Test Monster Hunter Wilds : imparfait mais jouissif

24 février 2025 à 16h04 dans Jeux vidéo

Opus après opus, Monster Hunter n'a cessé de convaincre de plus en plus de joueurs de s'essayer à la chasse aux monstres. Et avec Monster Hunter World, Capcom a su toucher un public plus vaste grâce à une sortie sur consoles de salon. 7 ans après Monster Hunter World, la licence est de retour sur consoles de salon, avec la promesse d'un monde plus vaste, plus dynamique, plus facile à explorer et surtout, l'arrivée d'une myriade de nouveaux monstres. Nous avons pu le tester en amont de sa sortie, et après 47 heures au compteur, l'heure est venue de partager notre verdict. 

Test Monster Hunter Wilds : imparfait mais jouissif

Monster Hunter, la belle bête de Capcom

Ce 28 février 2025 sort Monster Hunter Wilds, dernier-né de la célèbre franchise de Capcom. Un opus très attendu qui n'a cessé de se proposer aux plus curieux par le biais de démos, aussi bien sur PC que su PS5. L'occasion pour les équipes de développement de recueillir les retours des joueurs, mais avant tout d'en tester l'optimisation technique. Chaque build fut un bond en avant, pour le mieux, avec des améliorations notoires. Après tout, Capcom semble logiquement éviter les mêmes problèmes qu'a pu rencontrer Dragon's Dogma 2 à sa sortie sur PC. 

Test Monster Hunter Wilds

Comme mentionné plus haut, nous avons pu tester Monster Hunter Wilds bien en amont de sa sortie. L'occasion pour nous d'y jeter plusieurs dizaines d'heures, pour en terminer le contenu disponible au lancement. Les habitués le savent, mais Monster Hunter Wilds continuera de s'étoffer après sa sortie, autant avec des mises à jour gratuites, comme avec le Mizutsune en avril, qu'avec une extension, sans doute prévue pour 2026 ou 2027. Capcom fait du Capcom, aucune surprise de ce côté là. L'éditeur japonais continue de régaler les joueurs ces dernières années, avec un contenu à la qualité en constante amélioration, fait rare dans un secteur souvent gangrené par les coupes budgétaires, les microtransactions et la satisfaction des actionnaires. 

Depuis son annonce en décembre 2023, Monster Hunter Wilds n'a pas eu peur de se montrer et même de proposer des versions jouables bien en amont de sa sortie. Un gage de qualité pour un titre suffisamment prêt pour être scruté dans les moindres détails par les hordes de joueurs, toujours plus nombreux. Les visiteurs de la Gamescom 2024 se souviendront sans doute quelques temps des files d'attente complètes dès l'ouverture du salon. Pour jouer à Monster Hunter Wilds, il fallait se lever tôt, et on a vite compris pourquoi. 

Monster Hunter, en mieux

Monster Hunter Wilds est un gros morceau. Une histoire plus étoffée encore que les précédentes itérations de la licence, avec des personnages secondaires poussés sur le devant de la scène, une attention toute particulière à la construction de son univers et aux interactions entre ses monstres. C'est la première fois que Monster Hunter propose une histoire qui s'étend sur autant de temps de jeu. Wilds étoffe les questions d'écologie poussées par World pour y inclure l'histoire tragique de Nata, un jeune garçon recueilli par la Guilde dont le village a été détruit par un monstre déchaîné et inconnu. 

Le chasseur, aka vous, va donc devoir percer les secrets de cet événement tragique, en aidant Nata à rentrer chez lui. Alma, Gemma, Olivia, Athos, Erik, Werner, nombreux seront les personnages à vous aider dans cette tâche. Vous ne serez pas seul, d'autant que ces personnages pourront également vous épauler lors de vos quêtes, en rejoignant votre quête sous la forme de PNJ chasseurs ou en proposant une aide spécialisée pendant vos chasses. 

