Ils refusent de payer leurs impôts car ils sont privés d'Internet haut débit
Aujourd'hui, nous sommes extrêmement nombreux à utiliser internet tous les jours, voir à en faire carrément son propre métier. Mais quand les férus d'informatiques hurlent lorsqu'ils n'ont pas une connexion de 200 Mb par seconde, certains français ne disposent même pas de l'ADSL. C'est le cas des habitants du village de Bussy qui ont décidé de ne plus payer leurs impôts tant que cela ne changerait pas.
Bussy est un petit village situé sur la commune de Sainte-Anne-Saint-Priest, en Haute Vienne. Calme et reposant, le hameau de seulement 50 habitants est cependant assez isolé en termes de télécommunications. En effet, depuis 2008, le village réclame aussi fort que possible d'être raccordé pour avoir l'ADSL, rien que ça. Malheureusement pour eux, ils ne sont bien évidemment pas entendu puisque la rentabilité d'équiper si peu de personnes est très faible pour les opérateurs.
Alors comment faire pour remédier à ce problème ? Et bien, les habitants de Bussy ont décidé de ne plus payer leurs impôts afin que les choses bougent (hey, mais moi aussi je veux bien être un peu privé d'Internet pour ça). A savoir maintenant si cela changera quelque chose pour eux mais au moins, cette démarche a eu le mérite d'attirer l'attention des médias et notamment de France Television. En effet, France 3 a consacré un reportage à cette actualité dans son édition du Limousin. A découvrir ci-dessous.
Et vous comment réagiriez-vous si vous étiez privé d'Internet ?
Ils ne payent ? Majorations puis saisies sur salaires et pensions. Bien joué.
http://01net.com/editorial/569619/…
"Quand on sait que la Chine est le plus gros fabricant-fournisseur d'informatique au monde et aussi le plus liberticide en matière d'Internet, que veut dire cet accord?" cf : http://blogs.mediapart.fr/blog/…
Je suis d'accord avec cet auteur du blog de média part. Comment veux tu que tout cela paraisse crédible ? Et je ne crois pas me tromper, sachant que nous vivons dans une société libérale, que le maître mot de notre économie est "confiance", or, comment peut-on adhéré en quelque chose dans lequel nous n'avons pas confiance, et de ce fait, l'appliqué rigoureusement.
En clair, le recul est a prendre face a ces lois qui nous amène a voir une avancé sur le plan de la reconnaissance, mais qui, au final, n'est que purement symbolique.