Focus sur Pixar (partie 2) : Ratatouille, WALL-E, Vice-versa...
Nous avons laissé le studio Pixar à l'aube d'une nouvelle ère. Ce studio, qui de propriété de LucasFilms à celle de Steve Jobs, vient d'être acheté par Disney, leur plus grand rival. Quel avenir pour Pixar ?
9# 2007 : Ratatouille, de Brad Bird, Jan Pinkava
En 2006, Disney rachète Pixar. Après avoir craint de perdre cette mine d'or, Disney peut souffler : il garde dans son jardin la poule aux oeufs d'or. Et la sortie de Ratatouille va prouver à Disney qu'ils ont fait le bon choix. Pourtant, Ratatouille a failli être le premier échec de la bande à Luxo (petit rappel : Luxo est le nom de la lampe). En effet, la production patine. Né d'une idée de Jan Pinkava, le scénario est trop complexe, car contient trop de personnages secondaires. John Lasseter fait alors appel à son ami Brad Bird, le réalisateur surdoué des Indestructibles, pour reprendre les choses en main. Même s'il garde les idées principales et l'atmosphère de l'original, Brad Bird fait des changements majeurs, qui sauveront le film. Tout d'abord, en se focalisant sur la relation entre le rat Rémy et Alfredo, le jeune "cuisinier". Ensuite, en donnant une forme plus réalistes aux rats anthropomorphes du projet initial. C'est tout un remaniement qui se fait, et qui s'avère payant : Ratatouille est un nouveau chef d'oeuvre, acclamé à grands cris par la critique ET le public. Pixar semble être l'un des seuls points de raliement entre la critique et le public, eux dont les avis ont tendance à un peu trop souvent diverger. Pixar gagne avec Ratatouille son quatrième Oscar (et le troisième pour le meilleur film d'animation). Plus rien ne semble pouvoir arrêter Pixar. Comment expliquer son succès, un succès quasi-insolent ? Déjà, pour sa qualité graphique, qui ne cesse de croître. Pixar se donne pour défi constant de toujours repousser les limites du numérique. A tel point que l'eau du Monde de Némo a dû être retravaillée pour la rendre moins réaliste, afin qu'on ne puisse pas penser qu'elle ait été filmée. Ensuite, les scénarii de Disney sont de plus en plus audacieux, de plus en plus originaux et intelligents. Faire un film destiné aux enfants sur la grande gastronomie, c'est un défi énorme, que seul Pixar pouvait réussir. Enfin, parce qu'il semblerait, en ce début de XXIème siècle, que la bande à Pixar soit la dernière dépositaire de l'esprit même de Walt Disney. Lui qui fut toujours inventif, passionné par les nouvelles technologies, désireux de toujours se confronter à de nouveaux défis.
10# 2008 : WALL-E, d'Andrew Stanton
En 2008, Pixar, qui déjà surpassait en termes de qualité les autres studios d'animation à chacune de ses sorties (hormis peut-être le studio Ghibli), sort un nouveau chef d'oeuvre, un violent upercut à la face de l'animation. WALL-E est parfaitement représentatif du savoir-faire de Pixar. Non content d'avoir une réalisation et une précision graphique irréprochables, le film est terriblement audacieux. Rendant hommage au cinéma de Chaplin, le film est muet jusqu'à la dix-septième minute, ce qui pour un film pour enfants, est un véritable tour de force. En plus d'être une magnifique histoire d'amour qui ferait passer l'histoire de Titanic pour une histoire un peu bâteau (Titanic, bâteau, vous comprenez ?), WALL-E est une fable écologique hors-norme, multipliant les hommages aux grands films de SF, comme L'Odyssée de l'espace ou Star Trek. WALL-E est un film immense, un chef d'oeuvre dont la valeur reste à ce jour incommensurable, un film brillant et infiniment poétique, et qui mérite amplement son Oscar pour le meilleur film d'animation (quatrième gagné par Pixar, si l'on ne compte pas l'Oscar d'honneur gagné pour Toy Story). Au fait, WALL-E (qui par ailleurs a été réalisé par le génie qui nous a offert Le Monde de Nemo) est la contraction de Walter Elias Disney, plus connu sous le nom de Walt Disney. Quand je vous disais qu'ils étaient les derniers dépositaires de son esprit...
