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Child's Play : la poupée du mal

Child's Play : la poupée du mal

Notre note : 7 La note des utilisateurs : 6

Critique Child's Play : la poupée du mal, Chucky s'offre un reboot angoissant. Casting, synopsis, date de sortie, avis

De Mayday - 19 juin 2019 à 9:16 dans Films

En ce mercredi 19 juin, Chucky est enfin prêt à se défouler dans nos salles. Pour ma part, j'ai eu l'occasion de le découvrir lundi dernier et il me hâtait de vous en parler ! Pas de suite, pas de plot twist pour ramener Charles Lee Ray à la vie, ici c'est bel et bien un reboot de la saga débutée en 1988 que nous propose la Paramount. Un "nouveau…

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Points positifs et négatifs Child's Play : la poupée du mal

  • La photographie

  • L'humour

  • L'utilisation des nouvelles technologies

  • Mark Hammil

  • Erreurs techniques

  • Incohérences scénaristiques

  • Ambiance sonore

6,6

/10

  • Jeu des acteurs : 7/10
  • Bande son : 6/10
  • Photographie : 7/10
  • Scénario : 6/10
  • Réalisation : 7/10
Photos et Vidéos (6)
Présentation Child's Play : la poupée du mal

Chucky fait son grand retour dans un reboot du film de 1988, dirigé cette fois par Lars Klevberg. Dans cette version plus contemporaine, dites adieu aux tueurs en série dans les corps de jouets, ici c'est la technologie qui dirige la main meurtrière de Chucky. Son objectif, tout faire pour qu'Andy Barclay (interprété par Gabriel Bateman), son jeune et solitaire propriétaire soit heureux. Et quand on dit que Chucky ferait tout pour Andy, c'est absolument tout. La Paramount nous offre ici une nouvelle version de la célèbre poupée avec quelques changements au programme.

Bande annonce V.O. : 

Bande annonce V.F. : 

La solitude à l'origine de tout

Dans cette version 2019, Audrey Plaza et Gabriel Bateman jouent les rôles de Karen et Andy Barclay, une mère et son fils aux fins de mois difficiles. Voyant la difficulté qu'a son fils pour se faire des amis, Karen décide de récupérer une poupée Buddi, produite par la société Kaslan, véritable star des magasins. Bien que défectueuse, l'auto-proclamée Chucky remplit son rôle en accompagnant le jeune Andy. Grâce à elle, il rencontre plus tard Falyn et Pugg, ses deux premiers amis, joués respectivement par Beatrice Kitsos et Ty Consiglio. …

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Chucky fait son grand retour dans un reboot du film de 1988, dirigé cette fois par Lars Klevberg. Dans cette version plus contemporaine, dites adieu aux tueurs en série dans les corps de jouets, ici c'est la technologie qui dirige la main meurtrière de Chucky. Son objectif, tout faire pour qu'Andy Barclay (interprété par Gabriel Bateman), son jeune et solitaire propriétaire soit heureux. Et quand on dit que Chucky ferait tout pour Andy, c'est absolument tout. La Paramount nous offre ici une nouvelle version de la célèbre poupée avec quelques changements au programme.

Bande annonce V.O. : 

Bande annonce V.F. : 

La solitude à l'origine de tout

Dans cette version 2019, Audrey Plaza et Gabriel Bateman jouent les rôles de Karen et Andy Barclay, une mère et son fils aux fins de mois difficiles. Voyant la difficulté qu'a son fils pour se faire des amis, Karen décide de récupérer une poupée Buddi, produite par la société Kaslan, véritable star des magasins. Bien que défectueuse, l'auto-proclamée Chucky remplit son rôle en accompagnant le jeune Andy. Grâce à elle, il rencontre plus tard Falyn et Pugg, ses deux premiers amis, joués respectivement par Beatrice Kitsos et Ty Consiglio. Avec elle, ils sèmeront la terreur, notamment à Shane, le beau père d'Andy, interprété par David Lewis.

La technologie comme arme

Produite par Keslan, la poupée Buddi peut se connecter à tous les appareils conçus par la marque. Cette capacité sera l'un des ressorts utilisé par Chucky pour commettre ses crimes.

