Après avoir plongé les joueurs dans un monde d'épouvante en 2014, Tango Gameworks et Bethesda réitèrent l'opération avec The Evil Within 2, la suite directe du premier volet. Shinjin Mikami, véritable marionnettiste de l'horreur, continue de tirer les ficelles de son univers sombre et horrifique dans lequel les joueurs se plongeront plus ou moins volontiers.…
La suite très attendue de The Evil Within se dévoile en images. Après le succès commercial du premier opus en 2014, Bethesda officialise enfin l'arrivée du second épisode des aventures de Sebastian Castellanos.
Dans la continuité du premier opus
Le jeu sera la suite scénaristique du premier opus. Nous suivrons toujours le personnage de Sebastian Castellanos, en quête dans le but de sauver sa fille, aux mains des plus cruelles créatures.
Un trailer très cinématographique et une date de sortie symbolique
Une superbe bande-annonce a été dévoilée et nous fait une rapide présentation de ce que sera l'intrigue et indique que le jeu explorera encore plus les frontières du gore.
Pour symboliser l'horreur, Bethesda a annoncé le jeu pour un vendredi 13, le 13 octobre 2017 plus exactement.
Après une bande-annonce particulièrement travaillée, il a également été annoncé que cette présentation serait une des seules du jeu, ce qui explique la sortie très proche de celui-ci.
Une chose est sûre, ce The Evil Within 2 n'a pas fini de vous angoisser.
La suite très attendue de The Evil Within se dévoile en images. Après le succès commercial du premier opus en 2014, Bethesda officialise enfin l'arrivée du second épisode des aventures de Sebastian Castellanos.
Dans la continuité du premier opus
Le jeu sera la suite scénaristique du premier opus. Nous suivrons toujours le personnage de Sebastian Castellanos, en quête dans le but de sauver sa fille, aux mains des plus cruelles créatures.
Un trailer très cinématographique et une date de sortie symbolique
Une superbe bande-annonce a été dévoilée et nous fait une rapide présentation de ce que sera l'intrigue et indique que le jeu explorera encore plus les frontières du gore.
Pour symboliser l'horreur, Bethesda a annoncé le jeu pour un vendredi 13, le 13 octobre 2017 plus exactement.
Après une bande-annonce particulièrement travaillée, il a également été annoncé que cette présentation serait une des seules du jeu, ce qui explique la sortie très proche de celui-ci.
Une chose est sûre, ce The Evil Within 2 n'a pas fini de vous angoisser.
Héros au grand coeur, gentil trouillard ou tout simplement fou à lier ? Fais le test et découvre à qui tu ressembles.
Il y a 7 ans par Guillaume Chagot
Après avoir plongé les joueurs dans un monde d'épouvante en 2014, Tango Gameworks et Bethesda réitèrent l'opération avec The Evil Within 2, la suite directe du premier volet. Shinjin Mikami, véritable marionnettiste de l'horreur, continue de tirer les ficelles de son univers sombre et horrifique dans lequel les joueurs se plongeront plus ou moins volontiers. Sébastian Castellanos reprend du service et compte retrouver sa fille, malgré les bestioles cauchemardesques qui déambulent dans les rues de la petite ville d'Union. Alors, véritable descente dans l'horreur ou simple lac des cygnes, c'est l'heure de le savoir.
Bien évidemment, il est fort conseillé de jouer à The Evil Within premier du nom avant de prendre part à cette nouvelle aventure. L'intrigue n'en sera que plus savoureuse. Toutefois, si vous souhaitez faire vos preuves en commençant par la fin, vous ne serez pas perdu. Histoire de plonger tout le monde dans le contexte de ce Evil Within 2, Sebastian Castellanos apprend que sa fille Lily est toujours en vie et dans les mains de MOBIUS. La petite fille sert de noyau à une machine appelée S.T.E.M. qui a pour fonction de relier les esprits de personnes entre eux. Seulement, votre descendance a disparu et le monde qui prend vie par le biais de la machine part littéralement, en cacahuètes. Vous êtes alors envoyé la chercher, en passant par une baignoire.
Un jeu sadique
Dès ses débuts, The Evil Within 2 ne vous fait pas de cadeau. Le titre sadique de Tango Gameworks tient à mettre les points sur les "i". Les mécaniques de jeu s'apparentent entre un mix des premiers Resident Evil, du 7 saupoudré d'une belle dose de The Last of Us. Et pour cause, vous êtes lâchés apeurés, blessés et désarmés avec comme seule arme, vos jambes. Pas de high-kick, vous n'êtes pas Jean-Claude voyons. Même si le jeu est assez gentil en vous laissant ramasser une arme de poing dans la partie, vous n'aurez pas la caisse de munitions assortie.