Test Monster Hunter Wilds

L'histoire de Monster Hunter Wilds est bonne, pour un Monster Hunter. La franchise ne brille pas par la finesse de ses récits, l'histoire principale servant davantage à introduire ses monstres de manière fluide qu'à tenter de concurrencer Obsidian ou Larian. Pour autant, Capcom fait mouche. Monster Hunter Wilds surpasse de très loin ses prédécesseurs sur ce terrain là, avec une quête principale que l'on dévore sans interruption. Pas besoin de passer par un livre de quêtes pour avancer comme pour les opus précédents, Wilds fluidifie son intrigue pour la rendre plus digeste et surtout plus immersive. 

Un gameplay jouissif

Des pans de l'histoire moins importants pourraient être écourtés, voire supprimés, pour laisser davantage de place à l'action, mais dans l'ensemble, Monster Hunter Wilds améliore sa recette de grand-mère. Mais si les joueurs jouent à Monster Hunter, ce n'est pas forcément pour l'histoire, mais surtout son gameplay. Après tout, les carapaces, écailles et autres griffes ne vont pas se cueillir toutes seules. Avec Wilds, Capcom frappe de toutes ses forces dans la fourmilière et casse les codes (de la licence). Toutes les armes ont été retouchées, l'occasion pour les chasseurs expérimentés de redécouvrir leur arme de prédilection. 

Test Monster Hunter Wilds

Wilds dynamise son gameplay, comme a pu le faire World en son temps. Bien évidemment, en abandonnant les filoptères, Wilds s'écarte des plates-bandes de Rise en proposant un gameplay légèrement plus lourd. L'impact des armes est plaisant (avec une belle amélioration notable depuis la première beta), et la sensation de faire des dégâts massifs n'aura jamais été aussi plaisante. Un coup latéral au Lancecanon sera légèrement retenu après l'impact avec le monstre, comme si l'arme était retenue par sa chair. Et dans un jeu où on découpe des monstres à longueur de quête, c'est plaisant. 

Difficile de revenir avec attention sur l'ensemble des changements apportés aux armes de ce Monster Hunter Wilds. Avec 14 armes disponibles au lancement, c'est long. Pour autant, Wilds offre à chaque arme une mécanique de défense absolue, qu'il s'agisse d'une garde ou d'une esquive. Wilds met davantage l'accent sur le timing et récompense ceux qui prendront des risques. Mieux encore, les gardes et les esquives offrent une manière supplémentaire d'infliger des dégâts. Avec une lance ou un lancecanon, bloquer une projection continue comme un laser de Gravios par exemple, offre l'opportunité d'infliger une contre-attaque. Sur la pression d'un bouton, le chasseur va courir vers l'avant pour frapper la tête du monstre, tout en bloquant son attaque. 

Test Monster Hunter Wilds

Un ajout qui donne vie à des scènes épiques, dans des décors toujours plus travaillés. Côté esquives, un joueur de lames doubles infligera même des dégâts lors d'une esquive parfaite quand un archer y récupéra de l'endurance s'il y parvient. Des séquences de combat qui n'en finissent parfois plus, avec des mécaniques qui peaufinent encore davantage le gameplay de Monster Hunter, que l'on peut décrire comme facile à prendre en main mais difficile à maîtriser. 

Le mode focus, nouveau gimmick de Monster Hunter Wilds

Outre les changements apportés aux armes, Wilds introduit également la notion de mode focus. Frapper à plusieurs reprises une zone spécifique d'un monstre lui créera une blessure. Utiliser une attaque focus sur une blessure lui infligera d'importants dégâts, tout en vous récompensant avec une ressource. Un moyen efficace de remplir son coffre de butin tout en tuant vos cibles plus rapidement, avec un bon équilibre. Les blessures n'apparaissent pas trop souvent et n'infligent pas trop de dégâts, même si le déclenchement d'une attaque focus permet de stopper le monstre pendant quelques précieuses secondes. 

