Ces six mécaniques de jeux vidéo qui rendent les combats horribles
Ils sont rares les jeux-vidéo où nous n'affrontons aucun adversaire. Dans une logique purement de gameplay, ils servent à offrir des obstacles aux joueurs parcourant leurs univers favoris. À partir du moment où votre jeu propose une multitude d'ennemis différents, vous savez qu'ils vont vous forcer à modifier votre gameplay pour vous adapter à eux. Les récents remakes de Doom en sont de parfaits exemples, et pour le coup, ces jeux présentent un bestiaire aussi diversifié que bien utilisé. Pourtant, il y a toujours un nombre conséquent d'adversaires qui, à cause de leurs capacités spécifiques trop souvent poncées par les développeurs, arrivent à ruiner considérablement notre expérience de jeu. Aujourd'hui, voici six monstres et leurs mécaniques que nous ne voulons plus revoir dans nos jeux-vidéo.
#1 Les ennemis qui vous enflamment
Le feu, dans les jeux vidéo c'est cool. C'est un obstacle naturel qui dit au joueur très facilement "va pas par là, mec, ça craint". Mais c'est moins drôle quand des adversaires utilisent du feu. Borderlands est la pire licence pour cela, puisque dès que vous êtes sous l'état d'un statut vous infligeant des dégâts, dont le feu, votre personnage se sent obligé de crier à la mort ou de faire des petits gémissements à base de "AHH ! Arhg !". Dans d'autres jeux, une fois en feu vous serez forcé de trouver une source d'eau pour arrêter les brûlures, parfois bien en amont dans le niveau. Alors que se rouler par terre est souvent tout aussi efficace...
#2 ceux qui explosent
Ceux qui ont joué à Prey ou aux Resident Evil 5 et 6 savent que des ennemis qui explosent sont une plaie. L'objectif est toujours de les éliminer avant qu'ils soient suffisamment proche de vous pour vous atteindre, mais cela demande parfois de l'adresse. Et c'est encore pire si vous jouez dans un jeu où les combats au corps à corps existent. Ces ennemis sont tout simplement impossibles à vaincre sans mourir si votre truc à vous c'est l'épée plutôt que l'arc, sauf en étant très minutieux, pouvant ruiner l'immersion.
#3 les cutscenes obligatoires
Dans cette catégorie, nous avons envie de ranger les adversaires avec des patterns (des actions prédéfinies que le monstre va pouvoir répéter selon un schéma) lourds, longs et prévisibles, mais aussi ceux qui vous obligent à attendre avant de pouvoir agir, généralement en martelant un bouton pour vous libérer de leur étreinte, une vraie plaie pour ceux souffrant du canal carpien, coucou God of War ou Asura's Wrath. Attendre que le lapin lance ses chapeaux pour ensuite mettre bien en avant son point faible dans Mario Odyssey ne rend pas le combat de boss intéressant, juste long et ennuyeux.
#4 les brutes et autres sacs de points de vie
Dans le bestiaire classique d'un jeu, on retrouvera presque toujours la dualité entre "le petit gars qui court vite, faible mais qui fait pas beaucoup de dégâts" de type gobelin, et le "gros balourd très lourd, très fort et tout aussi lent", appelons-le hobgobelin, ou troll. Ces derniers sont les pires de tous par nature. L'objectif c'est de toujours rester en dehors de leur portée, ce qui est plutôt facile vu leur vitesse. Régulièrement, on se retrouve à tuer tous les autres, puis on s'arrête loin d'eux avant de vider l'intégralité de nos 20 chargeurs dans leur tête en regardant leur barre de vie se vider mollement. Borderlands 3 et ses "élus" reste l'un de nos pires souvenirs en ce sens, mais en gardant en mémoire les brutes de Dying Light et de Batman : Arkham Asylum. Une bonne brute est une brute qui possède autre chose que des points de vie.
#5 les morts mais pas vraiment
"Tiens, je me demande si ce corps judicieusement posé dans ce couloir, possédant un skin différent des autres cadavres va se réveiller et me sauter dessus ?" La réponse est oui. Tout. Le. Temps. Ce problème est récurrent aux films d'horreur et aux jeux d'horreur. Parfois, vous aurez l'occasion de croiser un ennemi dans un couloir qui paraît mort mais en fait non. Pire : si certains jeux vous récompensent de les avoir repérés avant qu'ils n'attaquent en vous autorisant à les tuer, dans d'autres jeux c'est impossible et il faut passer à côté, attendre que la cinématique se déclenche (cf #3) et ensuite vous pourez le tuer. C'était pourtant cramé que cette fenêtre de Dead Space allait s'ouvrir...
#6 ceux qui se téléportent
Destiny 2, Borderlands, BioShock, Diablo... Autant de titres qui proposent tous la même mécanique pour rajouter du combat et de l'action à des endroits qui sont pourtant aussi peuplés que le département de la Creuse. Si un jour une entreprise ou une nation possède la capacité de téléporter ses troupes, alors la guerre n'a plus aucun intérêt. Les Vex Minotaurs sont parmi les pires, capables de se téléporter aussi vite que vous rechargez. Une horreur.
Ce ne sont ici que quelques exemples d'ennemis classiques dont les mécaniques sont fortement ennuyeuses, mais il y en a d'autres ! N'hésitez pas à nous dire si vous souhaitez un deuxième épisode qui sera réalisé avec plaisir ! Si votre truc à vous c'est plutôt l'immersion, alors serez ravis de vivre dans les mondes de ces différents univers.
... et vous parlez pas de cutscene... Vous êtes sûrs de savoir de quoi vous parlez ?
Perso, ce problème me fait direct penser à Max Payne 3, très bon jeu mais tu veux te lancer un petit niveau vite fait pour t'amuser ? Tu dois d'abord te taper 5 min de parlottes à un moment très inutile vu que t'as déjà fini le jeu.
Enfin ce que je veux dire, c'est que c'est limite comme si vous disiez que l'aspect chiant dans Pokemon c'était de tous les capturer.
Je me souviens plus gosse, elle dure facile 3min la cutscene, j'ai du me la voir au moins 13 fois.