Un détenu anglais se sent persécuté par les dirigeants de sa prison. Selon lui on l'empêche de pratiquer sa religion, l'homme est affilié à l'ordre Jedi. Une histoire insolite mais bien réelle.
Musique de circonstance :
Star Wars est une saga incontournable qui a marqué plusieurs générations et qui n'a pas fini d'en marquer d'autres on l'espère. Un univers tellement imprégnant que certaines personnes ont adopté la religion Jedi. Lors d'un recensement en 2011, environ 176 000 anglais s'étaient déclarés comme pratiquant le Jedi pour religion. Ce qui classe l'ordre de la force à la 7ème place des religions les plus populaires, juste derrière le judaïsme et le bouddhisme.
Parmis ces personnes se déclarant de l'ordre du Jedi, on peut compter un jeune détenu anglais qui se sent persécuté car il ne peut pas pratiquer sa religion. Il a écrit une lettre au magazine pénitencier "Inside Time" pour dénoncer l'intolérance des dirigeants de sa prison. L'homme ne comprend pas pourquoi il ne peut pas vivre sa passion comme il se doit et souhaite le faire savoir.
Dans la lettre écrite à Inside Time, il raconte qu'il a demandé l'autorisation pour pratiquer sa religion librement mais que cela lui a été refusé. Les dirigeants considèrent que le Jedi est reconnu comme religion dans les formulaires de recensement mais que ce n'est pas une religion reconnue par l'État. Le détenu a pris cette réponse comme de la persécution. Il pense que si il y a un rejet des Jedi comme lui c'est à cause de la bataille tragique de Yavin IV. Lorsque Luke Skywalker et ses partisans ont fait exploser l'étoile dans un acte terroriste, cela a couté la vie de milliers de civils. Si l'homme dénonce sa situation en prison, il a tout de même voulu rester anonyme de peur des représailles du coté obscur de la force.
Un combat pour la reconnaissance Jedi mais il est quand même étonnant qu'un chevalier du bien se retrouve en prison. Peut-être avait il basculé vers le coté obscur de la force...
Par Dude, il y a 10 ans :
Ça a pour moi autant de valeur que les autres religions. Laissez le pratiquer en paix
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