Alors qu'Elon Musk vient tout juste d'abandonner un projet ultra ambitieux, un nouveau scandale vient l'éclabousser. LSD, cocaïne, ecstasy, champignons psychédéliques et kétamine sur la table de chevet d'Elon Musk ? C'est ce qu'affirment les collaborateurs du milliardaire dans une importante enquête menée par nos confrères du Wall Street Journal. Soucieux quant à l’état de santé de l'homme d'affaires, mais surtout sur les conséquences de cette prise régulière et intense de dogues sur ses différentes entreprises, les cadres de ses sociétés révèlent une inquiétante réalité.
elon musk, un consommateur assidu de drogues ? Cette enquête est alarmante
Dans une enquête publiée par le Wall Street Journal, et partagée par nos confrères du Figaro, plusieurs cadres de Tesla (déjà éclaboussé par cet incident avec un robot) et SpaceX, les sociétés d'Elon Musk, font part de leurs inquiétudes. En effet, ceux-ci craignent que la consommation excessive de drogues du milliardaire cause du tort à ses entreprises. Et pour cause : l'hommes d'affaires consommerait régulièrement LSD, cocaïne, ecstasy, champignons psychédéliques et kétamine. Connue comme étant un anesthésiant pour cheval, cette dernière substance lui est prescrite par ordonnance médicale, afin de soigner des syndromes dépressifs. Rappelons qu'elle peut provoquer des rêves saisissants et une sensation de dissociation du corps et de l'esprit...
Selon les sources du Wall Street Journal, ces substances illégales sont notamment ingérées dans des soirées privées auxquelles les participants peuvent participer après signature d'accords de non-divulgation, ou sans leur téléphone. Le problème, au-delà de la santé du business man, est que cela représente une violation des lois fédérales de certains États. Or, les contrats signés entre SpaceX et le gouvernement américain pour des missions spatiales civiles et militaires, qui avoisinent les 14 milliards de dollars, sont soumis au Drug-Free Workplace Act. Ce programme lutte contre les substances illégales et condamne les drogues.
D'ailleurs, dans son code de conduite interne, Tesla affirme que «les employés doivent se présenter au travail et effectuer leur tâche sans être sous l'influence de drogues illicites ou d'alcool. Sans exceptions.» Sur X, Elon Musk a également pris la parole pour expliquer qu'il se soumet régulièrement à des tests de dépistages non programmés.
After that one puff with Rogan, I agreed, at NASA’s request, to do 3 years of random drug testing.
January 7, 2024
Not even trace quantities were found of any drugs or alcohol. @WSJ is not fit to line a parrot cage for bird
Après cette taff avec Rogan, j'ai accepté, à la demande de la NASA, de me soumettre pendant trois ans à des tests de dépistage de drogues aléatoires. Aucune trace de drogue ou d'alcool n'a été trouvée. Le Wall Street Journal ne vaut pas la peine d'être lu.
Malgré tout, selon le Wall Street Journal, des exemples viendrait démentir les affirmations du milliardaire. Une source raconte que lors d’une présentation au siège de SpaceX, en 2017, Elon Musk est arrivé en retard de plus d’une heure : sur scène, il divague pendant 15 minutes dans un état second sur un prototype de fusée avant que Gwynne Shotwell, la présidente de l'entreprise, prenne les choses en main. Un an plus tard, même société : dans une émission diffusée en direct sur internet, à laquelle fait référence Elon Musk dans le post X ci-dessus, il apparaît à l'image avec un joint de cannabis à la main. C'est alors que la NASA a exigé des assurances écrites concernant l'absence du substances illicites chez SpaceX.
Habitué aux bad buzz, le président de X, anciennement Twitter, n'hésite pas à dire ce qu'il pense, sans se préoccuper des conséquences. Il suffit de lire son message cash aux annonceurs qui boycottent son réseau social, ou tout simplement ses posts quotidien, très engagés politiquement. Que sa consommation de drogues soit avérée ou non, elle va très certainement faire parler d'elle dans les jours à venir... Et vous, qu'en pensez-vous ?
Par Berlioz, il y a 9 mois :
c'est une cabale contre lui
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