Le Seigneur des Anneaux : voici pourquoi Sauron ne s'est pas allié avec les Balrogs
L'univers et le lore autour du Seigneur des Anneaux développé par Tolkien est si riche que de nombreuses questions taraudent encore aujourd'hui les fans. Citons par exemple les spécificités des Nazgûl, ou encore ces 14 choses que vous ne saviez pas sur les créatures de la Terre du Milieu. Aujourd'hui, on tente de comprendre pourquoi Sauron n'a pas pensé à s'allier avec les terribles Balrogs dans sa quête d'asservissement de la Terre du Milieu.
Sauron et le Balrog : deux êtres surpuissants
Autrefois Maia (esprit) et corrompu par Morgoth (le premier Seigneur des Ténèbres sévissant durant le premier âge et maître de Sauron), Sauron est le principal antagoniste du Seigneur des Anneaux. Afin d'arriver à ses fins et dominer les peuples libres de la Terre du Milieu, Sauron a levé une armée conséquente depuis le Mordor, et Barad-dûr. Il commande ainsi des créatures telles que des Orcs, des Trolls, des Wargs, et surtout des Nazgûl, montés sur de terribles coursiers ailés.
Quant au Balrog, il s'agit d'une puissante créature démoniaque. Un Esprit du Feu corrompu par Morgoth. Depuis la chute de ce dernier, les Balrogs se terrent dans les entrailles de la Terre du Milieu. On se souvient tous de l'affrontement dantesque entre Gandalf et le Balrog dans les mines de la Moria, à Khazad-dûm, entraînant leurs morts respectives. Enfin presque, puisque la suite, on la connaît tous.
Pourtant, si ces êtres paraissent solitaires et belliqueux, ils étaient autrefois les serviteurs de Morgoth durant le premier âge. On se demande alors pourquoi Sauron, bien qu'inférieur au rang de son maître, n'ait pas décidé de faire appel à ces terribles créatures pour dévaster la Terre du Milieu.
plusieurs raisons
La réponse est simple. Les Balrogs, comme Sauron, sont donc aussi Maiar, des êtres spirituels purs et puissants, esprits primordiaux créés pour aider les Valar à façonner le monde. Ainsi, leurs rangs respectifs sont similaires (à la différence de Morgoth, qui en tant que Valar déchu, était de rang supérieur). Il fut donc impossible pour Sauron de soumettre ou de rallier à sa cause un être aussi puissant que lui.
D'autre part, au vu de la férocité du combat entre le Balrog, aussi appelé le "fléau de Durin" et Gandalf, Sauron aurait eu toutes les peines à vaincre et à soumettre l'esprit à sa cause (on imagine cette manœuvre répétée sur plusieurs créatures). Une perte de temps et d’énergie considérable.
La troisième raison tient du fait que la plupart des Balrogs ont été détruits à la fin du Premier Âge, lors de ce qu'on appelle la "Guerre de la Grande Colère" (défaite de Morgoth face aux Valar). Ainsi, les rares survivants se sont cachés dans les profondeurs de la Terre du Milieu.
Par ailleurs, de même que les Balrogs, les dragons ou encore les araignées restent très difficiles à contrôler. Pensons par exemple à Smaug ou à Ungoliant, l'esprit incarné dans la forme d'une araignée géante qui, bien qu'elle s'allia avec Morgoth par le passé, ne fut jamais soumise à lui.
Lore = tradition ; "bien que" demande le subjonctif, donc "bien qu'il se soit allié". Vous n'avez ni traducteurs ni correcteurs ? Je peux, moi, si vous voulez. Pas cher.
En fait, si tu relis, ce message n'est pas destiné à protester, mais à offrir mes services, pour un prix très raisonnable. Je suis en effet rédactrice-traductrice-correctrice et j'essaie de mettre des pansements là où, pour faire des économies, on rédige avec les pieds, on traduit (ou pas) avec des robots tout pourris et on ne corrige plus. Sinon, à titre perso, l'anglais ne me gêne pas, évidemment, puis que je le parle, mais tu as parfaitement raison, je ne blaire pas le globish, ce qui me prive de beaucoup d'univers passionnants comme les jeux vidéos, parce que je pèterais un câble au bout de 2 secondes. En revanche, rien ne peut me défriser, j'ai des baguettes de tambour sur la tête.
Ca me fait penser aux pédants qui appellent chaque vêtement une pièce pour se la jouer sartorial.
Et puis univers et lore c'est redondant dans la phrase de l'article.
Que ce soit la traduction d'un mot anglais, utilisé de façon régulière pour exprimer un aspect d'un jeu, ou d'une conjugaison qui n'est pas parfaite
Si le Français était simple et agréable, bien plus de gens chercheraient à l'apprendre ^^
En outre, si un mot étranger (qui n'a pas ce sens à l'origine, en outre) peut être employé, on peut employer un mot français, même si le sens n'est pas exact, car il le prendra par usage.
Ça a le gros avantage de ne pas opposer une barrière linguistique à l'adoption du loisir. Certains anglicismes sont pratiques, d'autres relèvent de la paresse et de l'incompétence. Celui-ci est de la seconde espèce.