Qui dit reboot dit parfois nouvelle voix, et c'est Mark Hammil qui prête la sienne à la fameuse poupée. Après Star Wars et le Joker, l'acteur ajoute un nouveau rôle à sa large palette. 

Seul espoir pour mettre fin aux agissements de la poupée, les bonne vieilles méthodes et notamment une longue investigation qui sera menée par l'acteur Brian Tyree Henry dans le rôle de l'Inspecteur Mike Norris, toujours prêt à protéger Doreen, sa mère, interprétée par Carlease Burke.

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Caractéristiques

Titre original : Child

Réalisation : Lars Klevberg

Genre : Horreur

Sortie en salles : 19 juin 2019

Pays d'origine : États-Unis

Voir les infos et le casting complet
De Mayday - 19 juin 2019 à 9:16 dans Films

En ce mercredi 19 juin, Chucky est enfin prêt à se défouler dans nos salles. Pour ma part, j'ai eu l'occasion de le découvrir lundi dernier et il me hâtait de vous en parler ! Pas de suite, pas de plot twist pour ramener Charles Lee Ray à la vie, ici c'est bel et bien un reboot de la saga débutée en 1988 que nous propose la Paramount. Un "nouveau design" pour Chucky, une nouvelle voix (oui adieu Brad Dourif, mais on va en parler), et de nouvelles idées... Tout ce qu'il faut savoir sur Child's Play si vous hésitez à aller le voir, et le tout, sans spoil, ou en tous cas rien qui ne saurait vous gâcher le plaisir du film. Mais avant de commencer, remettons nous dans l'ambiance avec la bande annonce du film.

Un bref résumé de l'histoire

Les esprits de tueurs en série dans des corps de poupées c'est terminé, Chucky se réinvente avec un nouveau concept, plus actuel : la technologie. Volontairement saboté dès les premières minutes du film, la poupée Buddi de l'entreprise Kaslan sort de l'usine avec tous ses paramètres de sécurité compromis. Buddi peut se connecter en réseaux avec tous les appareils Kaslan et n'a qu'un seul et unique but, rendre Andy Barclay, son jeune propriétaire un peu solitaire, le plus heureux possible... quel qu'en soit le prix.

Une comédie sacrément HORRIFIQUE plus qu'un film d'horreur

Ne partez pas, du sang il y en aura, et pas qu'un peu. La différence peut-être avec les précédents films Chucky, et notamment les premiers, c'est cette manière qu'à la version 2.0 de jouer sur l'angoisse pure et non sur l'horreur. Le film alterne donc entre des moments de rire et d'autres plus oppressants. Le réalisateur Lars Klevberg réussit à désamorcer les montées horrifiques par quelques blagues (parfois trop), qui ont pour effet de détendre avant le coup de grâce, qui n'en est que plus violent.

Chucky n'est pas un personnage méchant, c'est une gentille poupée qui veut absolument que son propriétaire soit heureux, ce qui la rend d'autant plus inquiétante. C'est là qu'intervient l'un des changements majeurs du film : Mark Hammil remplace Brad Dourif dans le rôle de Chucky. Dans le reste du casting, les acteurs servent bien le film (malgré quelques petits flottements par moment. Mention spéciale au jeune Gabriel Bateman (Andy Barclay) qui tient son rôle de bout en bout.

Duel au sommet pour le meilleur Chucky

On va être clair, il n'y a aucun gagnant dans cette bataille. Là où Brad Dourif, l'interprète du Chucky originel, donnait une voix plus "vivante" et terrifiante à la poupée, Mark Hammil nous propose une version plus douce, saccadée et au final qui nous met mal à l'aise. Dans cette version, Chucky est un objet, certes doué d'une grande intelligence, mais un objet quoi qu'on en dise. Et c'est cette sensation que l'on retrouve dans la prestation de Mark Hammil qui disparaît totalement au profit de son personnage. Si vous pensiez avoir le droit à la voix du Joker dans le corps de Chucky vous risquez d'être déçu.

Brad Dourif reste la voix emblématique du personnage, mais qui dit renouveau dit nouvelle voix, et aucun doute que Mark Hammil saura se faire accepter très vite par les fans, tant sa prestation vous marque.

