Macintosh : le Mac fête ses 35 ans cette année, joyeux anniversaire !
"Il y a 35 ans, le Mac a vu le jour et cela a changé notre façon de voir les ordinateurs avant de changer le monde", c’est ce que Tim Cook, PDG d’Apple, a tweeté sur son compte.
Joyeux anniversaire !
C’est en 1984 que Steve Jobs et John Sculley, président d’Apple, ont présenté le premier Mac. Il affichait un écran de 9 pouces et était équipé d’un clavier et d’une souris. A l’époque, l’entreprise avait lancé une grande campagne publicitaire avec comme slogan :
If You Can Point, You Can Use a Macintosh, too.
(Si tu peux pointer, tu peux aussi utiliser un Macintosh)
Voici une sélection de photos d'archives de l'époque pour replonger 35 ans en arrière :
Sans compter, pour les bricolos, qu'ils ont été les premiers à faire vendre des tournevis torx dans le grand public.
Je n'ai jamais eu l'occasion de jouer avec le tout premier, mais il paraît que ça ramait un max… Faut dire, écrire un OS en Pascal, fallait oser…
A partir du moment ou tu achètes la machine qui correspond à tes besoins, non, tu n'es pas un pigeon. Quand au premier Mac, puisque c'est le sujet de l'article, ce fut une révolution dans le monde de la presse notamment.
Les Macs du début avaient facile 2 ou 3 ans d'avance sur les beurks (quand il fallait ruser à mort pour dépasser 640 ko sous M$ DOS / windows, tu pouvait monter à 8 Mo sur Mac, puis 2Go ; pareil pour les disques dur.
Par contre, les années Sculley ont été un vrai désastre, avec des machines mal foutues est des OS pourris. Puis ça s'est arrangé avec les premier iMac, avec de grosses ouvertures sur le libre (surtout qu'à l'époque, les beurks haut de gamme avaient une légère tendance à l'emballement thermique…),
Et maintenant, Apple recommence à jouer au con, en fermant tout ce qu'ils peuvent fermer.
Quant aux tarifs, non, ça n'est pas *devenu* n'importe quoi. Ça a toujours été affreusement cher. Aussi cher que du haut de gamme beurk. Seulement, le Mac duquel je t'écris ça date de 2004… Ça relativise, pas vrai ? Et je n'ai pas d'anti-virus, moi…