La science n'a aucune limite.Tout élément est destiné à être étudié, que ce soit des micro-organismes ou des planètes. Des éléments pour le moins insolites peuvent donc également faire l'objet de recherches ou d'expérimentations, parfois farfelues.
Des recherches plus qu'originales ont été faites depuis de nombreuses années et leurs intitulés sont plus qu'explicites. On citera notamment "Les amateurs de pornographie deviendraient-ils plus croyants ?" ou encore "Plus le serveur est enrobé, plus le client commande" qui sont des études tout ce qu'il y a de plus sérieuses mais qui prêtent à sourire au premier abord.
Étude NSFW
Une étude publiée récemment fait particulièrement parler d'elle tant son titre est sexuellement explicite, peut-être le plus explicite de l'histoire. Très spécifique, ce document est également particulièrement détaillé.
Le titre dont il est question ici est le suivant : "Des mécanismes similaires de traumatismes rectaux chez les patients ayant eu des relations sexuelles anales avec des animaux et ceux ayant été infectés par un partenaire sexuel humain".
Une brève histoire de la zoophilie
Le document dont il est question traite, vous l'aurez compris, de la zoophilie, une paraphilie dont l'objet du désir n'est autre qu'un animal à travers le prisme du rapport anal. Voici d'ailleurs quelques extraits de cette étude, réalisée avec des personnes ayant une attirance pour les animaux.
Le plaisir sexuel se manifeste sous diverses formes de jeux physiques ; beaucoup impliquent la stimulation du vagin, tandis que pour d'autres, cela est en lien avec l'anus. Certains apprécient les deux.
Parmi les zoophiles, les dommages sont des lacérations tissulaires lors de la rétraction d'un anus.
Chez les personnes qui expérimentent le fisting, l'étirement répétitif dans le canal anal et le sphincter externe provoque des blessures internes.
Après ce passage pour le moins détaillé, les scientifiques à la base de cette étude soulignent que dans le fisting, la pression appliquée à la main est contrôlable "proximalement" autour et à l'intérieur du sphincter anal, tandis que la pénétration du pénis animal est imprévisible et se produit dans le canal anal proximal.
Le reste du document en question est dans le même ton que les éléments que nous citons. Pour nous, comme pour beaucoup de lecteurs, la raison pour laquelle cette étude a été lancée reste un mystère.
Une chose est sûre, avec cela, on ne pourra pas reprocher aux chercheurs de laisser de côté certains facettes de l'anatomie.
Par wixa, il y a 7 ans :
mdrrrrr qu'est-ce que putain de quoi ?
Répondre à ce commentaire
53
1