11# 2009 : Là-haut, de Pete Docter, Bob Petersen
Après le chef d'oeuvre Monstres et Cie, le nouveau film de Pete Docter est évidemment très attendu. D'autant qu'une fois encore, l'immense studio Pixar est derrière... Là-haut est un énième chef d'oeuvre, qui confirme la règle de Pixar : toujours innover, toujours se surpasser. Immense fable poétique, Là-haut est un merveilleux film d'aventure, où les questions du deuil, de la vieillesse et de l'héritage sont analysées avec brio. Pete Docter a le génie de toujours se livrer dans ses films. Après avoir parlé de ses peurs d'enfant dans Monstres et Cie, il nous conte son histoire d'amitié avec trois des "neufs sages" de chez Disney, ces artistes qui travaillaient avec Walt Disney depuis ses débuts, et qui ont fait perdurer son héritage après sa mort. Avec Là-haut, Pete Docter confirme ce que nous soupçonnons déjà : Pixar est la quintessence de l'esprit Disney. Le public et la critique sauront faire comprendre à Pixar à quel point ils aiment Là-haut : non content d'être un énième triomphe au box-office mondial, le film fait l'ouverture du Festival de Cannes (ce qui est une première pour un film d'animation), est nominé pour l'Oscar du meilleur film (ce qui, pour un film d'animation, ne s'était plus vu depuis La Belle et la Bête, qui était le premier à avoir un tel privilège), est également nominé pour l'Oscar du meilleur scénario (ce qui ne s'était jamais vu, une fois encore, pour un film d'animation. Même La Belle et la bête n'a pas eu un tel prestige) et pour l'Oscar du meilleur montage sonore, mais gagne en outre l'Oscar du meilleur film d'animation (le contraire aurait été étonnant), Pixar remportant son cinquième Oscar pour cette catégorie en l'espace de dix films, ainsi que l'Oscar pour la meilleure musique de film pour Michael Giacchino (qui signait pour l'occasion sa troisième collaboration avec Pixar, après Les Indestructibles et Ratatouille).
12# 2010 : Toy Story 3, de Lee Unkrich
Alors que l'exercice de la suite est très dangereux, Pixar décide de sortir un troisième volet à la saga Toy Story. Une suite qui sera un véritable triomphe pour la bande à Luxo. Pourtant, et c'est une surprise pour personne, Toy Story 3 est un triomphe au box-office (et c'est un doux euphémisme). Il s'agit du premier film d'animation à dépasser le milliard de dollars. Comment expliquer un tel succès ? Est-ce uniquement dû au nom de Pixar, devenu un gage de qualité extrême ? Ou tout simplement parce que cette suite est bel et bien un chef d'oeuvre tel qu'on en fait peu ? Les deux à la fois. Le nom de Pixar est effectivement un gage d'extrême qualité. Pixar, c'est un peu le label rouge de l'animation. Ensuite, cette suite est réussie au plus haut point. Cassant tous les codes (le nounours méchant, etc), elle est un puits de poésie, d'émotions, d'humour. Un film grandiose, pour lequel Pixar a une fois de plus gagné l'Oscar du meilleur film d'animation.
13# 2011 : Cars 2, de John Lasseter
Malgré le fait qu'il soit très occupé, John Lasseter revient à la réalisation pour une suite à son très estimé Cars. Bien évidemment, et ce comme à chaque film Pixar, Cars 2 est très attendu. D'emblée, le film nous enchante : les décors sont d'une précision à couper le souffle, l'énergie du film est incroyable. Pourtant, quelque chose ne va pas : le film est trop enfantin. L'histoire n'est pas complexe, n'a pas de nuance. Ce qui enlève sa poésie. Cela n'empêchera pas le film d'être un triomphe au box-office. Mais le public adulte est très éloigné de ses attentes. Pour la première fois depuis longtemps (depuis Ratatouille), Pixar ne remportera pas l'Oscar du meilleur film d'animation. Pire : il ne sera pas nominé. Pendant ce temps, Disney a repris du poil de la bête, avec les sorties consécutives de trois chefs d'oeuvres : La Princesse et la Grenouille, Raiponce et Winnie l'ourson. Pixar, qui avait fait pendant 15 ans la nique à Disney, voit son principal rival reprendre du poil de la bête. Allons-nous assister à une bataille intestine entre mastodontes du cinéma d'animation ?
