L'électron est éternel d'après les chercheurs
Vous vous êtes sûrement déjà interrogés sur l’éternité. C'est vrai que lorsque l'on pense à l'Univers et ses 13,7 milliards d'années, ça parait immense à notre échelle. Et pourtant, une particule semble exploser toute cette conception de l'éternité, avec une durée de vie aux alentours de 66 milliards de milliards de milliards d'années. Oui, il y a bien trois fois milliard.
Cette particule, c'est l'électron, une des plus petites particules que nous connaissons. Il gravite autour du noyau des atomes, avec une masse de 9,109*10^-31kg. Au cours d'une expérience menée à Borexino en Italie, les scientifiques sont arrivés à la conclusion qu'un électron a une durée de vie hallucinante de l'ordre de 6,6*1028 années.
Pour en arriver là, les chercheurs ont dû s'armer de patience. L'électron est la plus petite particule à être chargée électriquement (1,602*10^-19 Coulomb). Or, lors de sa désintégration spontanée, il se transforme en neutrino et en photon, mais la charge électrique disparait. D'après la loi de conservation, un des piliers de la physique, cette disparition est tout à fait impossible.
A Borexino, les scientifiques ont rempli une sorte de piscine avec un liquide scintillant lorsqu'il entre en contact avec un neutrino. Tout autour, plus de 2 000 photomultiplicateurs ont été installés afin de détecter toute réaction. Dans cet espace se trouvent environ 200 000 milliards de milliards d’électrons. Vu le nombre d'électrons, il y avait au moins une chance pour qu'une particule se désintègre.
Pendant 408 jours, les scientifiques ont surveillé l'expérience. Mais au cours de cette période, rien, aucun signal n'a été détecté. Grâce à ces données, temps et nombre d'électrons, les chercheurs ont pu estimer la durée de vie de la particule.
Découverte et identifiée en 1897, nous en savons désormais d'avantage sur cette particule qui constitue tout. Mais ce n'est pas le corps qui a la durée de vie la plus longue. Le proton, lui, serait capable d'exister pendant 5,9*10^33 ans. Pour un simple humain, autant dire l'éternité.
dans le sens que l’univers est infini et/ou sans bord ( donc en gros si on arrive d'un coté on sort de l'autre sans transition )
et qu'avant l'univers, il n'y avais pas d'avant, ou alors il y'en avais un mais a l’échelle quantique, donc qu'avant l'univers mesurable il "y'avais / n'y avais pas/ peut être" d'univers mais qu'en tout cas il était non mesurable
( ça parais stupide mais a l’échelle quantique on peut pas être plus précis )
Voir l'univers comme infini est une erreur selon moi, et ce qui est confirmé par une grande partie de la communauté scientifique.
Lors du Big Bang, l'univers étant semblable a une bulle de savon à laquelle on insufflerai de l'air, ici de l'énergie. Cette énergie va permettre à l'univers de croître, c'est à partir de quelque millième de millième de millième, (etc..) de seconde que certains constituant de la matière sont apparues, c'est ce que l'on appelle le temps de Planck. Si on suit ce modèle de bulle de savon on peut facilement en déduire que l'univers est un espace fini mais aux dimensions infinies. C'est à dire que l'on connait pas la forme de l'univers bien que l'on sache qu'il a une limite (certes inconnue, mais réelle). La forme de sphère n'est qu'une hypothèse.
Cette année c'est le centenaire de la relativité générale, Einstein lui même serait étonné de voir toutes les avances et applications qu'on a pu créer aujourd'hui.
Le but du scientifique c'est de se poser des questions sur l'impossible et de tenter d'y répondre.
Je suis sûr que dans cent ans on ferra des choses encore plus extraordinaires.