Jacquie et Michel : face à ces accusations très graves, 5 personnes placées en garde à vue
Le 10 juillet 2020, le parquet de Paris ouvrait une enquête préliminaire pour viols et proxénétisme concernant les conditions de tournage du site pornographique Jacquie et Michel. Plusieurs signalements originaires de trois associations féministes expliquaient alors que de nombreuses actrices se sont vues imposer des pratiques sexuelles "hors normes et douloureuses" et ce, sans avoir leur consentement. Des accusations graves qui se soldent par le placement en garde à vue de 5 personnes près d'un an plus tard.
5 personnes placées en garde à vue
Comme l'indique 20 Minutes via l'AFP, Michel Piron, propriétaire du site pornographique Jacquie et Michel, ainsi que quatre autres personnes, ont été placés en garde à vue ce mardi 14 juin 2022 au matin dans le cadre d'une enquête pour "viols" et "proxénétisme". Me Nicolas Cellupica, avocat du groupe Ares, propriétaire du site, explique que ces faits "supposés de proxénétisme, complicité de viol et complicité d’agressions sexuelles" auraient été commis entre "2009 et 2015".
Une enquête préliminaire ouverte en juillet 2020 suite à plusieurs signalements issus de trois associations féministes qui expliquent que de nombreuses actrices se sont vues imposer des pratiques sexuelles "hors normes et douloureuses" sans avoir eu leur consentement au préalable. Des femmes ayant participé aux tournages pour le site expliquent qu'elles n'ont eu aucun contrôle de la diffusion de leur image. Des problématiques qui font écho à des témoignages de deux actrices recueillis par Konbini en février dernier 2020. Elles y expliquaient qu'une fois arrivées sur le lieu du tournage, l'équipe leur avait imposé des pratiques sexuelles pour lesquelles elles n'étaient pas préparées.
Des pratiques qualifiées "d'actes de torture" et de "barbarie" par les associations féministes à l'origine de cette procédure. Mais comme l'explique l'avocat de Michel Piron, ce dernier "a toujours sollicité à être entendu par les enquêteurs et à répondre ouvertement à leurs questions". "Il s’est toujours dit du côté des victimes si des actrices ont subi des actes de violences sexuelles qu’il ignorait parfaitement" avant d'expliquer que "le groupe Jacquie et Michel n’a jamais produit ou réalisé de film et n’est que diffuseur de films réalisés par des producteurs indépendants".
Une affaire compliquée dans laquelle les enquêteurs devront parvenir à comprendre la manière exacte dont travaille la société Jacquie & Michel. Comme l'a rappelé Me Cellupica, Jacquie & Michel ne fait que diffuser les films produits par des sociétés de production. D'autant que, au moindre problème, la plateforme pornographique cesse toute collaboration avec la société en question, comme elle a pu le faire en 2012 et 2013.
"Et encore ces pourris d'association féministes, il faut toujours qu'elles emmerdent tout le monde, c'est certain que tout est faux, elles sont là juste pour faire chier le monde parce qu'elles ont que ça à faire."
A méditer.
Ah pardon "attendons l'enquête", en fait c'est des gens raisonnable qui ne s'expriment pas uniquement par haine du féminisme et misogynie.
Quel genre de personne il faut être pour défendre des violeurs ?
Pour le moment oui ces associations sont juste la pour casser les couilles.