Un gimmick efficace, sans doute un poil trop fort pour ceux qui en abuseront. Mais après tout, personne ne vous oblige à appuyer sur R1. La force du mode focus, c'est également les possibilités en matière de repositionnement et de combo. Les armes lentes en profitent particulièrement, une aubaine pour certains, une mécanique fastidieuse à maitriser pour d'autres. Monster Hunter Wilds se joue de bien des manières, et aucune n'est plus noble qu'une autre. Alors jouez comme bon vous semble. Après tout, un bon monstre est un monstre mort non ? 

Des écosystèmes immersifs

Lors de vos chasses, vous traverserez une ribambelle de biomes différents. Plaines venteuses, forêt écarlate, bassin pétrolier, falaises de glace, chaque biome a son écosystème et ses monstres endémiques. Vous ne trouverez pas un Uth Duna dans les plaines venteuses ou un Ray Dau dans les falaises de glace. Après tout, ils sont les prédateurs ultimes de leurs régions respectives. Avec ses biomes, Monster Hunter Wilds fait fort. Honnêtement, lister l'intégralité des interactions entre les monstres et leurs écosystèmes mériteraient un article à part entière. Il est plaisant de découvrir comment la faune et la flore interagissent entre eux continuellement, avec des comportements naturels qui approfondissent la sensation d'immersion.  

Test Monster Hunter Wilds

Découvrir ces biomes sous des climats différents est tout bonnement plaisant et on se surprend à s'arrêter de temps à autres pour en apprécier la profondeur et le souci du détail. Capcom a de nouveau prouvé son amour pour les petites créatures qui peuplent ses jeux, bien qu'elles soient cachées en arrière-plan, entre deux branches ou bien sous l'eau. Il est possible que vous n'assistiez jamais à certaines de ces interactions, et c'est là toute la beauté de la décision de Capcom d'accorder autant d'importance à un pan de son jeu que peu de gens ne finiront finalement par scruter. 

Le Seikret, raptor couteau-suisse à jamais dans nos coeurs

Un monde plus vivant que jamais qui se découvre évidemment à dos de Seikret, la monture introduite dans Wilds. Le Seikret est incontestablement le meilleur ajout de ce Monster Hunter Wilds. Simple, efficace, permissif, personnalisable, dynamique, difficile de ne pas tomber sous le charme de ce raptor herbivore. A vrai dire, le Seikret est tellement efficace que l'on se retrouve à ne plus jamais avoir envie de marcher. Etre à pieds, c'est désormais réservé aux duels contre des monstres. Il est même possible de récolter des ressources depuis son Seikret, quand ce n'est pas grâce au scaragrappin, le dérivé du grappin de Monster Hunter World: Iceborne qui permet de mettre la main sur des ressources distantes ou de déclencher des pièges environnementaux. 

Test Monster Hunter Wilds

Les ajouts de qualité de vie de ce Monster Hunter Wilds sont inégalés dans la série, pour un opus au pinacle de son art. Tout est là au lancement, alors que d'autres jeux comme Civilization VII s'apparente à des retours en arrière de près d'une décennie et semblent ne pas du tout prendre en compte les forces de l'opus précédent. Capcom fait les choses bien, et vu l'état actuel du secteur du jeu vidéo, c'est un comportement qui mérite d'être félicité. Outre l'environnement de ses jeux, Capcom met également un point d'honneur à en sublimer la bande-originale. 

Deux décennies d'existence qui ont fait naître de véritables classiques, des musiques que les fans écoutent encore des années plus tard. Sur ce pan là, Monster Hunter Wilds ne nous a pas marqué autant qu'ont pu le faire des précédents opus. Attention, ce n'est en rien un point négatif, tout dépend de la sensibilité de chacun sur le sujet. Pour autant, une musique a particulièrement retenu notre attention : celle du combat contre le Jin Dahaad. Mais même si Capcom ne nous a pas transcendé via sa BO, c'est par le sound design qu'il nous a transporté. C'est sur ce pan sonore que le studio nippon nous a fait vibrer, et ça aussi bien avec le Rey Dau qu'avec l'Arkveld ou encore le Uth Duna. 

