Espace : Thomas Pesquet ne retournera plus dans l'ISS, voici pourquoi
Du haut de ses 43 ans, Thomas Pesquet est ce que l’on peut sans doute qualifier un spationaute accompli. À l’heure de l’écriture de ces lignes, il est en apesanteur, à bord de la Station Spatiale Internationale (ISS). Son retour est prévu pour la semaine prochaine, mais la date n’a pas encore été confirmée. Après ce retour, Thomas Pesquet ne reviendra plus à l’ISS, mais son aventure d’astronaute ne s’arrêtera pas pour autant là.
Une journée au poste de commandement de l’ISS pour l’astronaute français
Le jour du retour de Thomas, avec trois autres astronautes, est prévu entre le 4 ou le 5 novembre prochain. Le motif de cette incertitude est le report du vol de leurs remplaçants du 31 octobre au 3 novembre, dans le cadre de la mission Crew-3 de SpaceX. Pour rappel, Thomas et les trois autres astronautes qui s’apprêtent à regagner la terre ferme ont rejoint le complexe orbital en avril 2021. Au total, ils ont donc passé six mois dans l’espace.
Aguerri et expérimenté, l’astronaute français s’est vu attribuer plusieurs missions de sortie dans l’espace au cours de ce second et dernier séjour à bord de l’ISS. Il devait notamment installer de nouveaux panneaux solaires. Le 4 octobre, il a pris le commandement de la station. Il devient ainsi le premier astronaute français à occuper ce poste. Néanmoins, puisqu’il a déjà séjourné à l’ISS en 2009, Thomas Pasquet n’y retournera plus. En effet, l'Agence Spatiale Européenne ne permet que deux vols vers l'ISS à ses astronautes.
Une rencontre en forcing entre Thomas Pesquet et Matthias Maurer ?
Si la NASA a été obligée de reporter le lancement de Crew-3, ce n’est pas uniquement pour des raisons techniques. En effet, parmi les quatre passagers de ce prochain vol figure l'astronaute européen Matthias Maurer. Le fait est que l’Allemagne et la France ont, d’une certaine manière, mis la pression pour que les deux astronautes de l’ESA (Agence spatiale européenne) se rencontrent en orbite. Il y a lieu de noter que ces retrouvailles organisées n’ont aucune finalité technique ni scientifique. À vrai dire, elle ne ressemble pas moins à un pur coup de communication.
Thomas Pesquet : en marche vers la Lune ?
Rappelons que trois places à bord du Gataway sont réservées à des astronautes expérimentés de l’ESA. Répondant parfaitement aux critères, Thomas Pesquet figurera fort probablement parmi ces prochains visiteurs de la Lune. Soulignons d’ailleurs que « Gataway » est le nom que la NASA a donné à la future station spatiale lunaire dont le lancement est prévu pour 2024.
Aussi bien des Agences spatiales que des entreprises participent à la réalisation de cet ambitieux projet. Le but ultime de ce gros partenariat international est d’envoyer des humains dans l’espace, beaucoup plus loin qu’auparavant, dans le cadre d’une exploration scientifique. À titre de précision, le complexe orbital stationnera à proximité de la lune. Il n’y aura donc pas d’alunissage.
Suivant le calendrier de la NASA, la station spatiale lunaire Gateway devrait être opérationnelle dès 2026. Dès lors, elle devrait permettre la réalisation d'expériences scientifiques et de démonstrations technologiques.
2030 voire jamais, sauf si on utilise SpaceX Starship.
Avec son énorme administration, la NASA est incapable de gérer un projet de cette nature.
Il y a plus important en ce moment dans notre pays
heureusement que l'humanité n'a pas suivi ce genre de réflexion, nous n'aurions rien.
ca n'est pas parce que les chose vous dépassent et que vous êtes en moteur en rien que les autre doivent suivre votre exemple et devenir des poulpes...
N'hésitez pas a ne pas donner votre avis et a continuer de n'exister que pour vous. Le reste du monde ne s'appercevra pas de votre retraite...
D’abord le retour n’est pas le 4 mais au plus tôt le 7
Ensuite d’où vous sortez que l’ESA ne permet pas à ses astronautes de faire plus de 2 missions vers l’ISS ??? Que des conneries.
Faites du vrai journalisme et renseignez-vous correctement au lieu d’abreuver les gens de bêtises
Vous êtes fâchés avec les e ?