Une énorme créature aquatique s'échoue sur les côtes indonésiennes
Le monstre du Loch Ness, Moby Dick ou encore les sirènes, nombreuses sont les créatures aquatiques désormais entrées dans la légende. Une de plus pourrait bien s'ajouter à la liste. Vendredi 12 mai dernier, une étrange et énorme carcasse s'échoue sur les côtes de la province de Maluku, en Indonésie. Cette masse gigantesque flotte et pourrie, se décomposant à vue d'oeil. Seulement, impossible d'identifier clairement cette créature. La forme laisse penser à une baleine quand des longs bouts de peau effilochés laissent présager la présence d'un calmar géant.
À l'heure actuelle, des chercheurs analysent des échantillons de la créature dans le but d'identifier clairement à quelle espèce elle appartient. Sur un post Facebook, l'armée indonésienne décrit la carcasse comme celle d'un calmar géant, d'une longueur de 22 mètres, d'une largeur de 4 mètres et d'un poids avoisinant les 35 tonnes. Contacté par Vice, Rob Deaville, directeur du UK Cetacean Strandings Investigation Programme de la Zoological Society of London, penche sur une carcasse de cétacé à fanons, d'où découlent les baleines bleues, les baleines à bosses ou les baleines franches.
Sur les photos qui lui ont été envoyées par Vice, Deaville note la présence d'une colonne vertébrale, dont sont dépourvus les calmars géants. Seulement, lorsque les baleines meurent, elles coulent. Ce qui n'est pas le cas de cette carcasse. Selon Live Science via le Washington Post, le cétacé serait en proie à une infection bactérienne, produisant alors plus de gaz, la laissant flotter. Autre hypothèse, le cétacé serait mort en eaux tièdes, permettant à la bactérie de s'accumuler, faisant gonfler la carcasse de la baleine. Cependant, les analystes s'occupant actuellement des recherches n'ont pas encore dévoilé la véritable nature de ce spécimen. Les prochains jours nous apporteront certainement des réponses.
Il s'agit plus que certainement d'un cadavre de mysticète en état de décomposition avancé. Après, allez savoir à quelle espèce on a affaire.
Je m'avance même à dire qu'il s'agit sans aucun doute d'un Rorqual ( famille des Balaenopteridae, peut être un Rorqual commun) car on peut clairement voir les sillons gulaires qui sont caractéristiques des Rorquals.
Ici, niveau identification, on en est à la famille ce qui réduit déjà considérablement le champ de recherches. Après il suffit de faire des comparaisons anatomiques et éventuellement génétiques et on tombe sur l'espèce en question.
L'espace d'un instant j'ai cru que tu parlais des journalistes.
Dans ta logique, tellement peu de facteurs sont pris en compte qu'elle est forcément erronée.
Et ton hypothèse est de loin la moins probable de toutes. Mais je pense pas que tu comprendrais même si on te l'expliquais.
Doit quand même y avoir un sacré risque sanitaire.