La priorité est à la discrétion. Et pour ça, les bouteilles seront vos meilleures amies, plus encore que les cartouches de fusil à pompe. Ces dernières peuvent être lancées à un endroit voulu dans le but d'y attirer les ennemis environnant. Si vous avez le malheur de vous faire repérer et que vos munitions sont dans le rouge, mieux vaut mourir que de tenter quoi que ce soit. Sans compter que les ennemis tapent fort et ont l'oeil attentif. Certains plus que d'autres.
Rappelez-vous, c'est pour elle que vous êtes là.
Durant les premières heures de jeu, vous aurez davantage envie de vous balader dans les rues d'Union que de suivre les indications fournies par le camp de base à effectif réduit. Les lieux à visiter sont assez nombreux compte tenu des voyages rapides proposés par les ordinateurs que vous trouverez ici et là. Toutefois, il n'y a pas de bouton de sauvegarde rapide. Parfois, mourir équivaut à perdre une bonne demi-heure de gameplay, à cause d'une petite faute d'inattention. Les combats, au corps à corps notamment, peuvent s'avérer plutôt lents.
La caméra par défaut n'aidant pas avec son plan derrière votre épaule qui vous bloque le champ de vision et accroit ce sentiment d'oppression. Vous me direz, dans un survival-horror, c'est plutôt bon. Les ennemis sont très résistants et nécessitent plusieurs balles, même pour les premiers, alors que les munitions se font rares. Il faut également savoir viser pour atteindre les parties les plus vulnérables des bestiaux qui vous font face. Côté armes, rien de bien surprenant. Les classiques reviennent : arme de poing, fusil à pompe, arbalète,... Une roue des armes pour y accéder, secondée par des raccourcis à attribuer via la croix directionnelle.
Courir ou mourir, il faut choisir.
Bien évidemment, pas de régénération automatique, les seuls moyens de regagner ses points de vie résident dans les seringues, dissimulées ici et là ou fabriquées en échange de plantes, et dans les tasses à café, disponibles principalement dans les lieux sécurisés. Ces lieux sont accessibles dès le début de la partie et vous forment sur les possibilités d'améliorations de vos armes et de vos capacités. Les armes peuvent être améliorées via un établi contre des pièces d'armes que vous récupérerez assez facilement.
Les capacités quant à elles, peuvent être augmentées en échange de la gelée verte qui prend forme à la mort des ennemis. Les ennemis lambdas sont plutôt pingres et les boss généreux. Un moyen de contrebalancer le manque ressenti au début. Sur la fin par contre, j'espère que vous aimez la gelée, vous aurez de quoi tenir une petite semaine. Des améliorations passives se dissimulent à quelques endroits stratégiques et généralement bien gardés. Mais vous le savez, une amélioration gratuite a toujours un prix.
Opressant
Même si au départ, The Evil Within 2 peut s'apparenter à un survival-horror dans lequel vous faites face à des zombies qui grossissent au fur et à mesure, que nenni. Vous allez chérir les débuts du jeu. Plus les chapitres défilent et plus la lumière s'amoindrie. La faute à une facture impayée, très certainement. Quelques fois, le seul moyen de voir devant vous sera de garder constamment votre lampe torche allumée. Mais c'est surtout par son ambiance et sa bande-originale magistrale que le titre vous cloue. Voyez The Evil Within 2 comme une petite soeur énergique démoniaque qui ne vous laisse jamais tranquille. Car c'est le cas.
Même lorsque vous pensez avoir nettoyé une zone et revenir tranquillement sur vos pas, de nouveaux ennemis débarquent. Collants, ils ne vous lâchent pas d'une semelle. Ainsi, même les lieux déjà visités parviennent à surprendre de par leur atmosphère changeante et leurs ennemis insoupçonnés. La musique vous oblige à rester constamment sur vos gardes, comme si une forme discrète, mais lourde, regardait par dessus votre épaule. Bien évidemment, le meilleur moyen de profiter pleinement de cette atmosphère pesante est de s'immerger complètement dans le noir, casque sur les oreilles et volume sonore suffisamment haut.
Le point d'entrée d'un nouveau cauchemar ?
Vous pourrez suivre l'évolution de votre environnement seulement avec vos oreilles. Même si certaines tentatives peuvent provoquer de sévères frayeurs, il est agréable de se faire transporter, simplement en tendant l'oreille. Mais cette ambiance, vous la maudirez autant que vous l'adorerez. Personne ne sera là pour vous rassurer lorsque vous serez en dehors des coins sécurisés. Personne ne viendra à votre secours. Ça, The Evil Within 2 vous le fait comprendre à de nombreuses reprises. Comme une vieille rengaine, il vous répète sans cesse votre insécurité. Et même si vous l'écoutez à chaque fois, vous parviendrez toujours à apprendre quelque chose de neuf.
