1,25 million de tonnes d’eau issues de la catastrophe de Fukushima vont être déversées dans l'océan
Le gouvernement japonais a pris la décision de déverser l'eau radioactive - suite à la catastrophe de Fukushima survenue le 11 mars 2011 - dans la mer. Un choix qui fait monter au créneau l'opposition, les coopératives de pêches, Greenpeace et les puissances voisines.
1,25 million de tonnes d’eau stockée dans plus de 1000 réservoirs
10 ans déjà que la centrale nucléaire de Fukushima, située dans le nord-est du Japon, a explosé suite à un tsunami. Pourtant, le Japon n'en a pas finit avec ce qui est considéré comme l'un des plus grands accidents nucléaires après Tchernobyl, en 1986. En effet, les autorités japonaises se battent depuis sept longues années pour savoir comment se débarrasser de l'eau de la centrale nucléaire.
Pour rappel, celle-ci provient de la pluie, des nappes souterraines et des injections nécessaires pour refroidir les cœurs des réacteurs nucléaires, soit environ 1,25 million de tonnes d’eau contaminée actuellement stockée dans plus de 1000 réservoirs, situées à côté de la centrale nucléaire.
Dans l'océan dans deux ans
Aujourd'hui, le Premier ministre Yoshihide Suga a annoncé que l'eau sera déversée dans la mer, « Nous estimons que les rejets dans l’océan sont réalistes, dès lors qu’ils seront réalisés en toute sécurité ». Suga a ajouté que le gouvernement prendrait « des mesures » afin d'empêcher d'éventuels risques sur la population japonaise. L'entreprise devrait prendre plusieurs années, et devrait débuter dans deux ans, alors que la limite des capacités de stockage devrait être atteinte à l’automne 2022.
L'eau a déjà subit des opérations de filtrage, la débarrassant de la plupart de ses substances radioactives. Pourtant, du tritium (un effluent radioactif issu des usines de retraitement et des installations militaires) reste encore présent dans ces eaux, et nécessite d'autres techniques d'élimination plus complexes. 80 % de l’eau stockée reste chargée de substances comme le strontium-90 et le césium-137. Ces niveaux sont supérieurs aux normes environnementales.
Les opposants montent au créneau
Cette prise de décision (validée) reste néanmoins très contestée, de la part de l'opposition tout d'abord, mais aussi de celle des agriculteurs et des pêcheurs, qui y voient la une dégradation de leurs produits, et donc de leurs ventes auprès des consommateurs. « Nous prendrons des mesures pour empêcher que des rumeurs néfastes ne circulent » a tenté de rassurer Tomoaki Kobayakawa, le patron de Tepco, l’opérateur de la centrale nucléaire endommagée. Pourtant, le responsable d’une coopérative locale de pêche à Fukushima a déclaré sur une chaine de télévision publique que le gouvernement « nous a dit qu’il ne rejetterait pas l’eau sans l’adhésion des pêcheurs (...) Maintenant, ils reviennent là-dessus et nous disent qu’ils vont rejeter l’eau, c’est incompréhensible ». Du côté des voisins coréens et chinois, on parle de « sérieuses inquiétudes » et de « vive préoccupation ».
Sondés, les experts estiment que le tritium n'a d'effet sur la santé qu'à très haute dose. Mais selon Greenpeace, le stockage de cette eau doit se poursuivre jusqu'à acquérir la technologie nécessaire à l'élimination complète du tritium. Dans un communiqué paru lundi, Greenpeace a déclaré que « La décision de rejeter de l’eau contaminée dans l’océan va laisser d’énormes ennuis pour l’avenir ». Un véritable casse-tête qui ne risque pas d'améliorer les relations entre le Japon et ses voisins.
Cette phrase seule est comique, bref Gozilla in sight lol
Donc en résumé, les spécialistes disent qu'il n'y a pas de danger mais comme greenpeace dit que c'est pas bien parce que, laissez moi deviner, cet isotope a un nom qui fait peuuuur
purulance humaine de la decheance des chiennes ,
vivre du signe des fiste aliens d'une invasion reste la seule solution pour eux !paix