Test Monster Hunter Wilds

Capcom joue la carte de l'originalité pour le sound design de ses montres, avec des bruits qui renforcent l'immersion et surtout, changent du tout au tout d'une créature à l'autre. Pour rester sur le design, arrêtons-nous un temps sur celui des nouveaux monstres. Après les dinosaures de World, place aux créatures plus particulières de Wilds. Des monstres qui semblent débarquer du même astéroïde que Deoxys de Pokémon ou de Venom de chez Marvel. Mention spéciale pour le Rompopolo, le Balahara ou encore le Nu Udra, avec des designs qui sortent de l'ordinaire. Une prise de risque qui fait plaisir à voir, dans un jeu où les wyvernes et autres bêtes à crocs sont légion. Les monstres qui sont de retour, comme le Yian Kut-Ku ou le Gypceros disposent de nouvelles capacités. Le Gravios est même de retour avec un cri d'ours qui a de quoi surprendre la première fois. 

Gourmand comme un Uth Duna

Place maintenant aux graphismes et à l'optimisation. Pour les besoins de ce test, Monster Hunter Wilds a été testé sur PC sur une config moyenne : i5-13400F, 32 Go de RAM et Nvidia RTX 4060 Ti. On est loin du PC à 3000 €. Pour autant, avec la génération d'images, Monster Hunter Wilds tourne constamment à 50/60 FPS sur un écran ultra-wide 3440 x 1440 qui approche de la décennie. Des conditions loin d'être optimales mais qui ont le mérite de se rapprocher de l'expérience de nombreux joueurs. 

Test Monster Hunter Wilds

Soyons honnête, Monster Hunter Wilds est gourmand. Pour autant, on est loin de l'optimisation de Dragon's Dogma 2. Pas de grosse chute de FPS durant les 47 heures de jeu, deux/trois crashs enregistrés, une génération d'images efficace, expérience imparfaite mais suffisante. A moins d'avoir un PC puissant et récent, ne vous attendez pas à profiter d'un Monster Hunter Wilds en 120 FPS et en ultra. Le benchmark est assez proche de l'expérience joueur finale, vous pouvez vous reposer dessus si vous hésitez à changer votre config à l'approche de la sortie. Comme à son habitude, Monster Hunter vous offre une myriade d'options graphiques à titiller pour changer votre expérience de jeu. On laissera Digital Foundry se charger de l'optimisation graphique sur PC, n'hésitez pas à jeter un oeil à leurs travaux si besoin. 

Test Monster Hunter Wilds

Les habitués le savent, mais les Monster Hunter récents se décomposent en deux parties, l'une pré-crédits et l'autre post-crédits. Les premiers crédits ont été aperçus en 7h30 environ, quand la quête principale a été bouclée en environ 17 heures de jeu. D'un œil extérieur, ça peut sembler court. Il convient de prendre en considération que le testeur joue à Monster Hunter depuis Monster Hunter Freedom 2 sur PSP et a quelques milliers d'heures à son actif (difficile à quantifier avec les années). Près de 20 ans d'expérience donc, ça pèse dans la balance. 

L'endgame et l'équilibrage 

L'heure pour nous d'aborder des pans du jeu qui parleront davantage aux vétérans : l'endgame et l'équilibrage. L'endgame de Monster Hunter Wilds a été teasé ce weekend à l'occasion d'un stream des développeurs, révélant l'existence de monstres Alpha et en furie. Investigations, optimisations de l'équipement, recherche de joyaux, voici l'endgame de Monster Hunter Wilds dans un mouchoir de poche. Mais Wilds vous facilite tout de même légèrement la tâche côté joyaux en supprimant un pan largement critiqué de World. Par contre, Wilds innove en cantonnant les joyaux offensifs aux armes et les joyaux défensifs aux armures. Si vous pensiez pouvoir recréer vos sets de World, c'est non. 

