Sony PlayStation 4 Pro, la PS4 la plus puissante et la mieux adapté à la réalité virtuelle : fiche technique, prix et date de sortie

9 septembre 2016 à 15h02

Pour présenter la PlayStation 4 Pro, Sony a décidé de faire une conférence de presse à New York et ainsi nous avons pu découvrir cette nouvelle version de la console qui reçoit un accueil mitigé auprès des joueurs.

Plus de puissance, mais pas de lecteur Blu-ray UHD

La PlayStation 4 Pro n’est pas une nouvelle console à part entière, mais plutôt une version améliorée et optimisée de la PlayStation 4 classique qui disparaît au profit de la PlayStation Slim.

A l’intérieur, on retrouve un processeur de chez AMD, le Jaguar comme pour la précédente version, mais elle utilise cette fois-ci la dernière génération de puce graphique Polaris. À première vue pas grand-chose, mais la montée en fréquence et l’intégration de Polaris permet de doubler la puissance de calcul de la console puisqu’elle passe de 1,84 Tflops à 4,2 Tflops. Sony explique que l’expérience de la réalité virtuelle avec son casque PlayStation VR sera de meilleure qualité avec un framerate plus important.

Cette configuration est accompagnée par 8 gigaoctets de mémoire en GDDR5 et d’un disque dur de 1 To pour y installer les jeux.

Niveau connectivité, la PlayStation 4 Pro dispose d’un port Ethernet, d’une sortie en HDMI compatible 4K/HDR, de 3 ports USB 3.1 qui sont répartis sur la face avant et arrière de la console, un port auxiliaire, une sortie optique, le Wifi 802.11ac et le Bluetooth 4.0 LE (Low Energy).

La taille de la console a été revue avec des dimensions de 327 x 295 x 55 mm et son poids est de 3,3 kilos. La consommation électrique passe à 310 watts en charge maximale.

A notre grande surprise, la PS4 Pro n’a pas de lecteur Blu-Ray Ultra HD ce qui est peut-être un défaut face à la Xbox One S de chez Microsoft. En effet, Sony mise sur le streaming pour fournir du contenu en 4K.

Côté tarifaire, la PlayStation 4 Pro sera commercialisée à partir de 399 euros dans sa version de base avec 1 To.

Tombé amoureux de l’informatique étant petit avec un Amstrad 6128, je n’ai jamais décroché. Depuis, je me suis diversifié en m’intéressant aux nouvelles technologies et plus particulièrement celle de notre quotidien.

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