14# 2012 : Rebelle, de Mark Andrews, Brenda Chapman
A l'instar de Ratatouille, Rebelle est un film qui a failli ne jamais voir le jour. En effet, la scénariste Brenda Chapman, qui s'est inspirée de sa relation avec sa fille pour écire Rebelle, patauge. Le projet est donc remis entre les mains de Mark Andrews, qui mènera le projet jusque dans les salles obscures. La sortie de Rebelle a été accompagnée d'une polémique sans précédent pour Pixar. Le fait que Pixar réalise son premier film avec une princesse est-il, ou non, la conséquence du rachat par Disney de la bande à la Luxo ? Quelques puristes en sont persuadés. Pourtant, il faut voir les choses autrement. Tout d'abord, il ne faut pas oublier que la direction de l'animation chez Disney ET Pixar, c'est John Lasseter, qui est également le co-créateur de Pixar, et qui a été étudiant chez Disney (la célèbre école Cal Arts). Ce faisant, en remaniant l'animation de Disney, Lasseter a rendu plus floue la frontière qui séparait les deux entités, notamment parce que l'animation de Disney s'en est retrouvée revigorée ! En 2012, année durant laquelle est sorti au cinéma Rebelle, un Disney est également sorti dans les salles obscures : Les Mondes de Ralph. Et ma première réaction quand je suis sorti de la salle de cinéma qui diffusait ce chef d'oeuvre de Disney, c'était : "Disney fait du Pixar !" Enfin, il s'agit du seul film de princesses réalisé par Pixar. Bref, le film est un triomphe, qui bat WALL-E, Cars et les deux premiers Toy Story en salles. Ce film, rentabilisé à 300%, gagne l'Oscar du meilleur film d'animation, Oscar qui passe une nouvelle fois sous le nez de Disney. A noter que Rebelle est un tour de force du point de vue technique : en effet, si les personnages de Pixar avaient tous les cheveux lisses, c'est parce qu'animer des cheveux bouclés était un défi herculéen, que Pixar a reçu à gagner avec ce film.
15# 2013 : Monstres Academy, de Dan Scanlon
Troisième film Pixar a bénéficié d'une suite, Monstres et Cie est considéré comme étant le plus mauvais film de Pixar. Taduisez : le moins bon. Déjà parce qu'on aime ces personnages, et qu'ils sont restés fidèles à notre souvenir. Ensuite, parce la réalisation est parfaite, et l'animation frôle l'excellence. Enfin, parce que le film est drôle, fun. Mais le problème c'est que s'agissant d'une préquelle, il n'y a plus aucun effet de surprise. De plus, le concept de Pete Docter perd de son charme sans l'intervention des humains. Enfin, parce qu'un deuxième opus à Monstres et Cie n'était vraiment pas utile... Le film sera néanmoins un grand succès en salles, avec plus de 700 000 000 de dollars gagnés au box-office. Mais il ne sera pas nominé pour l'Oscar du meilleur film d'animation, comme pour Cars 2...
16# 2015 : Vice-versa, de Pete Docter
Après trois films au succès relatif (qu'on pourrait qualifier de semi-réussite), Pixar fait une pause d'un an sur son calendrier, et revient en 2015, avec Vice-versa. Même si le studio connaît un âge d'or depuis la sortie de son premier film, même si chaque film a été un succès énorme, Pixar doit se remontrer au public, et doit frapper fort. D'autant que Disney a gagné en 2014 son premier Oscar pour le meilleur film d'animation (pour l'incroyable Les Nouveaux Héros, un chef d'oeuvre !), et a récidivé début 2015 avec La Reine des Neiges, pulvérisant le box-office mondial, et battant le record des meilleures recettes pour un film d'animation. Pete Docter, le créateur de Monstres et Cie et de Là-haut revient donc avec Vice-versa. Et là, c'est la claque. Pixar vient de sortir son chef d'oeuvre ultime, le meilleur film de sa carrière. Bluffant visuellement, scénaristiquement brillant, avec un humour très fin, à la fois pédagogique et poétique, nous faisant aller des rires aux larmes en un claquement de doigts. Vice-versa est éblouissant, et rappelle à tous pourquoi on aime tant le cinéma. Plus qu'un film, Vice-versa est une expérience. Le concept de Docter est poussé jusque dans ses derniers retranchements, et Pixar est revitalisé par ce coup génie, qui est autant un retour aux sources qu'un film avec 100 ans d'avance sur son temps. La musique de Michael Giacchino est phénomale, surtout le titre We can still stop her, que l'on entend lorsque Riley fait sa fugue. Bref, le film est un triomphe, qui fait l'Ouverture du Festival de Cannes (privilège qui n'avait été accordé jusque là qu'à Là-haut, du même Pete Docter). S'ensuivra une standing ovation de 8 minutes à Cannes. La critique est outrée : comment se fait-il qu'un tel chef d'oeuvre ne soit pas en compétition ? Et on ne peut que lui donner raison. Vice-versa est peut-être bien le plus grand film de 2015. Il sera d'ailleurs couronné d'un Oscar du meiller film d'animation (huitième récompense pour cette catégorie, sans oublier l'Oscar d'honneur pour Toy Story).
