Mon petit renne : harcelée, "Martha" fait cette folle réclamation à Netflix
Le succès de Mon Petit Renne n'est pas que bénéfique à son créateur, Richard Gadd, et à Netflix. En effet, cette mini-série inspirée d'une histoire vraie passionne les spectateurs depuis sa mise en ligne le 11 avril dernier. Des internautes sont même allés jusqu'à enquêter sur l'identité de la harceleuse qui a inspiré le personnage de Martha, avant de s'en prendre à elle. Cette dernière clame son innocence et décide de contre-attaquer.
"Martha" s'en prend à netflix
Mon Petit Renne, la série Netflix inspirée du one man show de Richard Gadd, suit sa relation tordue avec une harceleuse, et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un vieux traumatisme (il a été violé par le passé). C'est sa propre histoire que raconte l'auteur, qui incarne également Donny, le personnage principal. Barman, sa vie va chavirer après avoir rencontré une cliente dérangée prénommée Martha, qui va développer une obsession pour lui, allant jusqu'à le traquer et l'inonder de mails, tweets, lettres et messages vocaux. Cette femme, dont l'identité a été modifiée pour les besoins de la série, existe vraiment et a été identifiée par des apprentis enquêteurs. Il s'agirait de la Britannique Fiona Harvey.
La femme, qui nie les faits, subit une campagne de harcèlement en ligne depuis que son nom a été associé à Martha. Elle a décidé de porter plainte contre Netflix pour diffamation. Sur le document, on peut lire :
Cette affirmation est le plus grand mensonge de l’histoire de la télévision. C’est un mensonge raconté par Netflix et par le créateur de la série, Richard Gadd, par avidité et soif de célébrité. C’est un mensonge destiné à attirer davantage de téléspectateurs, d’attention, gagner plus d’argent et détruire vicieusement la vie de la plaignante, Fiona Harvey, parce que c’était une meilleure histoire que la vérité.
Vous l'aurez probablement deviné, celle qui estime avoir été diffamée, et reproche à Netflix de lui avoir causé des dommages moraux, exige d'être dédommagée... Et pas avec des peccadilles, puisqu'elle demande 170 millions de dollars !
Et ce n'est pas le seul cas de harcèlement dont on vous parlait sur Hitek : le harceleur français de Zendaya a été envoyé en hôpital psychiatrique.
Cette personne n’a pas donné son accord pour donner son véritable nom à la série quelque soit ses problèmes judiciaires.
Vous venez de balancer l’identité d’une personne comme ça comme si tout était normal.