Ce territoire disparu il y a 20 000 ans enfin découvert
Notre planète, la Terre, porte bien mal son nom, tant elle est essentiellement recouverte d'eau. Mers, océans, ou encore lacs recouvrent ainsi plus de 70 % de sa surface. Enfin, c'est le cas depuis des dizaines de milliers d'années, mais il n'en n'a pas toujours été ainsi. Une nouvelle étude scientifique vient d'ailleurs de révéler l'existence d'un territoire autrefois habité, mais désormais submergé, au nord-ouest de l'Australie.
des découvertes scientifiques majeures
Les avancées scientifiques ne cessent jamais, mais toutes ne sont pas aussi impressionnantes les unes que les autres. Car si elles sont parfois minimes, elles peuvent également drastiquement modifier notre perception du monde. Ce fut le cas il y a quelques mois, quand des chercheurs ont avancé l'hypothèse très probable d'une sixième (quasi) extinction de masse dont nous n'avions jusque-là jamais sérieusement supposé l'existence. En effet, des scientifiques de l'École de médecine du Mont Sinaï à New York avaient conclu, grâce à une étude de génomes humains, que près de 99 % de la population mondiale aurait disparu il y a 117 000 ans.
Aujourd'hui, c'est la disparition de tout un territoire longtemps habité qui est évoqué par une équipe de chercheurs, qui a tiré des conclusions très intéressantes de l'étude de cartes océaniques, sur lesquelles ont été projetées des modélisations scientifiques des niveaux que la mer a atteint par le passé. Comme le rapporte le magazine Quaternary Science Review (via Science Alert), cela a permis de découvrir qu'un vaste territoire situé au nord-ouest de l'Australie et dont on ignorait l'existence a été recouvert par les eaux il y a près de 20 000 ans !
un territoire submergé par les eaux à la fin de l'ère glaciaire
Lorsque les Hommes ont commencé à s'installer en Australie il y a environ 65 000 ans, les régions de Kimberley et d'Arnhem, au nord-ouest du pays, étaient reliées par des terres, confirme une nouvelle étude scientifique. En fait jusqu'à 500 000 personnes d'une même culture, probablement venues d'Indonésie, auraient pu peupler ce territoire de 390 000 carrés (1,5X la taille de la Nouvelle-Zélande) pendant plusieurs dizaines de milliers d'années, jusqu'à ce que celui-ci se retrouve englouti par les eaux il y a 18 000 ans.
La dernière ère glaciaire que la Terre a connu touchait alors à sa fin, 6 000 ans plus tard (tout est relatif). La montée violente des températures a fait fondre des glaciers entiers et provoqué la montée du niveau des eaux partout autour du globe. Mais si de nombreuses preuves que des zones aujourd'hui englouties étaient autrefois habitées ont été trouvées par des scientifiques et archéologiques, on ignorait que le nord-ouest de l'Australie avait pu être habité. Ces dernières années, des traces d'un passage humain ont bien été détectées, comme la présence d'outils en pierre.
Déjà à l'époque, c'est la montée des eaux qui auraient poussé les populations à migrer vers l'Australie, en s'approchant petit à petit grâce aux nombreux archipels présents dans la région. Si de futures recherches devraient permettre d'en apprendre plus, il s'agit déjà là d'un grand pas avant pour la communauté scientifique, qui estimait il y a quelques années encore que la région nord-ouest de l'Australie était peu fertile et apte à accueillir les premières civilisations. Heureusement, la science se remet toujours en question !
La différence entre els 2 est que le premier est naturel et réversible, le second ne sera pas réversible si nous continuons a faire n'importe quoi!
Quand au fait que se soit définitivement provoqué par l'être humainça reste à prouver ( même si la destruction massive ddu phytoplancton par la pollution et donc l'impossibilité de la sédimentation du CO2).Irréversibilite qui reste encore plus à prouver quand il s'agit de quelque chose de cyclique et changeant.
MDRRRRRR j'y crois pas !
Bois du javel tu guérira des maladies :D
C’est comme nous par rapport aux microbes .