17# 2015 : Le Voyage d'Arlo, de Peter Sohn
En 2015, Pixar ne sort pas un film, mais deux. Après le triomphe de Vice-versa, qui frôla les 900 000 000 de dollars au box-office (on est pas loin du milliard...), c'est au tour du Voyage d'Arlo de faire ses preuves. Le film est incroyable, le scénario est vraiment bon, les personnages sont très attachants, le concept même des dinosaures qui survivent est génial, et les paysages sont exceptionnels. Pourtant le film ne sera pas apprécié à sa juste valeur, et ne rapportera que 332 000 000 de dollars au box-office, faisant du Voyage d'Arlo le film le moins rentable de l'Histoire de Pixar. Comment expliquer cet échec ? Déjà le film souffre par sa comparaison avec Vice-versa, qui était beaucoup plus complexe, beaucoup plus adulte, beaucoup plus spectaculaire. Si on ajoute à cela les sorties rapprochées de 007 - Spectre, Hunger Games : La Révolte partie 2 et de l'attente pour Star Wars : Le Réveil de la force, Le Voyage d'Arlo avait peu de chances de se faire une place. Néanmoins, donnez-lui une chance, regardez-le : il en vaut le détour.
18# 2016 : Le Monde de Dory, d'Andrew Stanton
Avec les suites, Pixar a connu le jour et la nuit : soit ça passe (Toy Story 2, Toy Story 3), soit ça casse (Cars 2, Monstres Academy). Si Le Monde de Dory était très attendu par le public et la critique, c'était un véritable défi pour Pixar, surtout après l'échec du Voyage d'Arlo. D'autant que le film doit se faire une place l'année où Disney sort deux films d'animation : le brillantissime Zootopie (dont la qualité égale les meilleurs Pixar) et l'excellent Vaiana, la légende du bout du monde. Le Monde de Dory a néanmoins rassuré : la parenthèse Arlo est passée, et Pixar a encore plein de choses à nous raconter. Ce film est brillant, la réalisation parfaite, et la réflexion sur l'handicap beaucoup plus poussée que dans Le Monde de Nemo. Alors que celui-ci ne nécessitait pas de suite, Pixar a réussi à rendre Le Monde de Dory indispensable. Le public, pleinement satisfait, l'a très bien accueilli, le film dépassant le milliard de dollars, et devenant le deuxième film le plus rentable de l'histoire de Pixar. Les paris sont ouverts : qui de Zootopie ou du Monde de Dory gagnera l'Oscar du meilleur film d'animation ?
19# Et après ?
L'emploi du temps de Pixar est très chargé. Tout d'abord, l'année 2017 aura deux films Pixar à nous faire partager : Cars 3 de John Lasseter (dont la bande-annonce promet du très très lourd) et Coco de Lee Unkrich, un film sur la mort, et qui promet d'être émouvant. En 2018, le public pourra voir la suite très attendue d'un de leurs films Pixar préférés : Les Indestructibles 2, toujours réalisé par Brad Bird. Enfin, en 2019, on attend avec impatience Toy Story 4 de John Lasseter, dont on souhaite qu'il sera un triomphe au moins équivalent à Toy Story 3. John Lasseter l'a annoncé, Toy Story sera en outre la dernière suite pour les films Pixar.
