Stephen Hawking : une nouvelle étude confirme cette théorie du physicien sur la fin du monde
Si ce n'est pas LE plus grand, Stephen Hawking faisait partie des meilleurs et des plus pertinents physiciens et cosmologistes au monde. En 2018, il s'est malheureusement éteint, laissant à disposition de nombreuses théories parfois difficiles à déchiffrer. L'une d'entre elles concernait la fin du monde, ou plutôt sa façon de décrypter comment notre univers disparaîtrait. Et bien que cela puisse paraître effrayant, une nouvelle étude réalisée par Heino Falcke, professeur d'astrophysique aux Pays-Bas, va dans le même sens que le théoricien.
Comment Stephen Hawking envisage la fin du monde
Stephen Hawking est connu pour tout un tas de raisons. Physicien, théoricien et cosmologiste britannique de renom, il est surtout réputé pour être un vulgarisateur hors pair. Lorsque l'on parle de choses qui dépassent la plupart des êtres-humains, il vaut mieux trouver des mots simples pour se faire comprendre. C'était typiquement la mission que s'était donnée cet homme de science, décédé le 14 mars 2018. Stephen Hawking était connu pour ses travaux portés sur l'univers, la menace liée à l'Intelligence artificielle, mais aussi et surtout pour sa théorie selon laquelle l'Univers serait un hologramme.
Le cosmologue voit le temps comme une dimension holographique, soit une projection apparue avec le Big Bang. Pour lui, le commencement est donc le Big Bang et la fin, les trous noirs. Le concept des trous noirs est aussi passionnant que complexe. S'ils font l'objet de nombreuses théories, nous savons néanmoins qu'ils émettent des particules de lumière condamnées à s'évaporer face au rayonnement. Selon le physicien, ce rayonnement concernerait tous les objets stellaires ayant une certaine masse. Notre planète, ainsi que celles qui gravitent autour ou dans le même espace que la Terre, seraient donc également amenées à disparaître.
L'Univers est un hologramme : la théorie du physicien appuyée par une nouvelle étude
Une théorie appuyée par une nouvelle étude menée par Heino Falcke, professeur d'astrophysique aux Pays-Bas. Les résultats de ses recherches l'amènent à penser que "les objets sans horizon des événements, tels que les vestiges d'étoiles mortes et d'autres grands objets dans l'univers, ont également ce type de rayonnement."
Il soutient donc l'idée selon laquelle l'Univers est un hologramme, avec une durée de vie déterminée : "Après une très longue période, tout ce qui se trouve dans l'univers finirait par s'évaporer, tout comme les trous noirs. Cela modifie non seulement notre compréhension du rayonnement de Hawking, mais aussi notre vision de l'univers et de son avenir."
C'est pas de la vulgarisation mais un texte qui tiens sur 3 lignes pour nous dire que l'univers est un hologramme....
J'ai envie de dire logique : tout ce qui né, meurt car pour le moment personne n'a dit qu'un trou noir est éternel tout comme une planète.
Personnellement je n'ai rien appris qui sorte de "l'ordinaire"
et c'est la théorie la plus triste : notre univers va finir rempli de vide du à l’expansion cosmologique et que même les astres les plus stables (trou noir typiquement) vont finir par disparaitre du au rayonnement d'hawking.
Ce qui veux dire que dans échelles de temps hors de notre porté, il n'y aura plus rien dans l'univers.
Celui qui a écrit ça ne sait même pas ce qu'est un hologramme. Il utilise un mot sans rien y comprendre.
un hologramme contient une information tri-dimensionnelle. Il consiste en une image d'interférence entre les ondes issues de l'objet photographié et d'une partie du même faisceau laser utilisée pour éclairer l'objet.
Elle est d'ailleurs utilisée comme telle dans les théorie, car c'est bien d'information dont on parle
Vive le grand Z !!
Il s'etait malencontreusement uriné dessus, ce qui avait provoqué un court circuit sur son fauteuil roulant 2.0, ce qui fit bugger le système électronique de son fauteuil et par la suite fit tourner le fauteuil sur lui même en cercle infini, sacré Stephen, je me rappelle le son de sa voix sortant de son micro à ce moment là : "sorry! Sorry! Sorry!..."
Ce souvenir m'émeut