tu sais pertinemment que tu n'as pas travaillé. Personnellement la musique pour moi nous force à nous discipliner nous même. La flûte est là pour révéler nos défauts. Je pense que passer la troisième justement, on est censé se prendre en main tout seul d'où l'intérêt d'arrêter cette matière.
Sans déconner j'ai envie de dire que c'est facile... La flûte. Et on arrive à se plaindre d'une matière qui te donne 20 sur ton carnet et qui remonte toute ta moyenne. Non mais oh ?!
Je rigolais à chaque fois quand des gusses revisaient à la dernière minute leur flûte dans la cour.
Pour l'art plastique n'étant pas né avec un talent iné pour le dessin je perdais surtout des heures de ma vie dans un cours qui ne m'a jamais rien apporté.
Pour la techno par contre étant bts microtechnique je dois dire qu'ils sont loin de m'avoir été inutile, j'ai pu apprendre à faire des soudures plus que correcte et ce avec un matos a chier (ce qui se révèla très utile au lycée ^^), lire des dessins de définition et compagnie, bon ok les cours d'informatique pour apprendre à me servir d'exel c'était superflu mais bon, il ne faut pas tout jeter et puis ça me faisais un 19 dans ma moyenne, toujours bon à prendre.
Il n'y a pas de fumé sans feu, j'ai envie de dire, si on reste sensible à des critiques et qu'on ne bouge pas après on ne peut s'en prendre qu'à soi même.
C'est rien face au critique des profs de conservatoire.