Après Game of Thrones, Emilia Clarke veut se la jouer Deadpool dans ce projet

26 août 2023 à 11h40 dans Mangas/Comics

Si vous avez suivi Game of Thrones ou dernière Secret Invasion, vous connaissez forcément Emilia Clarke qui incarne Daenerys dans la première série et G'iah dans la série Marvel sur Disney+. Mais saviez-vous que la jeune femme de 36 ans n'a pas été qu'actrice au cours de sa vie ? Figurez-vous qu'elle a déjà travaillé dans un domaine pour le moins étonnant que nous vous proposons de découvrir aujourd'hui.

Emilia Clarke publie un comics féministe à la sauce Deadpool

Game of Thrones, Secret Invasion, ... et un projet surprenant

Originaire du Royaume-Uni, Emilia Clarke a débuté sa carrière d'actrice timidement au théâtre et à la télévision avant qu'elle ne se fasse connaître du grand public grâce à son rôle de Daenerys dans la série Game of Thrones en 2011. Face au succès de l'adaptation de l’œuvre de George R.R. Martin, elle acquiert le statut de star et de sex-symbol en étant élue en 2015 "femme la plus sexy".

Emilia Clarke élue femme la plus sexy en 2015

Elle enchaîne des participations au cinéma dans des productions qui ne sont pas de francs succès comme par exemple Terminator Genisys en 2015 et Solo : A Star Wars Story sorti en 2018. Dernièrement, les fans de Marvel ont pu la retrouver sur Disney+ dans la nouvelle série du MCU, Secret Invasion, dans laquelle elle incarne G'iah, la fille de Talos. L'occasion pour l'actrice de 36 ans de faire une première incursion dans l'univers des comics.

Emilia Clarke dans Secret Invasion

Un comics féministe à la sauce Deadpool

En réalité, ce n'est pas vraiment la première fois qu'Emilia Clarke s'immisce dans le domaine du comics. Effectivement, il y a quelques années, en parallèle de sa carrière d'actrice, elle s'est chargée de l'écriture d'un comics intitulé Mother of Madness en collaborant avec Marguerite Bennett et l'artiste française Leila Leiz. 

Couverture de Mother of Madness

Dans cette mini-série composée de 3 tomes et sortie aux Etats-Unis en 2021, le personnage principal est une super-héroïne dans le style Deadpool avec un humour proche du personnage incarné par Ryan Reynolds au cinéma, mêlant féminisme et clichés véhiculés dans les médias et la vie quotidienne. Le personnage de M.O.M, Maya, n'est pas sans rappeler l'actrice avec notamment cette référence à son rôle dans Game of Thrones. Certains lecteurs estiment que ce comics serait un biopic fantasmé d'Emilia Clarke.

Extrait de M.O.M.

Pour l'actrice, ce comics est en quelque sorte une revanche. En effet, elle a expliqué qu'elle s'est sentie exclue du monde des comics quand elle était enfant. Elle n'avait pas le droit de se rendre dans les magasins de BD accompagnée de son frère. Elle a également remarqué le manque de féminité aussi bien à l'intérieur des boutiques que sur les couvertures. La raison pour laquelle l'éditeur français du comics précise qu'Emilia Clarke "signe un récit profondément féministe qui détourne les clichés sexistes en transformant des caractéristiques souvent perçues comme négatives par la société patriarcale en super-pouvoirs".

Effectivement, Maya est une ingénieure chimiste et maman célibataire qui devient super-héroïne la nuit avec des pouvoirs qui se manifestent en fonction de ses émotions et de son cycle menstruel.

Extrait de M.O.M. 2

Pour découvrir Mother of Madness, le comics co-signé par Emilia Clarke, la mini-série est disponible en France aux éditions Panini Comics depuis le 23 août dernier.

Après une formation audiovisuelle, j’intègre l’excellente équipe de Hitek en 2015 en tant que rédacteur pour traiter de l’actualité ciné et séries TV. J’aime aussi m’occuper des news insolites.

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Commentaires (3)
Ce sera toujours mieux que Secret Invasion ^^'
photo de profil de Nuf Nuf Par Nuf Nuf, il y a 1 an Répondre
Z'en ont pas marre les étasuniens d'adapter leurs bandes dessinées de toutes manières c'est trop violent pour les enfants et aucun adulte ne regarde Mickey c'est donc pour les adulescents dégénérés le genre à voter Trump ou à écouter du rap franchement j'espère que les réalisateurs se rendent compte que si peu de talent qu'ils aient c'est encore le gâcher que de l'employer à tourner pareils navets.
photo de profil de Blaise Monluc Par Blaise Monluc, il y a 1 an Répondre
Oui mais au moins, les étasuniens connaissent la ponctuation.
photo de profil de Papy Mougeot Par Papy Mougeot, il y a 1 an (en réponse à Blaise Monluc) Répondre
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