Une belle réalisation

Le film est beau, pas transcendant, mais beau. Le plus flagrant pour moi reste tout de même le travail sur la lumière qui sert plus que jamais l'ambiance et l'histoire que tente de nous raconter le film. Les lueurs bleues et rouges (oui en revanche on est resté sur du grand classique) se mêlent pour signifier où se trouvent le mal et le bien. Mais attention, le film ne se veut pas manichéen pour autant, et beaucoup de choses passent par ce travail de la lumière et des couleurs

La première partie du film nous présente un Chucky que l'on fini par apprécier. Il est inquiétant, grossier, mais toujours avec cette voix d'enfant qui le rend finalement drôle et attachant. On s'identifie à cet enfant solitaire qui voit en Chucky son seul ami. Le film flirt avec cette ligne séparant l'impression de malaise de la comédie avant de sombrer totalement dans l'horreur.

Toujours dans la réalisation, on appréciera (ou pas) l'aspect prévisible du film. Chucky est doué d'une intelligence lui permettant de reproduire des mouvements qu'il a pu voir autour de lui, mouvements dont il s'inspire le moment venu. Le film vous annonce donc rapidement la manière dont certains personnages vont mourir, mais attention il y a des pièges.

Côté musique, le film est calme, presque plat, l'ambiance sonore manque pour faire monter encore un peu plus la pression et on se retrouve avec les habituels sons des films d'horreur. Niveau déception, et c'est parce que j'aime être pénible, on notera quelques incohérence scénaristiques (notamment liées à la taille de Chucky), ainsi que quelques faux raccords grossiers.

Conclusion et avis

Pour recontextualiser, je ne suis pas le plus grand fan des films d'horreurs mais j'ai tout de même passé un agréable moment. J'ai ri, fais 15 arrêts cardiaques et au final je considère quand même Child's Play comme un film d'horreur ayant la volonté de divertir plus que de faire peur. Mark Hammil arrive à donner un réel cachet au personnage malgré le peu de réplique qui lui sont allouées. Le visuel est beau, la construction scénaristique tient la route malgré quelques incohérences, et explore un sujet contemporain de manière efficace (vous ne regarderez plus votre électroménager de la même manière après cela).

Malgré quelques petites erreurs techniques, le film est à l'image de son personnage, tout est permis pour faire en sorte que vous passiez un bon moment pendant l'heure et demie que dure la séance, et en ce qui me concerne, c'est mission réussie. De plus, pour les fans de la saga, de petites références aux premiers volets se sont glissées dans le film, un clin d'oeil appréciable et une raison de plus de découvrir ce Chucky 2.0.

Points positifs et négatifs Child's Play : la poupée du mal

  • La photographie

  • L'humour

  • L'utilisation des nouvelles technologies

  • Mark Hammil

  • Erreurs techniques

  • Incohérences scénaristiques

  • Ambiance sonore

6,6

/10

  • Jeu des acteurs : 7/10
  • Bande son : 6/10
  • Photographie : 7/10
  • Scénario : 6/10
  • Réalisation : 7/10
avis des internautes (1)
  • 9 à 10

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  • 7 à 8

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  • 5 à 6

    100,00% - 1 avis

  • 3 à 4

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  • 0 à 2

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pic

Dernier avis positif

Par sang, il y a 4 ans

Un remake complètement inutile. Le film n'est un navet mais chucky n'avait pas besoin d'un remake. Le film a un scénario pas mal mais… » lire la suite

Sa note :

6
VS
pic

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Commentaires (4)

Par Feli, il y a 5 ans :

Encore un reboot de plus...c'est lassant.

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Par Anti Marvel DC, il y a 5 ans :

c'est pas chucky, c'est un clone qui à prît sa place, hors de question de le considéré comme un film chucky

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Par Anti Marvel DC, il y a 5 ans :

remake pourri et honteux, ce remake est dégeulasse, aussi dégeulasse que le remake de Carrie ou de Halloween de rob zombie.

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Par Anti Marvel DC, il y a 5 ans :

lars klevberg, si je te vois, je te fous 75 coups de poings dans la gueule, sale con

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