Ces secrets personnels cachés dans les films les plus célèbres !
Aujourd'hui, nous vous proposons de revenir sur des films qui ont marqué le public. Vous allez voir à travers cet article et en les analysant un peu plus en profondeur, que les réalisateurs n'hésitent pas à y cacher des références à leur vie privée.
Star Wars : Le Réveil de la Force
On a souvent dit que ce nouvel épisode réalisé par J.J. Abrams sous l'égide de Disney était un simple remake de la première trilogie Star Wars, mais c'est bien plus que ça. En fait, à travers ce film, Abrams raconte sa propre histoire. Le réalisateur a toujours eu peur de ne pas être à la hauteur pour reprendre la franchise créée par George Lucas. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il a d'abord refusé de toucher à cet héritage qui a bercé sa jeunesse. Et c'est Kathleen Kennedy, la directrice de Lucasfilm qui va le convaincre.
Un peu comme lorsque Rey voit débarquer BB-8 qui lui demande avec insistance son aide. Elle décide d'abord de le rejeter puis finit par l'accepter et l'accompagner. Il s'agit d'une métaphore : J.J. Abrams est Rey. La jeune femme n'accepte pas ses pouvoirs, mais elle finit par se laisser convaincre par Maz Kanata.
Il s'adresse aux fans : il va se servir des ruines des anciens épisodes pour bâtir l'avenir dans le but de faire oublier la prélogie.
De son côté, George Lucas est Luke Skywalker. On l'a oublié, ils se retrouvent exilés : l'un sur une étrange planète, l'autre reste en dehors du projet dans son ranch. La prélogie de Lucas a divisé les fans. De l'autre, Luke a fondé le Nouvel Ordre, mais a échoué. Ici, le Premier Ordre est une métaphore de la prélogie.
Finn, le partenaire de Rey dans le film, un Stormtrooper qui renonce au Premier Ordre n'est autre que le partenaire d'Abrams à la ville. Il s'agit de Lawrence Kasdan qui a participé à l'écriture de l'Empire Contre-Attaque et du Retour du Jedi avec Lucas. Le co-auteur n'a d'ailleurs pas pris part à l'écriture des prequels jugeant que Lucas devait prendre la responsabilité de faire exactement ce qu'il voulait faire.
Les Animaux Fantastiques
Dans ce film issu du livre écrit par J.K. Rowling, l'auteure britannique y cache ses secrets personnels. A travers son personnage principal, Norbert Dragonneau elle raconte sa vie. Comme lui, qui débarque à New York, Rowling raconte son expérience frustrante qu'elle a vécu lorsqu'elle est allée pour la première fois aux Etats-Unis.
En effet, Norbert Dragonneau arrive à New York avec une valise pleine de créatures magiques. C'est une image pour symboliser le livre Harry Potter qu'elle avait avec elle pour conquérir l'Amérique.
Le voyage de Norbert en Amérique est une façon de symboliser le voyage de Rowling aux USA pour la première fois. Elle va y vendre ses droits à un éditeur américain et cela se reflète dans le film avec la première chose que fait le personnage : aller à la banque.
Tout comme dans le film et le livre, aux Etats-Unis on ne parle pas de "Moldus" mais de "No-Majs". C'est un clin d'oeil sur le fait que l'auteure a été obligée de traduire son premier livre en anglais américain. Par exemple, si en France le titre du premier tome d'Harry Potter est Harry Potter à l'école des sorciers, la version originale, en anglais, est Harry Potter et la pierre philosophale. L'éditeur américain opta quant à lui à Harry Potter et la pierre du sorcier, histoire de ne pas rebuter les enfants face au terme "philosophale".
Ici encore, dans le film, il existe une secte chez les Moldus (ou les No-Majs), les Fidèles de Salem qui traque les sorciers pour tous les exterminer. Cela n'est pas sans rappeler ce qu'à pu vivre J.K. Rowling quand certaines personnes affirmaient que Harry Potter était une menace pour les enfants ou allaient jusqu'à brûler les livres en prétendant qu'il s'agissait de l'oeuvre du diable.
Wayne's World
Wayne's World n'est pas simplement un film culte des années 90. En plus d'avoir prédit l'avènement d'un nouveau genre de divertissement propulsé par des vidéos amateurs diffusées sur Youtube, ce sketch du Saturday Night Live adapté sur grand écran est bourré de références au Canada, pays d'origine de Mike Myers.
A commencer par le Stan Mikita's Donut, baptisé en l'honneur du joueur de hockey sur glace des Black Hawks de Chicago, où les deux personnages vont. A l'époque cet établissement était totalement fictif. Aujourd'hui, le café du film a ouvert ses portes à Los Angeles. Mais quand le film est sorti, c'était un clin d'oeil à la chaîne de Tim Horton présente un peu partout au Canada.
Il existe aussi une autre référence, celle du club The Gasworks. Là encore, c'est un véritable club de hard rock des années 80 situé à Toronto.
Mais l'histoire de Wayne's World est semblable à la vraie vie de Myers. Dans le film, Wayne et Garth font une émission de télévision dans le sous-sol de la maison de leurs parents. Dans la réalité, Myers avait débuté avec son personnage de Wayne sur une chaîne de télévision locale canadienne, sur CBC, dans l'émission It's Rock’n’Roll. Il intégrera ensuite le show américain. D'ailleurs, on peut apercevoir dans la chambre de Wayne, des photos des deux acolytes qui proviennent du SNL diffusé en 1988.