Les islamistes attaquent les sociétés civiles dans tous les pays ; qu'il s'agisse de pays musulmans, de pays laïcs et même de pays appartenant majoritairement à une autre religion.
Profitent de l’occasion pour étendre leur « DAR EL ISLAM » (territoire islamique) contre les mécréants
Ils se croient partout chez eux et veulent imposer agressivement leur dictat aux musulmans modérés et même aux croyants des autres religions. Ils se moquent, ridiculisent et blasphèment contre les croyances des autres, mais se mettent en colère si on critique les leurs. Ils incitent à la haine et lancent des appels au meurtre contre les autres communautés, mais s'offusquent si on leur dit qu'in'iront pas là-bas en tant qu'amis. Parce qu'ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec nos fils. Le ventre de leurs femmes nous donnera la victoire »
Toute personne intelligente comprend que, si les pays d’Europe occidentale ne se réveillent pas rapidement, ils peuvent découvrir dans les prochaines décennies une population musulmane majoritaire dans les pays d’Europe de l’Ouest. Non seulement la croissance naturelle des musulmans est beaucoup plus élevée (certains disent 10 fois plus élevés) que la croissance naturelle de tout autre groupe de la population, mais d’énormes vagues d’immigration des pays musulmans d’Afrique et du Moyen-Orient continuent d’inonder le continent.
Prenons la Grande-Bretagne, par exemple. L’islam est aujourd’hui la deuxième plus grande religion dans le pays, « Muhammad » dans ses différentes variations est l’un des prénoms les plus donnés, et les communautés musulmanes dans ses principales villes ne font que croître. Certaines villes ont même des quartiers musulmans qui sont essentiellement gérés comme des autonomies.
Les musulmans votent en majorité pour les islamistes
Egypte, Tunisie, Maroc, Lybie, Turquie, Koweit, Arabie saoudite... partout les musulmans votent en majorité pour les islamistes. La preuve est faite : les musulmans sont en majorité pour l'intégrisme, non pour la tolérance, ni la paix ni le progrès.La première chose qu'ils font dès qu'ils ont la liberté, c'est de voter pour les islamistes qui sont contre la liberté. Les beaux mensonges des défenseurs des "gentils musulmans incompris, innocentes victimes d'islamophobie..." ne sont plus crédibles.Les musulmans ont démocratiquement montré leur visage : celui de l'islamisme, du fascisme religieux, de l'obscurantisme.Les vrais racistes, les vrais fascistes ne sont donc pas ceux que les menteurs "bien-pensants" veulent faire croire. Ceux qui combattent l'islam politique sont les vrais résistants, les vrais humanistes, les vrais démocrates. Les maghrébins laïcs, les libres-penseurs, les femmes libres, les artistes, les journalistes, les juifs, les chrétiens, les athées, les LGBT, les occidentaux... qui vivent au Maghreb ont raison de s'inquiéter : leur avenir et leur vie sont désormais menacés. Nous devons nous préparer à accueillir en Occident ces futurs réfugiés politiques.Sommes-nous en sécurité en Europe ? Ex-musulmans et non-musulmans, nous sommes menacés car les musulmans islamisants, auxquels l'Europe ouvre ses portes avec hospitalité, sont les mêmes que ceux qui votent pour les fascistes islamistes dans leurs pays d'origine. Très nombreux en Europe, ils veulent déjà imposer la charia aux Européens naïfs et désinformés : mosquées, voiles dans les lieux publics, mariages forcés, viande halal imposée à tous dans les cantines, multiplication des fast-food pizzeria et kebab halal, ramadan dans les écoles, politique anti-israélienne, haine anti-américaine, racisme anti-occidental... Projets d'attentats régulièrement déjoués, délinquants islamistes, affrontements ethniques avec des armes de guerre dans les banlieues islamisées, chasse au juif et racisme anti-français dans les cités, messages de haine sexiste homophobe et incitation au meurtre par les groupes de RAP, synagogues sous protection policière, croix et églises profanées, chrétiens coptes de France menacés par les islamistes, attentats, locaux incendiés, musulmane portant le voile, niqab, burqa ect le tout en France !!!!