Supprimer un collègue sur Facebook peut être considéré comme une preuve de harcèlement
Attention aux interactions Facebook avec vos collègues. Une suppression d'ami pourrait être considérée comme du harcèlement devant un tribunal. C'est en tout cas devenu vrai depuis une condamnation en Australie. C'est l'histoire du jour.
Quand nous avons commencé à utiliser Facebook, nous avions la fâcheuse tendance à accepter tout le monde, même de parfaits inconnus (ami d'un ami, la boulangère, le charcutier...). Aujourd'hui nous sommes plus prudents et on fait vraiment attention aux gens qu'on accepte car on ne souhaite pas forcément partager notre vie sur les réseaux sociaux avec tout le monde. Avec nos collègues c'est encore autre chose. Il faut vraiment être prudent car vous pouvez très vite vous faire griller si vous postez vos photos de Disneyland alors que vous deviez être en arrêt maladie. Si vous faisiez déjà attention à accepter vos collègues ou non, avec l'histoire du jour vous allez encore plus y réfléchir à deux fois.
Le 23 septembre dernier en Australie, un couple qui gère une agence immobilière a été reconnu coupable d'harcèlement envers une employée après l'avoir supprimée de Facebook. Depuis plusieurs mois Rachael Roberts subissait de nombreuses pressions de la part de ses supérieurs. Elle avait déjà plusieurs preuves qui montraient des insultes à répétitions, des réunions houleuses et un choc émotionnel. La goute d'eau qui a fait déborder le vase est la suppression sur Facebook par sa supérieur à la suite d'une nouvelle réunion mouvementée.
Le tribunal a considéré cette action comme "un manque de maturité émotionnel et indique un comportement déraisonnable". La plaignante s'est dite satisfaite du verdict du tribunal.
Vraiment dangereux de supprimer un collègue ?
Cette histoire est tout de même à prendre avec des pincettes. Si elle fait rire beaucoup d'avocats, une condamnation pour harcèlement pour avoir supprimé un collègue sur Facebook devrait être caduc. La condamnation découle de nombreuses preuves et plusieurs mois d'harcèlement. Au pire des cas si vous avez un doute, faites attention à qui vous voulez ajouter et vous n'aurez pas de problème particulier.
Le problème de facebook lorsqu'on le lie avec le travail c'est qu'il fait rentrer ce dernier dans notre vie privée, et nos collègues (contrairement à un appel au téléphone par exemple) ne font que peu de cas de l'heure à laquelle les messages/demandes sont envoyées.
Plus concrètement, il n'y a rien de plus stressant lorsque après avoir travaillé jusqu'à 20h l'on s'accorde enfin une fin de journée + repas et qu'au milieu de cela un "collègue" vous remet de force au travail en vous interpellant sur facebook.
HITEK deviens comme beaucoup de medias avide de clic sur leurs liens....
Je ne vois pas en quoi c'est faux étant donné que la suppression sur Facebook faisait partie des preuves avancées pour justifier le harcèlement moral. On l'a mis en avant parce que c'est ça qui est intéressant dans l'histoire, parce que "Une employée porte plainte pour harcèlement en Australie", ça intéresse qui ?
Donc non, le titre n'est pas du tout faux :)
:)
Supprimer un collègue de travaille quand tu la pas harceler ou quoique ce soit d'autre ne suffira pas a te faire condamnée et sa sera con que des mecs porte plainte contre " Il m'a supprimée de facebook et j'aime pas sa "
Fin bref je trouve cet histoire débile car facebook a était le déclencheur qui a fait que, avec tout ce qui a eu avant sa c'est normal qu'ils étaient condamnée.
Soit j'ai compris ça à l'envers, soit c'est débile xD
Ça fait un an que j'ai plus Facebook et je suis pas si triste de manquer les photos de thermomètre en hiver ou de fondants au chocolat des soirées entre filles.