Test Monster Hunter Wilds

La notion d'aléatoire est toujours présente avec l'existence des joyeux à double talents, qui vous forceront à massacrer des monstres Alpha en quête de joyaux précis. Par chance, Wilds ne vous bloque pas derrière une malchance malencontreuse, comme World a pu le faire avec son joyau Attaque. Moins permissifs que par le passé, la gestion des joyaux se résume bien souvent à alterner les joyaux incrustés dans vos armes, ceux des armures n'ayant pas forcément de raison de bouger. A moins évidemment que vous passiez de la Lance à l'Insectoglaive. 

Malgré les changements de dernière minute apportés à certaines armes, on constate avec regret que des armes, comme la Lance notamment, restent bien inférieures à d'autres. On ne parle pas d'un petit manque de dégâts ou d'une mobilité un poil inférieure mais d'un vrai gap dans les possibilités de l'arme. Bien évidemment, un bon joueur de Lance sera toujours plus efficace qu'un mauvais joueur d'Arc, mais Wilds n'a pas un équilibrage parfait, loin de là. 

Test Monster Hunter Wilds

De même, tous les sets d'armure ne sont pas véritablement utiles en combat. Des bonus trop disparates d'un set à un autre qui vont forcés les joueurs à se cramponner à certains sets bien distincts. Mais avis aux gros joueurs, des sets cachés peuvent être obtenus, encore faut-il en dénicher les composants. Malgré tout, Wilds mérite d'être applaudi pour le nombre de sets d'armures présents au lancement. Et même si toutes ne seront pas jouées, il est possible d'en adopter l'apparence. La personnalisation n'aura jamais été aussi poussée, aussi bien au niveau de l'apparence du chasseur et de son armure, du Palico que du Seikret en passant par les camps de base temporaires. 

Test Monster Hunter Wilds

Ce weekend, Capcom a également révélé le retour des armes Artian. Des armes qui offrent une autre utilité aux monstres Alpha et qui se présentent comme des alternatives plaisantes et efficaces aux armes les plus puissantes du jeu. Elles sont particulièrement pratiques si vous souhaitez vous essayer à une des 14 armes proposées par Wilds mais que vous n'avez pas envie de vous farcir le farm de gemmes ou de composants rares. Des armes qui vous permettent d'abattre des monstres difficiles avec des armes différentes, difficile d'y voir du négatif. 

Conclusion 

Sans surprise, Monster Hunter Wilds est un excellent jeu. Capcom nous propose la formule la plus aboutie de tous les Monster Hunter, avec un gameplay plus poussé que jamais, un feeling inégalé, une mobilité accrue grâce au Seikret et aux changements apportés aux armes, un monde ouvert immersif et fascinant aux interactions nombreuses, un bestiaire conséquent et des nouveaux designs de monstres originaux, un sound design à applaudir et une mise en scène de l'histoire principale à l'apogée de la licence. Lui trouver des points négatifs a été difficile.

Test Monster Hunter Wilds

Mais on pourrait citer un équilibrage encore imparfait, un manque de diversité parmi les sets d'armures véritablement viables ou encore un jeu un poil gourmand sur PC qui risque de faire crier quelques configs. Quoiqu'il en soit, Monster Hunter Wilds incarne ce que Capcom sait faire de mieux : un excellent jeu qui reprend les points forts de ses prédécesseurs, les peaufine tout en proposant ses propres nouveautés. Un opus qui nous a régalé pendant près de 50 heures et qui devrait continuer à le faire, tant avec ses mises à jour gratuites que sa (très) probable extension. Monster Hunter Wilds est une vraie réussite et on a qu'une envie, c'est de retourner massacrer des Arkveld à dos de Seikret. 

Après un Master en Journalisme à l'IEJ, j'intègre définitivement la rédaction d'Hitek en 2017. Passionné de jeux vidéo, de nouvelles technologies, de science-fiction et de pancakes, je me complais à partager mes centres d'intérêts avec le plus grand nombre. Toujours partant pour un Jägerbomb en terrasse.

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Commentaires (1)
OMG
photo de profil de Fo Par Fo, il y a 3 heures Répondre
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