Le terrible cercle vicieux de l'addiction aux jeux vidéo (BD)
L'addiction aux jeux vidéo est un sujet qui fait très souvent couler de l'encre sur la planète gamers. Si en général les gens n'arrivent pas à se mettre d'accord, il faut reconnaitre que l'addiction peut devenir très vite un cercle vicieux. Vous connaissez tous cette situation quand vous avez enfin fini un jeu vidéo ou une série, vous vous dites c'est bon, plus jamais. J'arrête de perdre du temps avec ça... Mais au final vous revenez toujours au point de départ. Une situation qui tourne en boucle, mais que vous ne pouvez malheureusement pas éviter. Nos amis de chez Dorkly ont illustré ce phénomène à travers une nouvelle BD. Il y a qu'une chose à dire, c'est tellement vrai...
Si vous aimez les BD, découvrez la triste réalité des métiers du jeu vidéo
(league of legends c'est de la merde, cordialement, bisous, blizzard c'est mieux)
Maintenant, je sais que des éponges de mer insidieuses et impitoyables remplacent le cerveau de vraies personnes et les rendent juste connes et inintéressantes.
Ce que ça a de désagréable c'est que ça attire un public d'âge très varié de l'adolescence à un âge adulte avancé parce que c'est très dynamique et stimulant en multijoueur.
Tous ceux qui ont critiqué ton message ou on mis un "j'aime pas" sont cyberaddicts comme ils sont dans le déni et la frustration.
Tiens comme j'ai critiqué les cyber-dépendants par un propos assumé je risque aussi de recevoir des attaques envers ma personne ^^
Les symptômes physiologiques se traduisent par (Nayebi, 2007) :
Syndrome du canal carpien
Sécheresse des yeux
Maux de tête et migraines chroniques
Négligence de l'hygiène personnelle
Maux de dos
Alimentation irrégulière, repas sautés et de mauvaise qualité
Insomnies ou modifications dans le cycle du sommeil
Les symptômes psychologiques et les conséquences se manifestent comme suit (Nayebi, 2007; Young, 1998, 1999, 2004) :
Sentiment de bien-être, soulagement ou euphorie pendant l'utilisation d'Internet
Pensées obsédantes à propos d'Internet ou anticipation des prochaines sessions sur Internet
Sentiment de vide, dépression, anxiété, irritabilité hors ligne ou quand l'accès à Internet est impossible
Sentiment de culpabilité ou honte face à l'utilisation d'Internet
Incapacité à cesser ou à diminuer l'usage d'Internet ou besoin d'augmenter le temps de connexion
Diminution de l'intérêt ou du temps consacré aux autres activités hors ligne
Altération du niveau de fonctionnement (difficultés relationnelles (relations familiales, amoureuses, professionnelles, etc.), pertes d'emploi, isolement social, etc.)
Mensonges à propos de l'utilisation d'Internet (durée, activités en ligne, etc.)
Importantes sommes d'argent investies (temps de connexion, gageure, téléchargements excessifs, etc.)
PS : Il n'y a aucun débat autour de la cyberaddiction dans le milieu médical. On sait clairement énoncer pourquoi l'utilisation des jeux vidéos est mauvaise pour le cerveau et la santé. J'encourage Hitek à réellement se pencher sur la question au lieu de chercher à tout prix à faire de l'audimat sur le sujet.
Sentiment de bien-être oui mais des fois sentiments de vide et dans ces cas là je sors voir mes amis ou ma copine.
Quand je suis chez moi et qu'il n'y a rien à faire oui ça me fait chier de pas avoir internet mais sinon je prends un livre ou je joue en hors ligne.
Je n'ai pas honte de dire que j'ai joué ou été sur internet pendant 10h un samedi parce que je n'avais pas envie de sortir.
Pensées obsédantes, oui et non, il m'arrive de penser au boulot au jeu que je vais jouer ou comment je vais progresser dans tel ou tel jeu, sinon quand je suis avec mes amis je n'y pense pas.
J'ai une copine avec qui tout se passe bien, j'ai des amis, je sors tous les week-ends, même en semaine et tout se passe bien avec ma famille.
Je pense qu'il faut savoir faire la part des choses, alors oui je veux bien croire que des gens en sont atteints, mais c'est vraiment l'extrême là.
Je suis sûr que plein de gens sont dans mon cas et que tout se passe bien dans leur vie, les jeux vidéos c'est un loisir comme un autre.