Vous pouvez vous faire virer si vous laissez votre session Facebook ouverte au bureau
Triste histoire pour cette toulousaine qui s'est faite licencier après avoir insulté ses collègues sur Facebook et avoir laissé sa session ouverte sur son ordinateur. Un exemple qui pourrait en faire réfléchir plus d'un sur ce qu'il publie sur les réseaux sociaux.
Ouvrir sa session Facebook au bureau est quelque chose que l'on a tous fait, que ce soit pendant la pause déjeuner, 5 min pour checker l'actualité ou encore passer le temps. Si surfer sur les réseaux sociaux pendant ses heures de travail n'est pas forcément une bonne idée, ça l'est encore moins si c'est pour insulter ses collègues, son patron et sa société. Au pire si vous le faites, faites-le en toute discrétion sans vous faire griller par vos collègues, sinon vous pourriez risquer gros. Une toulousaine en a d'ailleurs fait l'amère expérience. Elle vient d'être condamné en appel après un premier jugement aux prud'hommes. Ce n'est pas la première fois que l'on croise une histoire de la sorte, souvenez-vous de cet homme en aout 2016 qui s'était fait condamner après avoir insulté son patron sur Facebook.
L'histoire commence en 2014, après un arrêt maladie de quasiment 6 mois, une employée toulousaine retourne à son poste. Une semaine plus tard elle est convoquée par sa supérieure hiérarchique. La raison ? Elle a laissé sa session Facebook ouverte sur son ordinateur. On pouvait alors y voir une conversation où elle s'en prenait à ses collègues, son patron et à la société. Ces propos injurieux ont été proférés pendant les six mois d'arrêt maladie et lors de son retour dans la société. Il faut ajouter à cela un comportement déplacé de l'employée dans les locaux de l'entreprise et envers les autres salariés.
Des propos privés ?
On pourrait penser que les propos ont été proférés dans un cadre privé, mais le tribunal considère qu'à partir du moment où l'écran est allumé à la vue de tous, ce n'est plus du privé et cela tombe dans le domaine public. La société était donc dans son bon droit en convoquant son employée, en la mettant à pied et en la licenciant. La personne impliquée a tenté d'aller aux Prud'hommes puis en appel, mais le jugement a été le même. Le comportement de la salariée relève bien de la faute grave. Elle n'a d'ailleurs pas contesté quand la société l'a accusé d'avoir sciemment laissé ouverte sa session Facebook. Elle a été condamnée le 2 février dernier par la cour d'appel qui a validé les sanctions de l'employeur et a ajouté une sanction de 1500 €.
Vous l'aurez compris, il faudra maintenant y réfléchir à deux fois si vous laissez ouverte votre session Facebook au bureau.
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Houx Etre 1 Bête Dent le Trou Peau 2 Moutons 2 Followers Crédules,,, Qui Détestent leur vie, & se vengeant Crash en sur lait autres,,,,
Comme Les Lepennistes 2 puits 4o ans !!
Elle Lens Raie Pas ?
Au bout d'un moment, on peut pas tout excuser. Si on aime pas sa boîte au point d'insulter tout le monde et de cracher sur tout, on quitte et on trouve autre chose.
- Penser du mal de son patron/chef
- Penser du mal de toute sa boîte
Ce ne sont pas des choses interdites, chacun pense ce qu'il veut et on ne peut pas s'entendre avec tout le monde.
Mais aller le dire sur les réseaux sociaux, c'est déjà plus la même chose. Si en plus ça se fait sur le lieu de travail, c'est pas très intelligent, mais comme on dit "pas vu, pas pris".
Elle s'est fait prendre.
Au moins ça lui fera une bonne raison pour aller déverser son fiel sur les réseaux sociaux.
Apres faut pas se plaindre que lorsque l'on se fait choper a faire un truc interdit de se prendre une sanction.
BAS T0IT.... TES PAS DU GENRE AFFAIRE DU BIEN A LA PETITE STAGE HIER QUITTE B0UFFE LA BRAGUETTE DES YEUX... A CHAQUE F0IE QUEL TE CR0ISE A LA P0SE PIPI ?
Alors jean claude on te l'as déjà dit de ne pas répondre après que tu soit sorti du bar du balto j'espère que tu n'a pas pris ta xantia et que tu est reparti à pied ou que veronique est venu te chercher avec le camping car.