Et Mike Myers ne s'arrête pas là ! Dans le film, le producteur d'une chaîne de télé locale tombe sur leur émission et les engage pour servir les intérêts marketing d'un propriétaire de bornes d'arcades. C'est clairement ce qui s'est passé dans sa vie quand il a été obligé de vendre tous ses personnages au Saturday Night Live.
L'étrange Noël de Mr Jack
L'étrange Noël de Mr Jack est un classique ! Mais il faut savoir que contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, ce n'est pas Tim Burton qui a réalisé le film mais son ami Henri Selick. Le film est en réalité un poème écrit par Burton en 1982 en s'inspirant des vitrines de certains magasins qui changeaient le décorations d'Halloween par celles de Noël. A cette époque, il était animateur pour les studios Disney.
A 18 ans, en 1976, il intègre le California Institute of the Arts (CalArts). Toute son enfance, il a été bercé par les classiques de chez Disney. Une fois son diplôme en poche, il est embauché au département animation de Disney. Mais son style macabre et ses créatures bizarres ne collent pas avec le style made in Disney. Du coup, en 1984, Burton décide de quitter Mickey pour passer chez la concurrence : la Warner.
Cet épisode de la vie de Tim Burton est calquée sur l'histoire de Jack Skellington, le personnage du film déprimé par les clichés de la fête macabre. Après avoir découvert la ville de Noël, il décide de fêter Noël avec les habitants de la ville d'Halloween. Hélas, c'est le choc des cultures et c'est un fiasco. Finalement, l'histoire se termine bien. Le père Noël finit par faire la paix avec Jack. Un peu comme Disney qui enterre la hache de guerre avec Burton qui décide de produire un remake animé de Frankenweenie.
> Elle décide d'abord de le rejeter puis finit par l'accepter et l'accompagner.
> Il s'agit d'une métaphore : J.J. Abrams est Rey.
Bon, alors, je t'arrête de suite, jeune auteur de hitek.
Le fait qu'un héros refuse d'abord puis accepte, c'est pas une métaphore sur J.J Abrams ou autres théories farfelues: Cela s'appelle "Le Refus de l'aventure", un principe des récits et des légendes parfaitement étudié par Campbell et étudié dans plusieurs universités et principalement celles ayant un cursus cinématographique.
Mais merde, elle est superbe cette prélogie, a par une poignet de ménopausé(e)s, tout le monde la trouvé génial (et même Jar Jar n'est pas dérangeant). Juste pour la course de modules, le combat contre Grievous, l'ordre 66, les combats de Yoda, et le combat Anakin/Obi-wan, cette prélogie mérite la palme (elle a eu bien plus que ça d'ailleurs). Alors arrêtez avec votre côté égo-geek mal placé à vouloir faire genre "Non mais tu comprends rien ne vaut la trilogie original #Hipster" alors que je suis sûr que la plus grande partie des lecteurs, auteurs d'Hitek n'étaient même pas né (1977 le premier Star Wars pour info).
Merci !
Je suis de la génération qui a vu la 1ère trilogie à sa sortie (j'avais 7 ans quand New Hope (qui ne s'appelait même pas encore comme ça) est sorti et j'étais dans la salle (en France hein ^^) et pourtant je n'arrive pas à comprendre cette haine de la Prélogie.
Tout n'est pas parfait (désolé mais Jar-Jar et les Gungans j'y arrives pas mais déjà j'ai pas aimé non plus les Ewoks ^^) mais franchement c'est énorme le travail fait sur ces films.
La progression des personnages se fait avec l'ambiance des films et du publique (Ep 1 : enfants cœur de cible...Anakin est enfant donc ton légé, plein de couleurs, rigolo avec des choses que les gosses adorent comme les courses (ici de pod, dans la réalité les voitures) etc... , Ep 2 : les ados, Anakin est ado avec les premiers émois (ça aurait été sympa pour la galaxie qu'il pécho d'autres nanas ^^, la rébellion envers l'autorité parentale (ici les lois Jedi), l' Ep3 adulte (plutôt jeune adulte) avec les responsabilités d'avoir une famille et des choix cornéliens à faire)
Le tout sur fond de politique et d'analogie avec la montée du fascisme qui s'avère de plus en plus d'actualité.
J'ai adoré d'ailleurs ce côté, voir comment Palpatine la fait à l'envers à toute la galaxie, j'ai trouvé cela ultra bien traité.
Après c'est sur il faut embrayer le cerveau pendant 2h et si on prend les films au premier degré c'est sur qu'on capte rien.
C'est peut être la différence avec la première trilogie qui se lit très bien au premier degré car plus manichéenne...et c'est peut être la seule faute de Lucas, avoir voulu quelque chose de complexe (normal en même temps, ce n'est pas un reproche).
Matrix, le seigneur des anneaux, harry potter star wars (tous les épisodes) reprennent les principes de campbell mais on ne peut pas dire que matrix est un copié de star wars... pourtant la structure est la même.
L'excuse de la structure pour l'épisode 7 ne se justifie pas car au delà de la structure, ce sont des scènes entières qui sont copié de l'épisode 4 et il y en a des dizaines...
Donc oui le 7 a PLEIN de défauts mais pas ceux là.
On aime tous les premiers films mais c'est jamais foufou niveau scénar même après le premier où ça pouvait se justifier par sa structure.
Maintenant juste parce que les rageux passent pour "tous les fans de Star Wars de la Terre" on essaye de faire oublier la moitié des films Star Wars.
Euh soit j'ai du louper une partie du film, mais Luke n'est pas à l'origine du Premier Ordre. Non ?
Vous savez que votre source sort ça de son cul et que ce n'est que de la spéculation de vieux cons aigri?
Franchement y'en a juste marre de ce bashing anti prélogie stupide...