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Nosferatu : des démons immortels et l'Eglise s'affrontent brutalement sur fond médiéval

De Guillaume Chagot - Posté le 14 octobre 2020 à 9h26 dans Mangas/Comics Article sponsorisé

Bien loin des ninjas et autres super-héros des shônens populaires, Nosferatu plonge ses lecteurs dans un univers sombre et sanglant, où l'Heroic Fantasy est entachée de la présence de démons et de mystères. Une œuvre brutale aux éditions Soleil Manga où les cadavres pleuvent et les combats se bousculent, mais dont l'intrigue ficelée et intéressante se dévore sans modération. 

nosferatu ou quand amnésie rime avec trahison

Ecrite et dessinée par le mystérieux Shinjinrô, Nosferatu narre l'histoire de Laura, une jeune femme amnésique qui s'est réveillée par surprise, seule, au beau milieu de la forêt. Elle va rapidement apprendre que dans ce monde vivent des êtres immortels, les Nosferatus. Des créatures puissantes qui rendent fous sans le vouloir les humains qui daignent s'approcher d'eux. Des humains qui ne cherchent alors plus qu'une chose : boire le sang de ces êtres immortels. 

Après avoir été trahie par un Nosferatu dont l'activité principale est de tuer les humains qu'il croise sur son passage, Laura va faire tout ce qui est en son pouvoir pour le retrouver et l'arrêter. Bien évidemment, son aventure sera rapidement mouvementée, secouée par de nombreux rebondissements, que ce soit du côté du camp des Nosferatus ou de celui de l'Eglise, qui souhaite débarrasser le monde de ces êtres immortels. 

Une histoire sombre et violente, où les coups de masse se multiplient et les têtes tranchées roulent à même le sol. Ajoutez-y une pincée de magie noire et de hobbies illégaux et vous obtenez une œuvre sombre, mais intrigante. Nosferatu se dévore avec plaisir, de par ses dessins appuyés, parfois crus, et son scénario bien ficelé. 

Une œuvre en 4 tomes dont le premier sort le 14 octobre prochain dans toutes les bonnes librairies. 

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Mots-Clés : sortietome 1histoiresombreviolentsangéglise

Après un Master en Journalisme à l'IEJ, j'intègre définitivement la rédaction d'Hitek en 2017. Passionné de jeux vidéo, de nouvelles technologies, de science-fiction et de pancakes, je me complais à partager mes centres d'intérêts avec le plus grand nombre. Toujours partant pour un Jägerbomb en terrasse.

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Commentaires (1)

Par lours, il y a 4 ans :

C'est moi ou l'église est toujours dans les mauvais coups ?

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