Les pires effets spéciaux de l'histoire du cinéma compilés dans une vidéo

Le cinéma est multiple. Il peut nous fournir de super moments (comme avec ces superbes F*cks) ou de plus difficiles moments (par exemple ces films de requins ratés…). La plupart du temps, les réalisateurs, les monteurs et les responsables des effets spéciaux font de leur mieux pour que leur film déchire. Mais le vieillissement et le perfectionnement des techniques rendent tout ces efforts inutiles et blessent la rétine des spectateurs. Le studio Worlwide Interweb a compilé la plupart des pires effets spéciaux. On vous laisse découvrir le chef d'oeuvre...

Coupables ? De quoi ?

Alors c'est vrai, on est tenté de blâmer ceux qui ont conçu ces effets spéciaux. Mais ce serait profondément malhonnête et injuste. Eh oui (pour la plupart d'entre eux), ce résultat était issu d'un véritable travail, long et difficile, pour le plaisir des spectateurs. Certains étaient même des précurseurs adulés. Alors, certes, l'âge ne leur va pas, mais il faut avouer (et reconnaître) que les techniques ont beaucoup évolué... Et que, même s'il est de bon ton de dire que les films modernes sont moches, les productions actuelles ont quand même un sacré niveau visuel (comme Horns) qui rabaisse les générations précédentes... Donc au final il faut relativiser en se disant que c'était bien pour l'époque...

Histoire des effets spéciaux

Les effets spéciaux au cinéma existent depuis un bout de temps. Leur inventeur est Georges Meliès et c'est avec son oeuvre Le Voyage Dans La Lune qu'il sacralise ces effets en 1902. Mais la technique a progressivement évolué avec l'apparition de sculptures et de marionnettes. Mais c'est au début des années 1990 que nait la technique révolutionnaire de l'incrustation. En filmant les acteurs avec un fond vert (ou bleu), on peut les intégrer dans des situations impossibles à recréer dans la réalité. Au même moment (en 1990) naissait la motion capture. Mais les technologies n'étaient pas assez développées et se fut un échec... Puis, au début des années 2000, l'art de capturer les mouvements d'un acteur pour animer un être de synthèse a bien progressé. La plus grande réussite est sans doute Gollum du Seigneur des Anneaux. On comprend mieux le décalage entre hier et aujourd'hui...