Deadpool 2 : un démarrage réussi, mais inférieur au premier volet
Deadpool 2 vient de sortir aux Etats-Unis et pour son premier week-end d’exploitation, le long-métrage de David Leitch est un succès, mais qui fait tout de même un score inférieur au premier volet sorti en 2016.
Une suite qui déçoit
Deadpool 2 vient de récolter 125 millions de dollars, le plaçant sans grande surprise à la première place du box-office américain (détrônant Avengers : Infinity War qui a rapporté un peu plus de 28 millions de dollars pour sa troisième semaine). On s’attendait à un triomphe pour la 20th Century Fox qui a mis les bouchées doubles dans la promotion de son film. On repense notamment à la petite chorée du super-héros sur le clip de Céline Dion ou son petit accrochage avec David Beckham. Néanmoins, cette suite ne dépasse pas les attentes du studio, qui estimait un démarrage aux alentours de 150 millions de dollars, et fait moins bien que son prédécesseur et ses 132 millions de dollars. Wade Wilson a du pain sur la planche s’il espère dépasser les 783 millions du premier volet.
Ryan Reynolds n’a pas à rougir pour autant, car son film est un succès tout à fait rentable pour le studio, en récoltant plus de 176 millions de dollars à l’international, soit 301 millions de dollars pour son premier week-end mondial. De plus, il s’agit du second plus gros démarrage pour un film classé R derrière le Deadpool de Tim Miller, et aussi deuxième parmi les films de la franchise X-Men, devant L’Affrontement final (102,7 millions) et Days of Future Past (90,8 millions). Il ne faut pas oublier que Deadpool 2 n’est pas encore sorti au Japon, au Vietnam, à Hong-Kong et au Mexique, mais la concurrence va être rude face à Disney qui sort Solo : A Star Wars Story cette semaine.
Cependant, j'ai beaucoup aimé Cable et Domino(dont je suis amoureux je crois), ils rehaussent un peu ce que Deadpool à du mal à faire, donner de l'intérêt à son film.
Euuuhhh...quand même, y en a un paquet (cf. le coup des barils ou la scène Deadpool / "Le Monstre" par exemple)
ça expliquerait aussi le "peu" de différences entre les chiffres.