Des antagonistes charismatiques
Même si Union se veut plutôt terne et répétitive par endroit, certains lieux de hauts rangs viennent colorer le tableau. Non pas de vert ou de bleu, mais de rouge. Le sang coule à flots et les antagonistes de The Evil Within 2 sont là pour ça. Vous connaissez les deux plus gros : Stefano et Théodore, présentés en vidéo. Toutefois, certains boss sont plus originaux dans leurs mécaniques, le Watcher ou l'Obscura par exemple. Ces derniers remplissent avec brio leur rôle de bestioles bizarres, tout droit sorties d'un cauchemar. Les combats de boss ne sont jamais très longs. Même s'il vous arrivera certainement de recommencer plusieurs fois un affrontement, comptez quelques minutes tout au plus pour en venir à bout. L'exploration se veut plutôt lente, avec ses couloirs étroits, ses recoins abondants et sa visibilité amoindrie. De l'autre côté, les combats sont rapides, que ce soit dans un sens ou dans l'autre. Vous mourrez vite, d'une façon similaire à vos ennemis.
De l'art pour certains...
Dans ses graphismes, The Evil Within 2 ne révolutionne rien. À l'inverse, les textures se veulent un peu vieillottes sur consoles, malgré une sortie fin 2017. Les détails se veulent grossiers, que ce soit l'environnement ou les ennemis. On notera toutefois une mise en avant des gros méchants du titre, plus travaillés que le reste du bestiaire. Les ennemis n'hésiteront pas à vous attaquer de tous les côtés, même au dessus de votre tête, pour un effet de surprise maximal. Rien ne sert de s'emballer une fois le monstre de l'autre côté du pistolet. À chaque instant, il faut garder son sang-froid pour viser juste. Les débuts sont difficiles mais le coup de main se prend assez facilement.
Conclusion
The Evil Within 2 prend les traits du cinéma d'horreur et les rapporte à l'univers du jeu vidéo. Cette aventure oppressante vous procure un sentiment d'insécurité quasi constant qui vous suivra tout au long de la bonne dizaine d'heures nécessaire à la complétion de l'histoire principale. C'est l'esprit lourd et l'estomac noué que vous naviguerez avec plaisir dans les recoins sombres et les grands bâtiments d'Union. Même si les détails parfois peu travaillés et les graphismes en deçà des standards du moment viendront ternir le tableau, l'ambiance horrifique combinée à l'atmosphère cauchemardesque du titre de Tango Gameworks ne manqueront pas de tenir en haleine.
L'histoire s'affine au fur et à mesure et ne compte pas les rebondissements qui viendront vous rappeler que The Evil Within 2, ce n'est pas que des zombies et de la gelée. C'est également des monstres au design très nippon qui ne manqueront pas de vous étriper. Veillez à garder l'interrupteur de la lumière près de vous juste au cas où. Histoire de ne pas mourir de peur si quelqu'un vient vous tapoter l'épaule dans l'espoir de vous sortir de votre effroyable épopée.
Points positifs et négatifs The Evil Within 2
L'ambiance horrifique
Le sentiment d'insécurité quasi constant
Les antagonistes charismatiques
Le bestiaire aux allures de cauchemar
Stefano !
Les graphismes un peu vieillot
Les détails grossiers
Les combats un peu lourds
8
/10
Graphismes : 7/10
Gameplay : 8/10
Bande son : 10/10
Durée de vie : 7/10
avis des internautes (2)
50,00% - 1 avis
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Dernier avis positif
Par pedobear, il y a 7 ans
très bon jeu même si le game play reste boff... il faut farmer dans ce jeu pour réussir, sinon qualités musiques et graphismes… » lire la suite
Ayant joué au premier, je m'attendais une suite digne de sa licence et au final je ne suis pas déçu, mais certain élément m'ont quand même un peu ennuyé comme:
-Le bestiaire :
les adversaires sont dans l'ensemble bien fait mais trop… » lire la suite
La vache ! Que c'est nul. Aucune ambiance, musique à chier, visuel trop propre, lieux communs... j'espère que ça ne reflète pas le jeu. J'avais beaucoup aimé le 1er.
On tourne en rond dans tous les styles de jeu. Comme pour la musique ou le cinéma, c'est dur de se renouveler. Pour un virage radical il faut attendre la démocratisation de la VR et du jeu sensoriel, autrement je ne vois pas comment innover niveau gameplay.
Mais là rien à voir c'est le trailer que je trouve à chier.
Possédant déjà le jeux et ayant adorer le premier le second épisode est excellent et la bande annonce ne reflète vraiment pas l'ambiance angoissante de la version finale ☺️
Par NOT_LESS_OR_EQUAL, il y a 7 ans :
La vache ! Que c'est nul.
Aucune ambiance, musique à chier, visuel trop propre, lieux communs... j'espère que ça ne reflète pas le jeu. J'avais beaucoup aimé le 1er.
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