Micro-trottoir bombe atomique : où les Français se cachent et qu'emportent-ils avec eux ?

Hitek n'était pas descendu dans la rue depuis plusieurs semaines, c'est donc avec un immense plaisir que nous sommes allés interroger les Parisiens. Le sujet du jour ? Une bombe atomique ! La question est simple : si on apprend aux Parisiens qu'une bombe atomique va exploser sur la ville dans une heure, quelles vont être leurs réactions et surtout quels sont les objets qu'ils décident d'emporter avec eux ? Abri antiatomique, armes, vivres... Pas certain ! Les réponses sont pour le moins surprenantes. A vous de juger.

Alors, surprenant n'est-ce pas. Des tongs, du rouge à lèvres, des sacs à main, la panoplie idéale en cas de survie. Eh les Parisiens, on vous conseille vivement de jouer à Fallout 4 dès sa sortie le 10 novembre prochain pour en apprendre un peu plus sur les meilleurs moyens de rester en vie dans un environnement post-apocalyptique. Parce que soyons réalistes, vous pensez vraiment qu'un sac à main pourrait vous aider dans un lieu comme celui-là ?

Où investir pour se cacher ?

Si la France fait figure de mauvais élève en matière d'abris antiatomiques, elle n'en est pas totalement dépourvue. C'est ainsi qu'on dénombre près de 600 abris antinucléaires militaires et plus de 300 abris privés. A titre de comparaison, la Suisse serait capable d'accueillir près de 9 millions de personnes dans plus de 300 000 bunkers complètement aménagés. Quand on sait que la Suisse compte un peu moins de 8,2 millions d'habitants, ça fait de la place pour les frontaliers aussi. La loi fédérale suisse sur la protection de la population et sur la protection civile affirme que : "Chaque habitant doit disposer d'une place protégée dans un abri situé à proximité de son lieu d'habitation et atteignable dans un délai raisonnable". Les citoyens ont même l'obligation d'entretenir les abris. Pour notre prochain micro-trottoir post-apocalyptique, on file en Suisse.